Il était si épuisé qu'il désirait que quelqu'un, n'importe qui, le console.
"Moi, avait répondu le pianiste [Askhenazy], je suis venu en exil pour avoir la liberté de m'asseoir devant un piano n'importe quand, quand je le désire ; de même, c'est pour être libre de prendre du repos n'importe quand, quand je n'ai pas envie de me mettre au piano."
Serait-ce que, lorsqu'il fumait, les jolis paysages devenaient plus lumineux et prenaient davantage de relief ? Ou bien qu'il avait besoin d'un stupéfiant pour apaiser la solitude et le désespoir qu'il éprouvait en face des spectacles de la nature ?