Elle aussi, étant une nana très bien élevée, elle n’a pas perdu une seconde pour nous remercier de notre gentille invitation. Voilà comment en moins de cinq minutes, j’avais ma queue entre ses lèvres et si sa conversation est loin d’être captivante, elle se montre plus intéressante lorsqu’il s’agit de sucer. Enfin, je pouvais évacuer toute cette tension qui me pesait depuis que cette rouquine mal peignée a ouvert la bouche. Si encore elle était attirante, je pourrais la lui fourrer avec ma bite, question de lui faire fermer sa grande gueule, mais tout chez elle me tape tellement sur les nerfs que ça me rebute, complet !
C’était une femme frustrée, malheureuse et prête à tout pour donner une leçon à son cher époux. Ce que Moore et Hux ignorent, c’est qu’on ne s’est pas arrêté aux préliminaires elle et moi. Et vu comme elle s’est déchaînée dans la salle de garde quand je l’ai baisée, je peux vous garantir que cette nana devait avoir une vie sexuelle aussi palpitante que celle du panda. Et tout ce que j’ai gagné dans cette affaire est de me faire remarquer par mon patron, mais le plus emmerdant c’est que j’ai créé un monstre.
Nous nous observons un instant et je vois cette lueur dans son regard, son abdication. Je fonce sur sa bouche, la percute et y introduis ma langue sans plus de cérémonie. Elle, s’enroule sur ma taille, s’accroche à mon cou. Je sens ses doigts s’enfoncer dans mon crâne. Son petit corps, d’une facilité consternante à manipuler tant il est frêle, se met à s’agiter sur ma queue. La maintenant par les hanches, je laisse ma main vacante glisser sous son haut et venir palper cette poitrine de folie.
Je dois ma connaissance des lieux à de nombreuses séances de baises partagées avec des collègues la plupart du temps, mais aussi avec des membres des équipes secouristes et même parfois avec des femmes venues rendre une visite à une amie, un parent, et pourquoi pas, à un mari. Avec le temps, j’ai fini par tester toutes les planques idéales pour un baiser volé, des préliminaires plus ou moins poussés ou encore, une sauterie vite fait, bien fait, juste pour me détendre un peu.
Hors de question de donner à cette conne l’impression que je suis heureux de me retrouver avec elle sur les bras. La petite réflexion de Saige ne m’a pas échappé « elle vous fera plus de bien que moi... » Il est évident qu’elle est au courant que je l’ai sautée et Huxley et moi avons pour règle d’or de ne pas nous vanter de nos plans cul avec nos subalternes à tout l’hôpital. Ce qui implique donc que Camryn a ouvert sa grande gueule pour autre chose qu’avaler !