était la belle-fille de
Mary Higgins Clark).
Donc, pour me consoler de l'annonce du décès de la « reine du thriller », je me suis plongée dans quelques uns de ses classiques et parmi eux, évidemment,
Un cri dans la nuit.
Le premier best-seller de
Mary Higgins Clark était
La maison du guet. Elle s'est mise à écrire après la mort de son mari, ayant d'abord été secrétaire et hôtesse de l'air. Et le succès a été immédiat.
Jenny élève seule ses petites filles, son ex-mari est plus présent pour lui réclamer de l'argent que pour l'aider. Elle travaille dans une galerie d'art et fait connaissance avec Erich Krueger. C'est un peintre talentueux, il la séduit, séduit les fillettes, leur propose une vie plus sereine, sans galère, comme le chevalier qui propose une vie de rêve à la princesse. Elle quitte tout pour le suivre. Et elle va se retrouver en plein cauchemar…
En lisant
Un cri dans la nuit, on retient surtout qu'il ne faut jamais se précipiter dans les bras d'un type qui te dit que tu es le portrait craché de sa mère ! Je plaisante, ce n'est pas le premier truc que l'on retient, mais si un jour quelqu'un vous dit ça, fuyez, ce n'est pas super sain.
Un cri dans la nuit est vraiment super. Angoissant, oppressant, presque terrifiant, c'est tout à fait ce dont j'avais besoin. J'ai retrouvé une ambiance à la Rebecca de Daphné du Maurier, avec un soupçon de Psychose d'
Alfred Hitchcock. Un cocktail vraiment intéressant pour passer une super moment de lecture.
J'avais en tête que
La nuit du renard était mon préféré de l'autrice, mais à bien y réfléchir,
Un cri dans la nuit est bien cool aussi. Mieux ? Probablement, c'est dire.
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