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Un objet.

Ce livre est un objet littéraire. Difficile à définir. Compliqué à décrire.

Un objet.

Marc, l'antihéros de ce livre. Marc, l'objet de tous les délits ?

Il s'agit en tout cas du protagoniste principal de ce récit puisqu'il sera au centre d'une histoire qu'on ne peut raconter.

Juste que le soir de son enterrement de vie de garçon, Marc disparaît. Il refera surface trois ans plus tard dans des conditions des plus étranges.
Trois personnes vont alors raconter leur version de l'histoire.

Tour à tour, histoire d'amour, thriller ou roman psychologique, cet OBJET TROUVE m'a désarçonné.

Je ne savais pas à qui, à quoi m'attendre en débutant ma lecture et j'ai passé mon temps à me faire balader sur des sentiers beaucoup moins conventionnels que je ne le pensais au départ.

Quoi de mieux que se retrouver en terre inconnue et se laisser surprendre …

Ce livre emprunte des chemins glissants et casse- gueule et s'en sort avec élégance. Un roman qui s'en va loin des sentiers battus et s'intéresse à des sujets inhabituels. Des personnages forts, intriguant. Je me suis attaché à ces êtres friables, conscients de leurs limites …

Une vraie réflexion sur l'amour, la réalisation de soi et le sexe. La virilité. La confiance. L'Autre.

Une fable moderne. Terriblement d'époque. Désenchantée et puissante.

Un bien bel objet.

Il a trouvé sa place dans ma bibliothèque.
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***

Après 3 ans d'absence, Marc est retrouvé inconscient dans un appartement lyonnais. Une femme, toute habillée de cuir et cuissardes aux pieds, gît sans vie pas très loin de lui... Que s'est-il passé ? Quelle histoire raconte cette scène improbable et mystérieuse ? Nadège, celle qui a attendu Marc pendant toutes ses années, va-t-elle comprendre et pardonner ?

Lu grâce aux 68 premières fois, ce roman de Matthias Jambon-Puillet est intrigant, dérangeant et étouffant.

Fort d'une écriture fluide, simple et aérée, ce premier roman traite d'un sujet très peu évoqué en littérature : les comportements sexuels alternatifs.
Sous le regard des 3 personnages principaux, le lecteur devient le spectateur d'un triangle amoureux étrange et sombre.
Pourquoi Marc quitte-t-il aussi facilement sa vie, son quotidien, sa fiancée, pour disparaître aux côtés de Sabrina, une femme dominatrice et froide ?
Pourquoi Sabrina a-t-elle besoin de violence et de soumission pour aimer cet homme qu'elle sait parfait ?
Pourquoi Nadège attend-elle cet homme qui l'a fait souffrir et qui n'est plus le même ?

Autant de questions que de réponses floues, silencieuses et étonnantes...
Un roman en marge de cette rentrée littéraire de septembre, qui mérite d'être découvert...
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Maîtresse et esclave

Sabrina est retrouvée morte dans son appartement de Lyon. En racontant l'enquête qui suit Matthias Jambon-Puillet nous offre un premier roman qui explore une face cachée de la sexualité. À la fois étonnant, sans tabous, et surprenant.

Attention, livre chaud, livre choc! Cet Objet trouvé n'est pas à mettre entre toutes les mains, même s'il nous dévoile un pan fort intéressant de la sexualité connu sous le sigle BDSM et dont Wikipédia nous apprend qu'il signifie «Bondage, Discipline, Sado-Masochisme» et «désigne une forme d'échange sexuel contractuel utilisant la douleur, la contrainte, l'humiliation ou la mise en scène de divers fantasmes dans un but érogène. Au centre des pratiques sadomasochistes et fondé sur un contrat entre deux parties (pôle dominant et pôle dominé)».
Avec l'histoire de Marc, Matthias Jambon-Puillet va nous en offrir une illustration saisissante. Marc, c'est cet homme retrouvé par une brigade de pompiers un immeuble de la Croix-Rousse à Lyon. Chargée de vérifier si une jeune femme dont on est sans nouvelles depuis plusieurs jours est toujours en vie, elle va tomber sur le corps sans vie de Sabrina, ligotée dans une tenue de cuir qui ne couvre qu'un minimum de ses attributs généreux et sur cet homme prostré, recroquevillé dans la pièce attenante.
L'enquête commence. Elle va nous permettre, grâce à l'habile construction du roman, de découvrir petit à petit comment on en est arrivé à ce drame. Comment Marc a soudain basculé d'une vie à une autre. Comment, le soir de l'enterrement de sa vie de garçon, il a disparu, laissant Nadège, sa fiancée, désemparée. D'autant plus que, quelques mois plus tard, elle donnera naissance à un petit garçon qu'elle appellera Enzo.
L'habile construction du roman, qui fait alterner les points de vue, nous permet de suivre Marc et Sabrina – le dominé et la dominante – ainsi que Nadège et Enzo qui essaient de se construire un avenir avec Antoine. Jusqu'à ce fameux fait divers qui va remettre Marc dans la vie de Nadège. C'est l'heure des questions, des remises en cause, des doutes: «J'espère que je n'étais pas à côté de la plaque; pas pendant toutes ces années avec toi. Je crois que ce serait ça, le pire, que je sois passée à côté de qui tu es vraiment». Mais c'est aussi un formidable jeu de la vérité où les masques vont tomber les uns après les autres.
Évitant tout manichéisme, Matthias Jambon-Puillet nous propose une réflexion aigüe sur les liens qui unissent un homme et une femme, sur la quête de l'harmonie sexuelle, sur les limites du pouvoir que l'on peut avoir sur une personne et sur la possibilité – ou non – de changer après avoir été pris dans un tel engrenage. Un premier roman parfaitement maîtrisé et une jolie performance, car avec un tel sujet les risques de dérapages étaient très nombreux.

Lien : https://collectiondelivres.w..
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Objet trouvé de Matthias Jambon-Puillet est ma cinquième lecture de la sélection Rentrée littéraire 2018 des 68 premières Fois.
Je ne savais pas trop à quoi m'attendre tant la couverture de la collection dirigée par Jean-Baptiste Gendarme pour les éditions Anne Carrière est peu informative avec son titre coloré sur fond violet.

Cette lecture m'a un peu sortie de ma zone de confort, si tant est que j'en ai une… Au-delà de l'ambiance BDSM qui n'est pas mon domaine favori en littérature, ce roman développe des problématiques intéressantes et les illustre de manière originale. Si certaines scènes m'ont un peu gênée, je suis vite passée outre les codes et stéréotypes décrits et les distributions des rôles, évidentes ou pas, entre maîtres(sses) et soumis(es), entre dominant(e)s et dominé(e)s, pour essayer de saisir le sens profond de ce livre ou du moins de trouver d'autres clés de lecture.
Les personnages principaux ont du mal à entretenir et à faire perdurer des rapports sociaux, amicaux, amoureux. La vie de couple relève de l'utopie à la fois pour Nadège dont le fiancée et père de son enfant a disparu, pour Antoine qui assure juste un intérim auprès d'elle, pour Marc qui a fui le mariage prévu et pour Sabrina qui mène sa vie comme un puzzle dont les pièces s'emboitent sans interagir entre elles.
Le triangle amoureux habituel est ici valorisé par des pratiques de sexualité alternatives qui mettent en lumière la difficulté à s'engager dans une relation selon les attentes et les peurs de chacun.
Le récit de Matthias Jambon-Puillet se décline en une suite de points de vue ; celui du prologue pose simplement le cadre et c'est original, à la fois factuel et superflu. J'ai un peu regretté qu'Antoine n'ait pas droit à sa petite partie lui aussi et qu'il se trouve relégué dans l'épilogue. le fait que ce soit Nadège qui trouve la clé du mystère est peut-être un peu tiré par les cheveux, mais ce roman n'est pas une enquête à proprement parler… L'écriture est d'une redoutable efficacité et fait oublier ces détails.

L'objectalisation acceptée par Marc, sa servitude volontaire et dérangeante met en évidence plusieurs formes de neutralisations, au niveau psychologique d'abord ; en effet, avant d'être trouvé, un objet est perdu… Ici, Marc a disparu et a été trouvé par Sabrina qui, elle-même, s'était un peu perdue d'une certaine manière. Il n'a eu aucune peine à disparaître, à devenir introuvable et à se réaliser dans une parenthèse spatio-temporelle. Son silence et sa passivité ont pris sens, à plus forte raison dans notre société qui prône l'activité.
Le fétichisme m'est apparu comme une forme de neutralisation par autrui ; les accessoires agissent sur le corps, le contraignent physiquement et physiologiquement.
Enfin, il y a une neutralisation de type moral. Les dictionnaires définissent en général le sadomasochisme comme une perversion sexuelle qui associe des pulsions complémentaires. le BDSM définit toutes les pratiques qui font intervenir le bondage, la domination, le sadisme et le masochisme, la soumission et les punitions. Dans Objet trouvé, celles et ceux qui s'y adonnent sont au-delà de la notion morale de bien et de mal ; s'il y a bien de l'affect, il n'y a plus de jugement et une forme de respect mutuel régit les échanges : tant pour dominer que pour se soumettre, les pratiquants se révèlent paradoxalement très réceptifs les uns aux autres, même si cela ne se voit pas de manière évidente.
Matthias Jambon-Puillet m'a agréablement surprise ; je n'avais pas envie de me plonger dans une ambiance érotique en nuances de Grey et son roman, heureusement, est bien plus que cela… Il arrive à démontrer que les actes normalement qualifiés de violents ou d'agressifs qui se justifient essentiellement par leurs effets psychologiques et corporels, peuvent aussi être considérés comme autant de moyens de communication. En effet, Sabrina avec Marc, Marc avec Nadège et même Antoine avec Marc se révèlent capables de décrypter un état intime, affectif, libidinal ou physiologique, ce qui implique une bonne attention et une certaine capacité d'évaluation et d'écoute.

Avant de conclure, j'ai un aveu à faire… Comme l'auteur pour écrire son livre, je suis allée un peu traîner sur certains sites Internet pour mieux comprendre de quoi il retournait exactement. J'ai ainsi découvert quelques excellents articles sur Cairn.info, notamment… (What did you expect !?)
Avec Objet trouvé, Matthias Jambon-Puillet sort des sentiers battus et propose des pistes de réflexion, sans tabou ni jugement : à découvrir.
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Mesdames et messieurs, ceci est un OLNI – objet littéraire non-identifié. J'ai ouvert ce livre en pensant trouver un roman psychologique sur l'absence et l'abandon. C'est bien ce que j'y ai trouvé pendant quelques pages, le temps pour Nadège de recoller les morceaux et de s'inviter chez l'ancienne maîtresse décédée de Marc. Après ça, plongée dans l'inconnu, découverte d'un monde que j'avais dénigré en le voyant apparaître dans Cinquante nuances de grey. Ici, c'est différent, on sent bien que l'objectif de l'auteur n'est pas d'effaroucher des femmes au foyer en manque d'aventures. Ici, c'est un livre à coeur ouvert, un partage sur les différentes façons d'aimer et d'être aimé, de se soumettre et de dominer, de se faire violence et de violenter. Ce n'est pas un jugement de valeur, ni une recommandation, seulement une exploration, une fenêtre ouverte sur des pratiques inconnues et souvent mal interprétées.

Ce livre m'a intriguée, envoutée parfois, poussée dans mes retranchements souvent. Il m'a sortie de ma zone de confort, de mes thèmes de lecture habituels, des chemins battus de ma pensée. Très bien écrit, il a su me faire voir différemment les pratiques BDSM, le monde qui les entoure et les gens qui s'y adonnent. Maintenant que ce livre est refermé, je serais bien en peine de vous donner mon opinion sur ces pratiques. En ai-je encore une, à part celle de la tolérance ? Objet trouvé est un premier roman décidément bien étrange, il chamboule et questionne, tout en donnant une belle illustration du don de soi par amour, qu'il s'agisse d'Antoine, Marc, Sabrina ou Nadège. Etrange carré amoureux que celui-ci, tout en saillies et en creux, quatre personnes dont la personnalité se détermine par le rôle dans le couple. Leur histoire nous amène à prendre du recul, abandonner les idées toutes faites et reconsidérer notre propre vision de l'amour. Surprenant.
Lien : https://theunamedbookshelf.c..
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Les comportements humains sont souvent complexes et imprévisibles , et il en est tout autant pour les perversions sexuelles .
Marc , qui vit avec Nadège , et dont il attend un enfant , part un soir enterrer sa vie de garçon (on est en 1968 , je suppose) , et il ne réapparaît pas pendant plus de trois ans .
Personne ne l'a revu , aucune trace de lui nulle part , comme si la terre l'avait englouti .
Par dépit , Nadège finit par vivre avec Antoine , qui va devenir un père de substitution pour Enzo , le fils de Marc .
Et puis , un jour , alertés par les voisins , les pompiers pénètrent dans un appartement et découvrent une jeune femme décédée , habillée de cuir , Sabrina , et à ses côtés , un homme menotté et en état de catatonie . On a retrouvé Marc .
Sabrina est vêtue de cuir des pieds à la tête , longues cuissardes , bustier maintenu par des dizaines de rubans croisés et gants en cuir ; elle est la maîtresse .
Nadège veut comprendre , elle remonte , avec l'aide de ses amies , la piste de Sabrina , va sur les sites BDSM que la jeune femme fréquentait avant sa mort , et découvre que le couple se rendait parfois à des soirées très spéciales où des femmes montraient leur esclave sexuel , et , réciproquement , des hommes exhibaient leurs soumises .
Il faut préciser qu'à chaque instant , Marc était libre de quitter Sabrina , l'enfermement , la soumission et la mort sociale , sans jamais franchir le pas .
Au-delà des apparences (le sexe alternatif , la soumission , les codes , tout ça ) , il y a une dimension qu'il ne faut pas négliger , c'est l'amour entre deux êtres .
Car , au fond , qu'est-ce que l'amour ? La recherche du plaisir est-elle antinomique avec les sentiments ?
En définitive , qu'est-ce que l'être humain ?
Je ne connais pas les réponses à ces questions et je préfère ne rien en savoir .
Ce qui est certain , c'est qu'il n'existe aucune norme en matière d'amour et de sexualité , c'est ce qui nous différencie de l'animal : nous faisons l'amour en toutes saisons et dans toutes sortes de positions , et la recherche du plaisir passe bien avant la procréation .
Ceci étant dit , ce roman m'est apparu comme un objet non identifié , très loin des codes habituels de l'écriture que je fréquente .
Je n'en suis pas fanatique , loin de là , mais au moins , ce premier roman impose sa différence .
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La première impression était bonne : un roman intimiste comme j'aime; une écriture nette, précise, comme j'aime.
Jusqu'à la page soixante.
Comme je ne lis pas la quatrième de couverture, je ne m'attendais pas à ce qui suivait. C'est l'avantage de la découverte. Sauf que dans le cas présent, c'est franchement surprenant, déroutant. Je suis tombée dans un milieu dont j'ignorais les modes de fonctionnement.
J'ai marqué un temps d'arrêt . Puis, la qualité de l'écriture aidant, j'ai continué. Non sans sauter des mots pour en accélérer la lecture.
Je suis restée extérieure à cet objet insolite, trop bien explicité. En superficie.
Reste l'écriture maîtrisée, la quête d'identité profonde même si elle ne me convainc pas.
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Le soir de son enterrement de vie de garçon, Marc disparait, laissant seule sa fiancée, Nadège, enceinte de leur premier enfant. Trois ans plus tard, alors que Nadège a refait sa vie, on retrouve Marc : nu, dans une salle de bain, bras menottés dans le dos. Dans la pièce voisine, quelqu'un est mort – une femme gainée de cuir. Qui était-elle ? Que s'est-il passé durant ces années ? Et, surtout, quel futur pour Marc et Nadège ?
Ce triangle amoureux est atypique, dérangeant. le roman est divisé en 3 parties, chacune donnant la parole à l'un des 3 personnages principaux.
Le ton est donné dès le début :les pratiques sexuelles sado machistes, fetichistes seront le moteur du roman tt comme l exploration des sentiments et des relations entre ces 3 personnes..
Tour à tour chacun des héros est considéré comme 1 objet et non plus comme 1 humain, objet du désir et du fantasme de l'autre..
Malheureusement, je n ai pas adhéré à cette histoire et je suis restée insensible à cette relation amoureuse si ambiguë et particulière
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J'aurais adoré être ethnologue, partir à la découverte d'autres cultures, d'autres façons d'être et de penser. Et c'est un peu ce que je viens de faire en lisant - en quelques heures - ce livre rapide et dépaysant qui commence par une scène de crime et se poursuit en terre incognita, à savoir les relations sadomaso instaurées dans le couple par une femme dominante et un homme consentant. le livre incite à la réflexion sur le fonctionnement du couple, sur la sexualité masculine et la notion de dominant/dominé. Il me semble que tout cela fait une impasse quasi totale sur ce qui fait la richesse d'un couple, à savoir l'amour (même s'il s'agit paraît-il de ce sentiment ici), décliné sous toutes ses nuances entre émotions et sentiments. L'auteur fait le choix d'une narration axée sur le sexe et la place occupée dans le couple par les deux - j'allais dire belligérants ! - participants.

Dire que cela m'a plu, intéressée, séduite, intriguée serait totalement abusif. Voilà un monde inconnu qui ne m'a pas surprise ni même choquée, juste passablement ennuyée. Et on ne peut pas dire que j'aie trouvé ici des êtres épanouis, heureux, ouverts sur la vie et les autres...
Tant pis ! Un livre qui ne m'était pas destiné...

Il faut dire qu'après la poésie du Fou de Hind, le contraste fut rude !

Merci quand même aux 68 1ères fois pour cette piqûre de rappel qui dit que tout peut faire littérature !
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Je n'ai jamais lu ce genre de livre et en lisant le résumé dans la liste des livres de la masse critique j'ai décidé de le cocher en me disant qu'il y a une première fois à tout. Si je n'avais pas lu ce livre je n'aurais pas su si ce genre de livre pouvait m'intéresser. Premièrement, la couverture malgré le fait qu'elle soir très basique m'a intriguée et m'a plu, ce qui m'a donné envie d'ouvrir ce livre.
Je ne m'attendais pas à ce que la découverte du corps d'une femme soit racontée en premier. Je pensais plutôt que le début parlerait de la vie de Nadège et Marc et de comment ils en sont arrivés là. Mais dans cet ordre là ce n'est pas si mal non plus. Je dois avouer que j'étais un peu perplexe au début, je ne savais pas trop si j'allais apprécier cette histoire. Mais au final je l'ai lu assez vite tellement j'étais imprégnée dedans et voulais savoir ce qu'il se passerait par la suite. Je ne m'imaginais pas ce pourquoi Marc a disparu et ce qu'il a vécu durant ces 3 années d'absence. Ce roman a été vraiment prenant. Je le trouve aussi plutôt bien écrit.
Je le conseille donc vivement.
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