Citations sur Les aventures de Tintin, tome 22 : Vol 714 pour Sydney (60)
A l’époque de la parution de cet album, les ovnis faisaient rêver, en particulier les enfants et adolescents que nous étions. Nous revions tous d'une renontre du 3e type. Mon petit frère m’assurait avoir vu un ovni, à Valognes...Tout cela entre crainte et désir.
Hergé nous offre cette rencontre, sur base d’un kidnapping et avec le retour de Rastapopoulos et sa bande de malfaisants. Nul ne sait ce qu'ils deviennent à la fin. Car après que Tinti , Milou, Haddock et Tournesol se soient vu 🙈 retirer la mémoire de cette rencontre, on découvrira bien plus tard que le méchant Rastapopoulos a survécu dans l’Alph’Art...Dommage qu’il n’est pas été possible de finir ce dernier album pour des questions ❓ de principe. Après tout le Requiem de Mozart n'a pas été terminé par ce génie...
Encore !... Décidément, c’est une idée fixe, chez vous, d’hypnotiser les gens !… Mais avec nous, vous savez, des trucs pareils, cela ne prend pas !
Vous ne croyez tout de même pas que nous allons nous laisser hypnotiser par vos espèces de simili-Martiens à la graisse de cabestan!
Un journaliste : Pensez-vous, comme le prétend l'auteur de ce cliché, qu'il s'agisse réellement d'une soucoupe volante ?... Et si oui, croyez-vous que ces engins soient d'origine extra-terrestre ?...
Tournesol : Un chef-d'orchestre ?... Là, franchement , je ne vois pas le rapport... Pour moi, cette photo représente un de ces objets volants non identifiés qu'on appelle soucoupes volantes.
Le journaliste : Croyez-vous que ces objets volants viennent d'un autre monde ?...
Tournesol : Ronde ?... Mais cela va de soi ! Une soucoupe est toujours ronde, non ?...
Le journaliste : Euh... évidemment... Encore une question, professeur : vos compagnons de voyage et vous avez donc été frappés d'amnésie ?...
Tournesol : De la magnésie ?... Heu... oui... si vous souffrez de maux d'estomac, mais... (p.62)
Rastapopoulos : Triple buse !... Et nos prisonniers, hein ?... Nos prisonniers, où sont-ils ?...
Allan : Là... là... dans ce trou... là... là...
Rastapopoulos : Dans ce troulala ! Dans ce troulala !... Et qu'est-ce que tu attends pour les en déloger, de ce troulala ?... Hein ? Qu'est-ce que tu attends ?... (p.40)
Rastapopoulos : Qu'est-ce que tu attends pour les poursuivre, hein ?... Et n'oublie pas que Carreidas et Krollspell, il me les faut vivants !... Tous les deux !...
Allan : Bien, boss !... Entendu, boss !...
Rastapopoulos : Et cesse de parler de bosses, imbécile ! (p. 37)
Tintin : Leurs armes d'abord, Capitaine... Voilà... Et maintenant, vite les ligoter et les bâillonner... Euh... Débrouillez-vous avec leurs vêtements...
Haddock : Excuse-moi de te ficeler ainsi, mon gars, mais un marin tu sais, ça adore faire des noeuds ! (p. 30)
Tintin : Et maintenant, il s'agit de délivrer ce pauvre milliardaire.
Haddock : Pauvre milliardaire !... Vous en avez de bonnes, vous !... (p. 27)
Haddock : Si jamais nous sortons vivants de cette aventure, je promets de ne plus boire de whisky... pendant au moins quinze... non, huit... non, disons, trois jours !... Voilà, c'est promis ! (p. 25)
Haddock : Où nous sommes ?... Mais je vous l'ai dit : à Djakarta.
Tournesol : C'est curieux : j'aurais juré que c'était Djarkata.
Haddock : Mais C'EST Djakarta, mille milliards de mille millions de mille sabords !
Tournesol : Chandernagor ?... Vous voulez rire !...
Haddock : Je vous répète, tonnerre de Brest ! que c'est Djakarta, ici : DJAKARTA !... Vous allez finir par m'énerver.
Tournesol : Ah ! Nous sommes arrivés ?... Il fallait le dire tout de suite.
Tintin : Non, professeur, ce n'est pas encore Sydney : c'est Djakarta.
Tournesol : Oui j'ai bien compris. Mais je croyais que nous étions à Djakarta.
(p. 1)