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Critique de Chiwi


Nick, depuis l'âge de 11 ans, est obsédé par le foot. A l'occasion du roman, il va montrer que le foot et sa vie sont intimement liés en mettant en rapport un match et un évènement de sa vie qui a eu l'occasion du match.

C'est le deuxième roman de Nick Hornby que je lis. Je suis déçu. La forme du récit est assez répétitive : un match - un évènement; un match - un évènement; etc. Et cela pendnat 230 pages.
Il est plus qu'un fou de foot, c'est un obsédé. Il va à tous les matchs de son équipe favorite : Arsenal, du plus insignifiant à la finale de coupe. Sa vie personnelle doit se plier à la vie footballistique.
Le roman permet de voir l'évolution du foot : les débuts de la retransmission parcque il y a des intérêts financiers pour les clubs; le développement de la violence et des hooligans; la recherche d'un public plus classe moyenne que les classes populaires parce que les les classes moyennes peuvent payer plus cher l'entrée du stade.

Haute Fidélité m'avait habitué à des touches d'humour que j'ai eu du mal à retrouver ici. A part ce passage-ci : "Force est d'avouer la terrible vérité : j'étais disposé à accepter un gouvernement conservateur si ce sacrifice me garantissait qu'Arsenal remporterait la finale. A ma décharge, je ne pouvais me douter que Mrs Thatcher nous servirait si longtemps de premier ministre, le record du siècle. (Si je l'avais su, aurais - je conclu ce marché ? Certainement pas. Onze années de thatchérisme pour une Coupe d'Angleterre ?  J'aurais exigé au moins une Coupe d Europe en supplément.)
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