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Critique de Bislys


Quand John Durbeyfield, fermier sans le sou, apprends un jour qu'il est le descendant d'une illustre famille de chevalier, les D'Urberville, il pense que sa chance est en train de tourner. Il va alors placer sa fille ainée, Tess, dans la maison d'Alec D'Urberville, un escroc se faisant passer pour un noble. Suite à un incident, Tess se retrouve enceinte d'Alec. Pour elle, c'est le début de la déchéance.

En grande fan de littérature anglaise classique, je ne pouvais pas passer à côté de Tess d'Urberville. Mais pauvre pauvre pauvre Tess, rien ne lui aura été épargné! Elle ne cesse de faire preuve de naïveté dans tous les aspects de sa vie, ce qui la conduit malheureusement à chaque fois à de nouvelles déceptions. Entre Alec d'Urberville et Angel Clare son coeur ne cesse de balancer, l'entrainant de plus en plus bas.
J'ai été très emballée par le début du roman (dont j'avais entendu le plus grand bien). Je me suis tout de suite attachée à cette pauvre Tess en me demandant combien de malheurs il allait encore lui arrivé. J'avoue que j'ai trouvé le milieu du roman un peu mou, d'où mon 4/5, mais il reprends de son intérêt avec le retour d'Alec dans la vie de Tess. Je suis contente de l'avoir enfin terminé parce que la répétition de mauvais choix dans la vie de Tess devient vite lassant. Au bout d'un moment on se demande ce qui peut encore arrivé de pire à Tess, et là nouveau malheur...
J'ai bien aimé ce roman, mais il n'est pas de ceux que je relirai. Pour les classiques de la littérature anglaise, je vais m'en retourner à Jane Austen qui est bien plus dans mon style.
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