J'avais apprécié l'atmosphère baroque et burlesque du « monde selon Garp » ou encore «
une prière pour Owen » qui permettait d'aborder avec un humour corrosif des sujets brulant d'actualité, mais là la magie n'opère plus et j'ai l'impression de me retrouver piégée dans une émission de téléréalité. Je ne pense pas que je finirais ce livre – j'en suis à la p 174 – malgré tout l'intérêt que je porte à la cause des homosexuels et consorts… les références à
Ibsen et Sheakspeare ne sauve rien, l'écriture est bien trop brouillonne : un flop…
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