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Citations sur La villa aux étoffes, tome 2 : Les filles de la villa a.. (24)

En octobre de l’année précédente, son époux avait eu une permission de quelques jours, pendant laquelle il avait on ne peut mieux rempli ses devoirs conjugaux.
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La guerre s’était installée. Tel un esprit malfaisant, elle régnait sur le pays, dévorant tout ce qui était à sa portée. Pain et viande, hommes et enfants, argent, chevaux, essence, savon, lait et beurre. Elle paraissait insatiable.
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Elle dissimula le pain sous son fichu jusqu'à ce qu'elles arrivent à la hauteur des prisonniers. Alors sa main surgit brusquement de sous l'étoffe et le délicieux petit pain changea de propriétaire. [...] Seules deux personnes eurent connaissance de ce qui s'était produit : la fille de cuisine Hanna Weber et un jeune Russe, qui fit précipitamment disparaître le présent sous sa veste.
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Des milliers et des milliers de femmes maudissent cette guerre qui leur prend ce qu'elles ont de plus cher au monde. Et pourtant, nous supportons cette situation, nous l'acceptons en silence comme relevant d'un sort commun. Et nous espérons que les dirigeants de l'Europe [ ... ] reviendront à la raison.
Suis-je une rebelle ? J'aurais très envie de descendre dans la rue et de réclamer la paix et la justice. Mais ne t'inquiète pas, je ne le ferai pas. Je resterai ici à espérer et à attendre.
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Les rats continuaient de lui inspirer un sentiment de panique, mais son attitude à leur égard avait changé. Ils étaient logés à la même enseigne que les soldats, confinés sous terre, terrifiés par les secousses dues aux impacts d'obus. Parfois, même, ils accompagnaient les assauts et se faisaient déchiqueter par les mortiers à l'égal des hommes. Ils étaient leurs compagnons, leurs ombres et leurs fossoyeurs, car ils mangeaient les cadavres.
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Les blessures de guerre ne ménageaient pas la pruderie dans laquelle étaient élevées les filles de bonne famille. Et il y avait pis encore : devoir être témoin de toute cette détresse, consoler là où aucune consolation n’était possible, donner de l’espoir quand soi-même on perdait progressivement confiance.
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Heureux qui peut se réclamer d'un bonheur passé. C'est un trésor que personne ne lui ôtera.
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Quel dommage que Lisa et Kitty ne soient pas
descendues pour le petit déjeuner, elles auraient appris la nouvelle, déplora Alicia. Notre vie de famille se défait, cela ne me plaît pas du tout. Désormais, chacun va et vient comme bon lui semble, j'ai l'impression d'être dans un buffet de gare.
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Il la trompait parce qu'il était un homme. Si
elle agissait de même, elle serait une putain.
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La police n'est pas dispensée d'observer les lois et les règles de la bienséance.
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