Nous, filles de Sparte

Une belle couverture, une phrase d'accroche parfaite, un résumé hyper attirant… Et bien je n'ai rien aimé ou presque dans ce roman et j'en suis la première surprise, voire même un peu énervée j'avoue 🤡

On voit de la mythologie partout, c'est de plus en plus la mode ou du moins ça l'a toujours été, et c'est dur de trouver un récit qui se démarque un peu. Ayant détesté et abandonné le Chant d'Achille que j'ai trouvé chiant comme la mort, j'avais de grands espoirs ici. Espoirs vite douchés pendant ma lecture car… il ne se passe rien ou presque. C'est long, mais genre loooooong. Et mou. Et fade.

J'ai l'impression d'être la seule à avoir ressenti ça quand je lis des avis sur différentes plateformes et ça m'énerve encore plus 🥲 On me parle d'un récit féministe, de puissance, de liberté. Mais à part Klytemnestre qui nous fait deux trois mini actions de rébellion, il se passe quoi à ce niveau en fait ?.. Ok c'est romancé, ok c'est une époque révolue, ok c'est la guerre de Troie du point de vue des femmes, mais on ne m'explique pas cette guerre, guerre qui arrive d'ailleurs aux deux tiers du livre, et surtout les femmes du roman ne font que tisser, discuter auprès du feu, et se plaindre. Point. Dieu que c'était pénible comme lecture ! 🥲

Bref pas simple d'y mettre des mots, je n'ai pas compris ce roman, ce n'était absolument pas pour moi, mais sûrement que ça plaira à d'autres… Tant pis, next 🤷