Le sang du Dragon, tome 2 : La Pierre de Gaëldenn

Le capitaine Mériadec et ses hommes sont toujours prisonniers. Alors que l'abattement est général le capitaine est toujours confiant, car pour lui un ange veille sur eux. Et cet ange n'est autre que dame Elween, une elfe que Mériadec à faite prisonnière dans le tome un et avec qui il a passé un contrat. C'est d'ailleurs une Elfe magnifique avec des ... des arguments bien supérieur à la moyenne.
Libre, les hommes pensent voguer vers le trésor de Mell-Talec, mais Mériadec n'en a cure, la seule chose qui l'intéresse c'est la pierre de Gaëldenn. Elle seule permet de lire la carte des mondes du Sidh.
La couverture, les dessins, la narration tout est fait pour nous inviter à plonger dans cette histoire. Une histoire de légende bretonne faite de surnaturel, de peuples que la plupart des humains ne voient plus et de retour vers le passé qui permet de comprendre un peu mieux le capitaine Hannibal Mériadec.
Mais ce qui m'impressionne le plus ce sont les têtes des personnages à la fois évocatrice et mises en scène à la perfection : z'ont vraiment la tête de l'emploi tous ces lascars !

Ce tome 2 permet au lecteur d'entrer véritablement dans l'histoire qui n'était qu'introduite dans le tome précédent. le scénario propose de la scinder en deux; en effet nous suivons d'un côté les péripéties du capitaine Mériadec à la recherche de la fameuse pierre magique et de l'autre la possible mutinerie lancée par un second de l'équipage dont l'attente de son capitaine devient trop suspecte. le capiatine justement, il en est question car nous apprenons un peu plus à le connaître, à cerner davantage sa personnalité et ses manières. le scénario nous offre quelques courtes scènes qui s'attardent sur des épisodes de sa jeunesse, développant ainsi sa personnalité mais renvoyant également directement aux événements présents. Ainsi nous pouvons mieux comprendre les choix et les réactions de Mériadec. L'apparition d'un nouveau personnage, surgi de son passé; laisse présager quelques rebondissements agréables, d'autant que ce personnages semble caractérisé d'une cruauté assez évidente et sufisamment poussé pour qu'on en apprécie toute la subtilité. Les tomes suivants confirmeront ou non.
Jean Luc Istin continue de se faire plaisir et de ravir son lectorat en intégrant à son récit des éléments surnaturels issus des légendes bretonnes ( les Anaons par exemple) et en en livrant une interprétation toute personnelle. Ce qui, en soi, ajoute de la profondeur et de l'épaisseur à cette histoire qui lorgne sur plusieurs genres.
Les graphismes, avec leur côté un peu naïf, conviennent parfaitement à l'ambiance du récit et sont parfaitement maîtrisés. Il manque quelques jolies planches comme Guy Michel avait su nous ravir dans le tome 1, si l'on excepte la tome d'Igilt pages 30 et 31.
Allez en route pour le tome 3....

Un tome qui monte en puissance et en intensité par rapport au premier. le pirate Meriadec et sa troupe sont faits prisonniers par le Capitaine Mallert, mais c'était prévu. Et grâce à l'elfe Elween, captive de Meriadec, toute la troupe s'évade pour aller cherche la Pierre de Gaëldenn. C'est elle qui permettra de lire les cartes des mondes du Sidh, celles qui révèlent l'emplacement de trésors mirifiques.

Comme pourrait le dire une cartomancienne de bas étage, "ceux qui survivront deviendront riches"... car le tout est en effet de rester en vie.

Aux créatures féériques, aux fantômes qui hantent les carcasses bourrées d'or, à Igilt qui s'est damnée pour la pierre qu'elle porte encore au cou... vient s'ajouter un ennemi qui évoque le passé de Meriadec, car il a bien connu sa mère, sorcière brûlée vive à Paris... le Comte de Cagliostro.

Un tome très vif, rapide, musclé et plein de frissons, de suspense et de rebondissements.

Je poursuis enfin la série. Après un ans à passer à coté, j'ai finalement céder et acheté ce deuxième tome.
Je peux juste dire que j'achèterais le tome 3.
En effet, j'ai beaucoup aimer retrouvé le capitaine Meriadec et son équipage. Cette fois à la recherche d'une pierre leur permettant de lire la carte récupérer dans le tome précédent.
Des dessins toujours très beau et très colorer.
Un couverture à vous couper le souffle.
Et une aventure au rendez-vous, plutôt bien narrer et avec sa par de mystère. On a juste envie de lire la suite.

Donc rendez-vous au prochain Tome. :)

Le sang du dragon, la pierre de Gaëldenn est le deuxième tome toujours scénarisé par Jean Luc Istin et dessiné par Guy Michel.

Tout comme pour le premier tome la couverture est aussi belle et aussi bien travailler.
On suit toujours le Capitaine Hannibal Meriadec, et de son équipage. Dans le premier tome il était parti à la recherche d'une carte sur le territoire des elfes, mais cette étant écrite avec une encre invisible, que l'on peut lire si on est en possession d'une pierre magique. Et c'est cette pierre que notre équipe de pirate va aller chercher dans ce tome. On en apprend aussi plus sur la jeunesse du capitaine .

C'est dans ce tome que commence réellement l'histoire, les scénario est très bien fait l'histoire est intéressante et je trouve une grand beauté .
La fin s'arrêtant sur un suspense insoutenable, je file lire la suite !

La suite est conforme à mon attente suite au premier ! Ici on recherche la tombe d'Igilt pour trouver la fameuse pierre et il va encore leur arriver pas mal de trucs ! le côté mythe breton me plaît beaucoup et m'incite à me renseigner plus sur le sujet, (si vous avez des recommandations :p) L'élément marquant est la rencontre avec le comte qui a l'air de connaître le capitaine Meriadec et sa défunte mère. On en sait un peu plus sur les personnages, ça prends son temps mais c'est très plaisant comme petite série.

J'ai aussi beaucoup aimé le procédé employé pour les retours dans le passé avec la colorisation qui est plus terne et sombre. Les graphismes sont toujours superbes, y'a qu'a regarder la couverture waouh ! Je suis curieuse de connaître la suite alors je vais sans doute me laisser tenter dans les prochains jours !

exellent ce 2 eme tome