Une daube de 1192 pages. Une histoire simpliste de gros méchants et de trop gentils. Un ouvrage policier à la mode comme les pires séries télé du moment (Bloodlands...) où on ne trouve qu'un seul et unique ressort narratif : le mensonge. L'histoire est bouclée dans les 30 premières pages, le reste n'est que remplissage. Pendant 40 ans de gros méchants ont continué à être méchants (utilisation ironique du terme). Pendant tout ce temps les gentils ont essayé de découvrir la vérité. Ils la découvrent et... Ne disent rien... Pour des raisons incompréhensibles, ils se mentent, cachent la vérité et laissent les méchants gagner. Comme pour toutes ces daubes policières du moment, on peut résumer le moteur qui pousse les "héros" à agir ainsi par cette question centrale : pourquoi ne disent-ils rien quand ils le peuvent afin que tout soit fini ? Avec la réponse invariablement : parce que.
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