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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ayant eu le privilège d'être sélectionnée pour cette masse critique privilégiée et nommée à ce titre "ambassadeur du monde d'Aquilon" (à ce titre s'ajoute le fait qu'en plus d'avoir reçu cette première bande-dessinée, consacrée aux orcs et gobelins, je devrais en recevoir une autre en septembre mais...suspense pour le thème), je tiens tout d'abord à remercier babelio et les éditions Soleil pour ce magnifique cadeau. En effet, si j'ai postulé ici, ce n'est pas tout à fait par hasard. Il faut avouer que j'ai joué quelque temps au jeu de plateau Warhammer et même si je n'étais pas une fervente adepte et ne maîtrisais pas toujours les règles (assez complexes), j'avais de la chance aux dés et surtout je me suis familiarisée avec tous ces personnages qui composent le jeu.
Aussi, les orcs n'avaient pas de secrets pour moi jusqu'à ce que je découvre ici Turuk, un personnage semi orc, plutôt beau parleur et je dois l'avouer assez futé pour un orc (fait assez rare il faut le souligner - les orcs étant en général réputés pour être des brutes sanguinaires et sans cervelle - ce qui vous l'avez compris, n'est pas le cas ici.

Lorque Turuk se réveille sur une île mystérieuse, il n'a d'abord aucun souvenir de la manière dont il est arrivé ici puis, faisant la rencontre de deux de ses amis (enfin pour peu que les orcs aient des amis car comme je le disais, en général, ils ne pensent qu'à leur gueule de cul-vert et c'est tout), Rondar'r et Firr, ses souvenirs lui reviennent peu à peu grâce à leur récit et à la manière dont ils se sont enfuis tous les trois de la prison d'Armuhr -prison dont on ne s'évade d'ordinaire jamais car extrêmement bien gardée par des elfes sylvains...à ne pas confondre avec les hauts elfes...bon là, je veux étaler ma science mais vais arrêter d'en faire trop pour ne pas dire trop de bêtises). Lorsqu'ils découvrent dans un premier temps qu'il n'y a pas âme qui vive dans cette ville prétendue fantôme, ils découvrent également qu'un chasseur les piste et il s'agit en réalité de l'une de leurs anciennes maton (je ne connais pas le féminin du mot, désolée), la belle mais extrêmement dangereuse et agile elfe Dalyam. Ensemble, cependant, ils vont conclure un marché : s'allier (bien que cela soit d'ordinaire contre nature ) afin d'affronter les âmes errantes qui résident en ce lieu : des goules défunts qui, si ils vous tuent vous transforment en l'un des leurs alors autant dire, mieux vaut ne pas se faire choper !

Arriveront-ils à s'entendre et à respecter leur part de marché : dans un premier temps oui (survie oblige) mais pour le rets, rien n'est moins sûr lorsqu'il s'agira de s'enfuir de ce qui paraît être une impasse lorsque l'on de possède ni dragons pour arpenter les airs ni bateau pour écumer les mers.

Un univers dans lequel vous découvrirez également d'autres créatures mystérieuses (du moins de nom et par les travaux qu'ils ont accompli sur cette île, mais je vous dirai pas de qui il s'agit afin de ne pas trop gâcher le suspense), extrêmement bien travaillé du point de vue graphique (rien à redire là-dessus) et un suspense qui tiendra son lecteur jusqu'à la toute dernière page. A découvrir pour les plus curieux et à redécouvrir pour les fans !
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Chouette, des p'tits nouveaux sur les terres d'Arran !
Et pas des moindres, hein...
Après les superbes et éminents Elfes, les Nains forts en gueule et en vaillance, garez-vous, v'la les vrais méchants pas beaux..j'ai nommé : les Orcs !

Dans ce premier opus, on découvre Turuk. Lui, il a un peu triché, il n'est qu'un semi-orc. Sa mère était une Orc. Une orque ?? Une remorque ?? Bah laissez tomber la comparaison mais on n'est pas loin. Un Orc c'est drôlement balaise, ça pèse au bas mot un quart de tonne et c'est verdâtre...
Avec du sang elfique dans les veines, qui lui vient de son paternel, Turuk s'en sort un peu mieux que les autres. C'est le beau gosse, quoi ! Enfin, tout est relatif..hein !
Mais la bôgosse attitude s'arrête là, parce que côté caractère, il ne fait pas dans la dentelle, le Turuk. Égoïste et sans pitié pour ses petits compagnons de route, il fonce dans le tas et n'a qu'une idée en tête : sauver sa peau !

J'ai beaucoup aimé ce tome. le scénario n'est pas forcément très fouillé et on se trouve (encore ?!!) face aux vilaines goules présentes dans la série Elfes, mais qu'à cela ne tienne, le rythme soutenu et les dialogues enlevés participent à la joie de découvrir un nouvel univers en terre d'Arran, qui, soit dit en passant, reste une petite merveille graphique !
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Les Elfes, on connaît.
Les Nains, on connaît.
Tiens, un p'tit nouveau. Enfin je dis petit de loin car de près, ce semi-orc, portant le doux nom de Turuk, ferait plus penser à un char d'assaut qu'à un pistolet à bouchon.

Une nouvelle franchise associant Orcs et Gobelins (on oubliera ces derniers ici aux abonnés absents), pourquoi pas au vu du niveau des séries précitées.
Le rythme des diverses parutions ne laissent pas de me surprendre mais quand c'est bon, c'est bon.

Bienvenue à toi, donc, verdoyant héros en bien fâcheuse posture dans cet île infestée de vils bouffeurs de chair fraîche. Comme un p'tit relent de Je Suis Une Légende de prime abord. Au second également.

Mais peu me chaut, un récit pêchu au phrasé très actuel venant ici appuyer un visuel hyper agréable à l'oeil droit, le gauche étant bien plus difficile à contenter, le tout se déguste prestement, le curseur plaisir flirtant solidement avec la zone rouge.

La trame ne brille pas par son originalité, certes, mais contentera aisément tous les fans de ces univers désormais familiers.
Porté par un personnage attachant à défaut d'être d'une intégrité sans faille, ses amis ne me contrediront pas sur ce point, Turuk le belliqueux, secondé par un allié des plus surprenants, ouvre le bal de façon jubilatoire avant que Myth, gobelin de son état, ne prenne la relève.

Plus qu'à nous souhaiter le même panard de lecture...
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Turuk, orc de naissance, se réveille la mémoire en lambeaux sur ce qui semble être une cité insulaire… vidée de toute vie. Si rapidement deux rencontres viennent contredire cette première impression, pointes de flèches et crocs acérées lui donnent la preuve que les autres occupants de l'île n'ont rien d'amical…

La bande à Istin, Peru et consorts remet le couvert pour une troisième série. Après les elfes et les nains c'est au tour des peaux vertes d'être mises à l'honneur. Projet éditorial de plus en plus tentaculaire, le monde d'Arran s'élargit pour accueillir nos sales gueules favorites. Nombre de talents de Soleil sont mis à contribution au détriment de potentiels autres titres, mais la qualité est toujours la norme ici, alors qui s'en plaindra ? Le scénario, exercice de survie à la mode zombi compense son manque d'originalité, véritable classique rôlistique, par son efficacité. Le dessin, de qualité, fait la part belle aux plongées et contre-plongées offrant vitesse et verticalité à un récit qui alterne poursuites et bastons. Deux éléments viennent toutefois entamer ce vif enthousiasme. D'une part le lecteur fourbi peu de doutes quant à la capacité du héros semi-orc à survivre aux épreuves qui lui sont opposées, petit échec pour une histoire qui se veut étouffante, terrifiante, haletante... D'autre part la race des personnages paraît n'être qu'un prétexte. Trop peu d'éléments donnent véritablement corps à ces orcs qui, tout bien pesé, pourraient être issus d'autres rangs. A l'image d'une Harley Quinn dont la pire atrocité serait de briser une vitrine pour en extraire un sac à main, ces peaux vertes peinent à transpirer le vice et la brutalité… L'album reste cependant de haute tenue, et c'est bonne nouvelle sachant que les ambitions des auteurs ne s'arrêtent pas là, puisque déjà quatre autres albums sont sur le métier. Ne reste qu'à souhaiter que ces derniers soient un peu plus inspirés.
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Le sexy XIII serait-il revenu sous les traits imposants d'un Orc ? Parce qu'un mec qui se réveille sans savoir qui il est, ni ce qu'il fait là, ça ressemble vachement à la saga XIII, non ?

En plus, tout comme le plus célèbre amnésique de la bédé, Turuk est plutôt beau gosse pour un Orc !

Tiens, à lui aussi on veut lui faire la peau. Décidément, c'est vraiment XIII en version fantasy.

Nouvelle série pour cette saga qui, après les Elfes et les Nains, s'attaque maintenant aux Orcs et aux Gobelins, tout en faisant tenir leurs histoires dans un Grand Ensemble scénaristique, puisque certains Nains vont chez les Elfes et certains Gobelins des Elfes auront leur Histoire dans cette nouvelle série.

Vous suivez toujours ? Non ? Retenez juste que tout le monde se mélange avec tout le monde et que tout cela reste foutrement cohérent ! Mais pas sexuel…

Une autre référence à l'univers des Elfes, ce sont les zombies, les goules, les morts-vivants qui veulent toujours vous faire des gros poutous puants. Ben oui, ils ont envahi le monde des Elfes, des Nains et des Orcs, puisque c'est le même monde. Élémentaire.

L'amnésie de notre géant vert sera de courte durée et principalement utilisée pour nous présenter la vie et le passé du beau Turuk, comment il est arrivé là, dans ce trou paumé et pendant que le scénariste nous présente son passé, Turuk se rend compte qu'il n'est pas seul dans ce village peuplé de zombies et qu'il n'est pas LE seul non plus à ne pas être infesté.

Va falloir se serrer les coudes pour s'évader.

Turuk, c'est l'Orc dont on aimerait avoir pour ami, un type qui ne vous lâche pas, sauf si sa vie est en danger, alors là, vous irez vous faire pendre ailleurs car Turuk partira sans vous. Turuk, c'est l'immonde salaud qu'on arrive pas à détester vraiment car en nous racontant sa vie et sa survie, il nous rend complice de ses exactions.

Dans ce premier tome, c'est de l'action pure et dure, mêlée à des mystères, une quête, une enquête et une fuite endiablée de nos amis pour tenter d'échapper aux bisous horribles de ces créatures en putréfaction qui sèment des morceaux d'eux un peu partout.

On pourrait croire le scénario éculé (rajoutez pas un "n" mal placé), mais non, car le scénariste arrive à insuffler du mystère et une tension énorme durant le périple des Orcs et de l'Elfe afin d'atteindre une zone où ils ne seront plus mis en danger.

— Cours, Forest, cours !

Sans oublier que, selon le célèbre Docteur House, tout le monde ment !

Le scénario est déjà bien travaillé, mais en plus, les dessins sont à tomber par terre tant ils sont superbes !

Alors, que demander de plus ? La suite, bien entendu ! Se sera avec Myth le voleur, puis avec Gri'im le vieux guerrier Orc en quête de vengeance, Sa'ar le gobelin, Dirty Dozen d'Ayraak, sans oublier l'orkelin La Poisse croisé dans le tome 18 de la série "Elfes".

Sans être un chef-d'oeuvre au niveau scénario, cet album tient toutes ses promesses et je me réjouis à l'idée de découvrir les aventures des Orcs et Gobelins !

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Salut les Babelionautes
Voila ce qui arrive a ceux qui se laissent entraîner dans un Challenge SFFF ou les paliers donnent droit de lire des BD.
C'est mon cas, pourtant je ne suis pas un bédéiste accompli comme certain, pour moi c'est toujours trop court même en s'attardant sur les planches.
Qu'avons nous la? Un Orcs amnésique se retrouve dans une ville qui parait déserte, en cherchant un point de vue élevé il s'aperçoit que cette ville est sur une île sans aucun bateau.
Hors les Orcs ne flottent pas trop bien et pour compliquer la donne la population de cette ville a était transformé en zombie et leur seul but est de se faire un casse croûte de Turuk, puisque tel est le nom auquel il répond.
Sans compter une Elfe qui le traque en essayant de l'embrocher de ses flèches, mais c'était sans compter sur la rouerie de Turuk, car pour lui il n'y a que sa survie qui l'intéresse.
Sur un scénario de Jean-Luc Istin et des dessins de Diogo Saito voila une BD que j'ai apprécié, dommage que les médiathèque que je fréquente n'est pas la suite.
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Après les elfes puis les nains, c'est au tour des "culs-verts", la troisième race des terres d'Arran d'avoir leur propre série aux Editions Soleil.
Dans ce premier tome, nous nous intéressons à Turuk, un orc beau gosse car métis mi-orc mi-elfe. Il se retrouve amnésique dans une ville apparemment déserte. Au fil des pages, la mémoire va lui revenir au contact des trois autres personnages de l'histoire, deux orcs et une elfe verte. Ensemble, liés par une alliance orc-elfe contre nature, ils vont devoir échapper à la menace mortelle qui plane sur les terres d'Arran durant les saisons 2 et 3 de la série "Elfes", à savoir les goules. Eh oui, nous sommes chronologiquement toujours à cette époque dans ce tome premier de la série "Orcs et Gobelins" (même s'il est paru en 2017 à la fin de la saison 4).
Comme cette fois on est du côté des orcs, le langage et les manières se rapprochent quelque peu des nains mais avec un code de l'honneur assez particulier. C'est le chacun pour soi qui prime comme nous le démontre la dernière partie...

Au final, un sympathique album de fantasy aux beaux graphismes de Diogo Saïto dans la même veine des séries "Elfes" et "Nains", mais au scénario un tantinet basique dont les rebondissements se laissaient prévoir en tenant compte de la psychologie primaire des orcs.
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Après le succès incontesté des séries Nains et Elfes, ça aurait été un peu idiot (financièrement parlant dans le monde difficile de la BD d'aujourd'hui) de ne pas continuer à rentabiliser le filon en exploitant d'autres races.
C'est donc, assez logiquement, le tour des Orcs et des Gobelins. Ce premier anti-héros est un orc plutôt bien de sa personne qui, outre une force bestiale, présente une subtlité bien a-propos dans une aventure peuplée de goules.
Le scénario n'est pas franchement original mais est efficace et plutôt bien mené et présente quelques petits rebondissements assez chouettes.
La fin me laisse sur ma faim (quel mauvais jeu de mots) et est assez abrupte mais c'est, je l'espère, pour mieux rebondir.
Le dessin est bon, régulier, bien maitrisé et efficace.
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Les terres d'Arran est une saga de Fantasy de bandes dessinées. Elle est publiée par Soleil et imaginée par Jean-Luc Istin et Nicolas Jarry. Il y a 4 séries principales dans la saga : Elfes, Nains, Orcs et gobelins, Mages. La série Orcs et gobelins comptent 15 tomes. le premier Turuk, a été publié en octobre 2017 avec Jean-Luc Istin au scénario et Diogo Saito aux dessins.
Turuk se réveille blessé et amnésique. Il découvre que l'endroit où il se trouve est une cité qui semble totalement abandonnée. Il n'a aucun souvenir de la manière dont il est arrivé sur cette île mais va vite s'apercevoir que des créatures étranges y ont élu domicile. Il va cependant rencontrer deux orcs de sa connaissance Rondar'r et Firr qui vont lui raconter ce qui lui est arrivé.
Turuk est le personnage principal de ce premier tome. C'est un semi orc, beau parleur et plus futé que la moyenne. Il sait même lire ! Il va être amené à nouer une alliance contre nature pour un orc avec une elfe Dalyam pour espérer se sortir de cette maudite île. le scénario de ce premier tome est assez classique mais laisse présager de belles choses dans l'univers. C'est intéressant d'avoir un héros orc qui change des personnages traditionnels mais aussi de l'image que l'on a des orcs. Les dessins sont vraiment très beaux autant pour les personnages que pour les paysages. Ils sont très dynamiques et les scènes d'action sont très bien rendues.
Une belle réussite pour ce premier tome de la série !
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La première chose qui me marque sont les très belles illustrations et couleurs, la double page avec le château sur l'eau est magnifique ! L'intrigue est super aussi, j'ai adoré suivre les aventures de cet orc un peu bourru mais assez sensible pour avoir une relation amoureuse, même si ce n'est pas le coeur de l'intrigue. On fini sur du suspens mais le tome est déjà très complet, on a la présentation des personnages, l'introduction de l'intrigue et il n'y a pas besoin d'avoir lu les autres opus qui forment l'univers pour comprendre et apprécier cette bande dessinée. Il y a beaucoup d'action dans ce tome, pour mon plus grand plaisir, je n'aime pas quand ça traîne dans les BD, le format ne s'y prête pas vraiment je trouve. Moi qui ne suis pas un grand fan de fantasy, j'ai bien aimé.
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