Mourez sans bruit et vous êtes un chiffre. Mourez de façon spectaculaire et vous êtes un nom.
Quand on est jeune, toutes les batailles imaginaires ont des fins héroïques. On finit toujours par gagner. Et puis on vieillit, et on comprend que la vie se termine dans les rides et les gémissements.
Parfois le vrai semble faux, en particulier quand on a eu le faux sous les yeux si longtemps.
Avec le temps, l’entraînement et la discipline pouvaient triompher de n'importe quelle faiblesse humaine.
Putain de NASA. Dans un film d'horreur, au moment où tout le monde se recroqueville sur lui-même en criant au héros de faire demi-tour et de se tirer en courant, de se glisser sous le lit, d'attraper un pistolet ou d'appeler les flics, la Nasa joue le rôle du type en arrière-plan qui crie : "Allez voir ce qui a fait ce bruit! Et prenez une lampe de poche!"
Je suis là parce qu'ils n'ont toujours pas réussi à mettre au point un ordinateur fiable, qui ne déconne pas une fois sur cent mille milliards. Ça peut paraître négligeable, mais avec des machines accomplissant des milliards d'opérations tous les jours, ça fait un paquet de conneries. et je suis censé être assez malin pour y remédier.
Chaque matin est comme la vie après la mort.
Regardez tout ce néant. Vous sentez son regard en retour?
Au plus profond de l'espace, personne ne vous entend sangloter
Des larmes gelées petrifient ma vision