« Vous voudrez bien m’excuser, monsieur Pemberton, d’avoir seulement sous-entendu ce que j’avais l’intention d’énoncer sans ambiguïté. »
« Pourquoi jouerais-je au whist avec un lord si je peux jouer au pharaon avec un prince? »
Ce n'est pas ... Nous n'avons pas le temps de nous apitoyer sur eux, lança-t-elle sèchement. Sois triste pour nous si tu dois l'être. Ce sont des hommes, riches de surcroît, qui peuvent décider de leur avenir. Ou de moins le choisir. Pas nous. Nous ne pouvons pas avoir qui - ce que - nous voulons ! (p 262)
- S'ils t'aiment et pas toi, tu les prives de quelque chose de beau, réagit sa sœur avec force. Je trouve cela très triste. (p 261)
Qu'éprouvait-on lorsqu'on savait dès sa naissance que son avenir était assuré et qu'il serait radieux ? Lorsqu'on dominait le monde dans une loge privée ? Ils semblaient à leur place là-haut. Aurait-elle pu se sentir à la sienne auprès d'eux ? (p 36)
il possédait un titre, une fortune importante et, contrairement à quantité de lords, toutes ses dents.
"Elle ne savait pas très bien ce qui la mettait en colère, ni pourquoi son irritation se concentrait sur lui, bizarrement, hormis qu'elle était une fois de plus consciente qu'il la comprenait presque trop bien, consciente de son regard intense sur elle. Elle se fit à nouveau la réflexion qu'il observait vraiment, il ne se contentait pas de voir, et elle n'était pas certaine de pouvoir le supporter."
"Vous me voyez telle que je suis, dans ce qui a de pire et de meilleur, comme personne ne m'a jamais vue"
Vous avez pourtant témoigné si peu d'effroi en apprenant que j'avais failli être assassiné, répondit-il avec aigreur (et un amour-propre profondément blessé), que j'ai bien envie de ne pas vous révéler si je l'ai été ou non.
c’était assurément un bel homme. Cela ne jouait pas en sa faveur car d’après l’expérience qu’elle en avait, plus un homme était beau, moins il avait de caractère