Tahar vit ses dernières heures sur son lit d'hôpital entouré par son épouse, son fils muet et son beau-père chrétien.Les médecins ont tranché, il a fallu "le débrancher", ce n'est plus qu'une question d'heures ..
Tahar à la fin de la guerre d'Algérie a choisi de suivre les français et de venir s'installer à Paris.Il y a fondé une famille et vécu une vie en demi-teinte.Son Algérie il n'y est pas retourné certes mais elle est là bien présente au fond de son coeur , de sa mémoire, dans la prunelle de ses yeux.Les souvenirs se bousculent, la lumière est là toujours aussi violente , la chaleur aussi mais qui raconte ? IL , Je ?c'est ce mode de narration qui passe de l'un à l'autre qui m'a pesée !
C'est dommage, je suis passée à côté de cette histoire , j'ai du mal avec ces auteurs qui "s'écoutent écrire" et devant ces phrases si recherchées j'ai envie de leur dire faîtes simple svp !!!
Vous l'aurez compris si je ne l'ai pas aimé ce roman trouvera sûrement
son public
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