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Que dire de ce roman ??? Je l'ai trouvé à la campagne, j'ai commencé à le lire. Je n'ai pas voulu l'abandonner mais bon franchement… vous pouvez vous en passer. C'est un roman que j'aurai oublié dans quelques semaines et si je ne rédigeais pas cette note, je pense que l'oubli serait déjà là.

Ce roman relate une partie de la vie de Doug. On le découvre en Irak. Militaire, il va assister / participer à un incident qui coutera la vie de centaines de passagers d'un avion. On le découvre ensuite haut responsable d'une banque qui a peu de scrupules. Chargé de missions spéciales, son rôle est de faire des montages financiers très border lines. Un de ses poulains va aller plus loin. La banque devrait s'effondrer mais comme il ne faudrait pas mettre le monde en danger, elle sera sauver in extremis alors que Doug se sauvera en fuyant. Dans ce livre, il est aussi question d'une femme noire, d'un drogué homosexuel, d'un homme de principes qui n'aura finalement pas le choix (ou du moins ne les assumera pas), de la mère de Doug, d'une femme qui mène une bataille perdue mais qui assume ses choix… Il y est question de classes sociales, d'éthique, les bons ne sont pas toujours là où on le pense et les méchants non plus… Il n'y a pas de rédemption

Bref écrit en 2009, il surfe sur la vague des « complots » et de la crise financière. C'est du Grisman ou du le Carré en moins bon. J'ai vraiment lu de meilleurs romans ces derniers temps.
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Livre qui semble t-il a eu pas mal de succès, premier roman d'Adam Haslett classé comme faisant parti des 20 meilleurs livres de l'année 2011 par le magazine Lire. Bon peut-être... j'ai du passé à côté de quelque chose car je n'ai pas été enthousiasmé par ce roman. C'est une accumulation de cliché et de situation improbable. J'ai lu un roman fabriqué sans profondeur, un patchwork superposant des thèmes : la finance, la crise économique, l'adolescence et l"éveil des sens, l'homosexualité, l'enseignement, l'écologie et la préservation des sites naturels, la revanche sociale sans que jamais Adam Haslett réussisse à donner un sens global à tout celà.
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Excellent premier roman

Après avoir commis un premier recueil de nouvelles brillant (Vous n'êtes pas seul ici) où il peignait des personnages torturés et souvent en prise avec la maladie mentale, Adam Haslett passe avec brio au roman avec un angle différent.
On retrouve tous les ingrédients des bons romans américains : une peinture au vitriol de la vie des banlieues, une analyse des ségrégations sociales et/ou culturelles, le thème de la réussite et de la chute, l'adolescence repue de la satisfaction de ses désirs jusqu'à la lassitude et sombrant dans l'ennui et la drogue.
Le livre commence sur un chapitre étonnant et assez déconnecté du reste du livre (disons que cela sert plus la définition de la psychologie d'un personnage que la narration). Il raconte l'erreur de tir qui a conduit l'USS Vincennes, le 3 juillet 1988, dans le golfe persique, à faire feu sur un avion civil iranien qui avait été identifié à tort comme un F-14, faisant 290 morts.

L'action se déroule ensuite plus classiquement dans la région de Boston et entremêle les destins de plusieurs personnages et au premier plan desquels on retrouve :

- un haut cadre de banque couvrant les paris de plus en plus risqués d'un trader hong-kongais qui fait une Kervielite sur le Nikkei
- une professeur à la retraite et passablement allumée qui s'accroche désespérément à son passé et à une conception de l'Amérique qui n'existe plus (c'est la seule personnage qui aurait pu figurer dans son recueil de nouvelles au sens où elle frise la pathologie)
- un responsable de la Fed qui tente d'éteindre les incendies qui s'allument dans sa vie professionnelle (qu'il maîtrise) et personnelle (qu'il ne maîtrise pas)
- un adolescent perdu, englué au sein d'un groupe d'amis friqués et paumés, qui découvre par tâtonnement son homosexualité dans l'aftershock du suicide de son père

Tout cela se lit comme on respire, servi par un style parfait, qui n'en fait pas trop, dépeint les personnages dans toute leur épaisseur, s'imprègne de l'air du temps et prend le pouls de la société tel qu'il bat.

Un livre qui ne peut être écrit qu'aux Etats-Unis ... ou presque.

Lien : http://www.critiqueslibres.c..
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Un roman à tiroirs et à clés, foisonnant et dense où les histoires de chacun se recoupent au fur et à mesure où se déroule le récit. Difficile de parler de l'histoire car au départ elle semble partir un peu dans tous les sens, on suit différents protagonistes même si le pivot central reste Doug Fanning.

Ce roman est en réalité une critique de la société américaine qui met en avant les dérives du système bancaire et spéculatif à outrance de ces dernières années. C'est d'ailleurs peut-être la partie du récit qui m'a la moins intéressée car un peu trop complexe à mon goût. N'étant pas une spécialiste des méandres financiers, cet aspect du roman est resté un peu confus et hermétique mais j'avoue que je n'ai pas non plus cherché à comprendre et j'ai un peu survolé les pages s'y rapportant. Je comprends les lecteurs qui pourraient trouver cette partie franchement rébarbative. Mais malgré la partie sur la finance et les systèmes boursiers, j'ai beaucoup aimé ce livre, particulièrement les relations qui se créent entre les différents personnages. On devine rapidement que l'on va avoir une lutte du pot de terre contre le pot de fer entre Charlotte et Doug mais franchement je n'ai pas boudé mon plaisir, avec une préférence pour les personnages de Charlotte, cette "vieille fille" (même si je n'aime pas ce terme), excentrique et entêtée, sûre de son bon droit et qui n'entend pas s'en laisser conter par ce jeune loup aux dents longues qui s'installe à côté de chez elle et Nate cet adolescent un peu paumé qui passe son temps entre des copains aussi désoeuvrés que lui mais qui va à sa manière s'introduire chez Charlotte et ensuite chez Doug.

Le titre résume très bien le propos du livre car entre toutes ces histoires qui se croisent on finit par ne plus trop savoir de quelle intrusion parle le livre et finalement on s'aperçoit que "Les intrusions" aurait été un titre plus proche de la vérité, tous les personnages se retrouvent à un moment donné l'intrus de quelqu'un. Car l'intrusion c'est aussi cette villa outrancière qui se pose comme une verrue dans le paysage de Charlotte, c'est aussi Nate qui "visite" illégalement la villa de Doug et c'est Charlotte qui entre dans la vie de Doug à travers le procès qu'elle intente à la ville. Mais finalement la principale "Intrusion" n'est-elle pas celle de la peur de l'autre distillée insidieusement au coeur de l'Amérique après le 11 septembre ?

Un avis vraiment positif pour ce roman car j'ai aimé le propos du livre, les relations qui se créent entre les protagonistes mais surtout j'ai apprécié le style particulièrement brillant et incisif de l'écriture qui sert le propos décrit par l'auteur, une certaine vision de l'Amérique et de nos sociétés capitalistes qui prend tout son sens avec la crise économique que l'on subit. Une écriture pertinente au service des personnages et de leurs relations et un vrai talent pour décrire les relations humaines.
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L'intrusion du titre renvoie à la maison que fait construire Doug Fanning, un trader qui a une revanche à prendre sur ses origines, dans une petite ville de la côte est des états-unis. Sa voisine, Charlotte, une femme d'âge mûr, ex professeur d'histoire ne lui pardonne pas d'avoir fait couper des bois qu'elle considérait comme les siens. L'opposition est frontale. C'est le sujet apparent. Mais ce roman est beaucoup plus ambitieux : situé quelques mois après le 11 septembre, il veut brosser une portrait du monde de la finance (et de la guerre) à l'heure des spéculations effrénées. Parfois obscur, ce roman tient pourtant au final sa promesse.
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Doug Fanning est un homme à qui tout réussi. Fuyant une mère alcoolique, il s'est engagé dans la marine sans plus lui donner de nouvelles. En pleine guerre du Golfe, il doit faire face à un évènement dramatique dans lequel il est impliqué : la mort de dizaines de civils.
A son retour, il rentre chez Union Atlantic, une des plus grandes banques américaines dans laquelle il réussit à faire sa place et à devenir le trader le plus important aux yeux de son directeur. L'argent coule à flot et s'il n'a pas de famille à qui consacrer son temps, il décide néanmoins de se faire construire une superbe villa à Finden, une banlieue chic et calme.
Sauf que cette intrusion, sur les anciennes terres de son père autrefois couvertes de bois, ne plait pas du tout à sa vieille voisine, Charlotte Graves qui persiste à vivre dans sa vieille maison à moitié abandonnée.
Une réfractaire à tout ce qui est le symbole du capitalisme ranpant et qui ne va pas hésiter à aller au procès...

Grande fresque contemporaine, "L'intrusion" se révèle un récit assez foisonnant qui coure sur plusieurs années, offrant ainsi un véritable portrait de la société américaine des années 2000.
Doug, le personnage principal, est un arriviste puant qui se révèlé égoiste et manipulateur. Il a construit sa fortune et son succès sur un coup de poker et n'hésite pas à jouer en marge de la légalité avec son copain Mc Teague. Mais les dividendes seront-elles toujours au rendez-vous... ?
Charlotte Graves est une ancienne professeur d'histoire mis prématurement à la retraite à cause de ses opinions tranchées et passéistes. Elle vit avec ses 2 chiens et, un peu folle, a de longues conversations avec eux. Son frère Henry, président de la Réserve Fédérale, et sauveur de crise pour les banques en difficultés cherche en vain à la placer en maison de retraite.
Il y a Nate aussi, un jeune adolescent qui prend des cours de rattrapage un peu foutraques chez Charlotte. Un garçon un peu perdu qui a découvert le suicide de son père et découvre sa propre homosexualité par le désir qu'il manifeste à l'égard de Doug.

Des personnages très différents qui forment le portrait d'une Amérique en crise, oscillant entre guerre et crises financières. Une vision pessimiste où l'argent et l'intérêt personnel prime sur le reste, où on peut tuer des civils et se voir décerner des médailles, où on peut trahir ses idéaux pour plus d'argent ou plus de plaisir, où l'égoisme dirige le monde.
On y verra une adolescence dérisoire démotivée et trouvant dans les drogues les dérivatifs faciles pour oublier le monde des adultes. On y verra des riches s'illusionner avec de grandes fêtes où étalage de biens rime avec ridicule et vacuité de leur vie. On y verra des classes pauvres qui s'oublient dans l'alcool avec des fils qui cherchent revanche sur la vie. On y verra des noirs qui devront leur succès à de prétendues attentions au nom de l'égalité des races.

Bien que très critique et offrant plusieurs pistes de lectures assez riches, "L'intrusion" se révèle néanmoins assez difficile à suivre parfois. Les longues explications des mécanismes financiers concernant le travail de Doug sont quelque peu obscures pour les néophytes de la finance comme moi. Une petite simplification n'aurait pas eu d'incidence notable sur la narration et permettrait au lecteur de ne pas se perdre dans les rouages des banques d'affaire. Ce n'est qu'en rédigeant ce billet que j'ai compris où l'auteur voulait en venir avec ses multiples intrigues croisées.
On ne manquera pas, bien sûr, de faire un parallèle avec la crise financière qui nous a touché et des fraudes récurentes des traders (Madoff and co).
Capitalisme contre humanisme : quelle Amérique gagnera ? Dans tous les cas, la victoire aura un goût amer...

Un livre très intéressant donc sur les Etats-Unis mais qui se révèle un peu noyé dans un jargon financier un peu hermétique.
Lien : http://legrenierdechoco.over..
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Doug Fanning est l'exemple de la réussite sociale. Il est trader pour Union Atlantic, l'une des plus grandes banques de Boston. Grâce à son ambition sans limite, il a rapidement gravi les échelons pour devenir le responsable des opérations boursières à l'étranger. Ce poste haut placé lui permet de construire une villa gigantesque à Finden, près de Boston. C'est une véritable revanche pour Doug puisque sa mère était femme de ménage dans cette ville. Cette villa, symbole absolu de son pouvoir, va pourtant lui causer des problèmes. Sa voisine, Charlotte Graves, n'accepte pas l'intrusion de Doug Fanning dans son paysage. le terrain sur lequel a été construite la maison avait été légué à la mairie de Finden par le grand-père de Charlotte. La mairie devait entretenir cette terre recouverte d'arbres. La construction a bien entendu totalement défiguré le paysage et Charlotte ne peut tolérer un tel spectacle. Elle va donc attaquer la mairie de Finden en justice.

Adam Haslett décrit dans « L'intrusion » un monde glaçant, celui de la finance. Il fait s'entrecroiser les destins, les voix de différents personnages plus ou moins acteurs de ce monde de l'argent roi. Deux personnages émergent de manière significative : Doug et Charlotte. Ils incarnent deux visions qui s'opposent et sont irréconciliables. Doug est l'immoralité incarnée. le premier chapitre durant la guerre Iran/Irak le montre bien puisqu'il laisse abattre un avion civil sans broncher. C'est cette immoralité qui le poussera vers les sommets de Union Atlantic. Charlotte est une ancienne prof d'histoire, solitaire qui perd un peu la tête. Pour elle, Doug est le symbole de la perte de sens de nos sociétés modernes. Les mots n'ont plus le même poids, l'histoire est oubliée ou dévoyée. En cherchant à faire raser la villa de Doug, Charlotte pense trouver le combat de sa vie, celui qui va habiter son âme de militante. Rétablir le legs de son grand-père, c'est réhabiliter l'histoire de Finden.

Le coeur de « L'intrusion » c'est le monde de la finance, un monde d'un cynisme inouï. Les grandes entreprises, les grandes banques ne fonctionnent que dans le virtuel. Leurs décisions influent sur le quotidien de milliers de personnes qui semblent inexistantes. Adam Haslett décrit avec précision les transactions financières, les montages. Je dois avouer ne pas avoir saisi ces passages mais je pense que ce côté abscons souligne la volonté d'opacité des marchés financiers. le commun des mortels ne doit pas comprendre les risques faramineux pris avec leurs économies. C'est écoeurant de constater que les grands groupes ne prennent en réalité aucun risque. La banque fédérale américaine, où travaille le frère de Charlotte, couvre les pertes sous prétexte d'un risque systémique mondial. Un petit sacrifice de trader (on pense à l'affaire Kerviel) permet de faire croire à une régulation, à une justice qui est totalement factice. Rien n'arrête le circuit de l'argent.

C'est sur un ton froid, presque clinique que Adam Haslett décrit une société en crise. L'abstraction de l'argent amène une déshumanisation, une mise à distance de la réalité. Adam Haslett signe là un premier roman réussi, un constat désespéré sur notre monde.
Lien : http://plaisirsacultiver.unb..
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Il s'en faudrait de peu pour ne pas penser aux récents scandales financiers, d'Enron à la SoGé, et à ceux qui sont peut-être à venir. Avec ce personnage de Doug Fanning, Adam Haslett a dressé le portrait d'un homme élevé par sa mère sans le sou pour lequel cette réussite sociale et ce confort matériel représentent tout et ont justifié son acharnement à cette revanche sur la vie, sur les autres. A son opposé, et qui s'oppose à lui avec virulence, la seule qui oserait cet affront, c'est cette Charlotte Graves, érudite, professeure d'histoire, qui vit seule avec ses chiens dans sa maison bordélique. Alors oui, elle croit sans cesse entendre les voix de ses toutous, elle peut paraître folle, mais son discours anti-capitaliste et pour le respect de la justice et le refus de la suffisante est très clairvoyant. Son combat renvoit la folie dans l'autre camp, celui de la finance débridée, de la folie du profit.
Le roman est bien ficelé, l'intrigue qui démarre après cette intrusion de Nates et la relation qui va l'unir à Doug en même temps que le conflit avec Charlotte Graves est intéressante et captivante, mais ce qui est dommageable à la lecture, c'est le discours financier assez hermétique parfois, puisqu'il est question d'emprunts toxiques, de positions sur les marchés, et de tout un vocabulaire de trader qui peut être difficilement saisi par le néophyte. du coup, j'aurais peut-être mieux apprécié le roman réduit de quelques pages. Mais néanmoins, il en ressort quelquechose d'éminement contemporain, comme le premier roman de la crise financière.
Lien : http://chezlorraine.blogspot..
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Les premières pages nous plonge dans un récit de guerre ce qui m'a amené à me poser la question est-ce que je ne me serais pas trompé ? et en relisant la quatrième de couverture, mais non, j'ai donc entamé ma lecture avec quelques interrogations qui ont finalement trouvées leurs solutions à la fin du roman.
Je n'ai réussi à m'installer dans le roman et à la comprendre qu'au bout d'une centaine de pages, c'est bien dommage ; alors est ce que je n'ai pas compris où voulait nous embarquer l'auteur ou bien n'ai-je pas vraiment voulu embarquer ? Cela dit je ne regrette pas car l'histoire est quand même prenante si on garde son attention.

Doug, le personnage principal, est un beau gosse solitaire, marine puis numéro deux d'un grand groupe d'assurance il est arrogant et dénué de sentiments. Il aime le pouvoir et ce que celui-ci peut lui apporter.
Sa voisine, Charlotte Graves, est nostalgique d'un passé qu'elle s'est magnifié, on la voit discuter avec ses chiens qui « lui répondent » ils représentent le bien et le mal, devenue complètement folle elle a pourtant une vision lucide de ce qui l'entoure.
Il y a aussi Nate, un jeun ado complètement perdu, homosexuel qui reste scotché au basket de Doug.

Tout ce petit monde un peu déjanté à leur manière complète une situation absurde, une maison construite sur le soi-disant terrain de Charlotte, et beaucoup moins absurde par contre le traumatisme de la guerre et le délire qui s'empare des marchés financiers. Tous les sujets dérangeants sont abordés dans ce roman et un avertissement il ne faut pas être distrait à sa lecture sinon vous risquez de perdre le fil de pensée de l'auteur.

Lecture un peu difficile et moraliste certes, étrange même mais c'est évidemment le pouvoir de l'argent et l'importance qu'on lui donne qui fait écho aux situations insensées que vivent les protagonistes.
Lien : http://www.stemilou-books.co..
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Manque de rythme !
Au bout de 100 pages j'ai eu envie d'arrêter car c'était plat malgré une bonne description des personnages, du décors. Mais je n'accrochais pas. Je me suis forcé a continuer car le rythme commençait a venir. Et arrivé à la fin du bouquin, je me suis dit que j'aurais du finalement arrêter après les 100 pages. La mayonnaise n'a pas pris malgré un thème intéressant.
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