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Difficile, pour un nain, de tomber de haut.
Et pourtant.
Oösram avait tout.
Il était le plus grand général de la forteresse de Goll-Garsëm mais ça, c'était avant.
Avant que sa cupidité ne le pousse à trahir son roi, être banni et condamné, tout comme sa famille, à devenir un Errant.
Cherchez pas plus bas comme caste, y a pas.
C'est bon an mal an qu'il assure désormais la subsistance des siens en travaillant la terre et vendant un peu de bétail.
Mais un homme, marqué par un passé guerrier tel que le sien, peut-il à jamais se satisfaire de sa nouvelle condition d'agneau appelé un jour ou l'autre à devenir sacrificiel.
Là, comme ça, tout de go, sans l'ombre d'une tergiversation hésitante, ben j'ai envie de dire non !

Prédominance de l'inné sur l'acquis et vice et versa, vaste programme auquel Oösram se résoudra à répondre après moult tortillements du ciboulot.
Transition difficile que de passer de Dr ès boucherie à gentleman farmer.
Un seul code d'honneur désormais, la famille.
Brel chantait en des temps reculés désormais contés par de vénérables anciens à la barbe neigeuse :
♫On a vu souvent rejaillir le feu
D'un ancien volcan qu'on croyait trop vieux♪
Alors prémonition, clairvoyance de l'homme sage prophète bien avant l'heure, que sais-je t'encore...
Ne jamais réveiller un Oösram qui dort, jamais !

Le graphisme m'a botté, le découpage nerveux itou.
Le récit, à défaut d'être surprenant, parvient sans peine à accrocher puis passionner.
Ce Oösram des Errants est comme la Clio, il a tout d'un grand !!
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Le général Oösram est un fameux nain à qui il ne manque rien. Ni le courage, ni la résistance ...
... ni l'avidité, ni l'ambition, ni l'obstination.
Et ce sont bien ces trois derniers défauts qui lui feront commettre une faute irrémédiable.
Un jour, après une belle bataille, il cache au roi sa part du butin. Mais, comme tout finit toujours par se savoir, surtout lorsqu'on est entouré d'envieux, le roi lui fait couper la barbe et le bannit à jamais hors des murs de la Cité.
Dès lors, il sera Oösram des errants, se trouvera un lopin de terre pour subvenir aux besoins de sa famille et deviendra un bon paysan honnête.

Rassurez-vous, ça n'est pas la fin. L'histoire ne fait que commencer...

Et quelle histoire ! J'ai vraiment adoré ce tome ! Parce qu'on s'éloigne du décor classique de cette série. Un héros qui abandonne sa hache de guerre pour élever des cochons...c'est peu banal et ça ouvre d'autres perspectives.
Oösram est un personnage attachant et les membres de sa famille ne sont pas en reste. Chacun a la part belle dans cet album et l'on suit avec avidité toutes les péripéties qui ne manquent pas de leur tomber sur le coin du groin.
Comme d'habitude, j'ai aimé les illustrations et particulièrement celles représentant le village des hauts plateaux.
Quant au langage des nains, il m'amuse toujours autant !
Un vrai bonheur !
J'ai hâte de lire le tome 9 qui narre la suite des aventures du fils d'Oösram.
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La série "Nains" se déroule dans le même univers que la série "Elfes" et son ambition est la même : éclairer les différentes facettes d'un peuple, à travers une série de one-shot. Nicolas Jarry assure le scénario des différents tomes alors que les dessinateurs se succèdent.

La société naine est divisée en différents ordres : Forgerons, Marchands, Prêtres, Guerriers, Bâtisseurs, Assassins, Errants...Et après les forgerons dans le tome 1, les assassins dans le tome 2 et les bâtisseurs dans le tome 3 ce nouvel opus s'intéresse à l'ordre des Errants, qui regroupe les parias du peuple Nain.

L'histoire est celle d'Oösram, un ancien général de l'ordre du Bouclier (les guerriers), qui trahit, par avidité, son roi et devient donc un paria, un Errant. Il lui est interdit de posséder de l'or et il devient, comme tout ceux de son nouvel ordre, un agriculteur. Et l'on comprend que les Errants, bien que très mal considérés, ont un rôle essentiel dans la société naine puisqu'ils la nourrissent. Au fil des ans, Oösram s'habitue à sa nouvel vie, devient un bon mari et un bon de père de famille et apprend à se satisfaire de ce qu'il possède. Jusqu'au jour où un événement tragique lui fait ouvrir les yeux sur l'injustice et les brimades dont souffrent les Errants. Ils décident alors de mener la révolte...

Un quatrième tome vraiment réussi, bien que les dessins de Jean-Paul Bordier soient sans plus, cela devient hélas une habitude dans cette série. Mais côté scénar, on a de quoi se mettre sous la dent : densité de l'univers et de l'histoire, aspect épiques assumés, personnages assez typiques de la fantasy (comme dans les autres tomes) mais bien développés. On s'éloigne un peu de Tolkien pour se rapprocher de Gemmell (pour ce que j'en connais). L'influence du JdR est également présente, notamment celle de Warhammer. Certes, la construction narrative reste toujours un peu la même, au fil des tomes (le poids du passé qui influe sur le présent, des personnages en quête d'eux-même et qui finissent par ouvrir les yeux sur ce qu'il pense être leur rôle/destinée, à savoir résister) mais, me concernant, ça continue de fonctionner. Et puis franchement, comment ne pas kiffer des hordes de Nains en armures montés sur des sangliers de guerre ?^^
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La série "Nains" se déroule dans le même univers que la série "Elfes", et est calquée sur elle, sauf que Nicolas Jarry assurera le scénario de tous les tomes la série : les nains forgerons, marchands, prêtres, guerriers et errants remplaçant les elfes bleus, verts, blancs, noirs et sang-mêlé. Ainsi chaque tome sera un one-shot mis en valeur par un dessinateur différent éclairant un aspect différent de la société naine, et visiblement chaque tome racontera à rebours l'histoire de le l'un des membres de chaque caste de la société naine dont les choix ont bouleversé sa vie d'abord, la civilisation naine toute entière ensuite…


Dans ce tome 4, le général Oösram du Bouclier avait tout gagné, mais victime de la triple malédiction de l'avidité, de l'ambition et de l'obstination, en voulant gagner encore plus il a déchu et a tout perdu… Sauf sa vie et celles des membres de sa famille qui l'accompagnent dans son exil.
Oösram tourne le dos à la politique et à la guerre, et refait sa vie parmi les prolétaires de l'Ordre des Errants et sa vision du monde change radicalement en étant l'observateur des exactions quotidiennes de la ploutocratie naine, à laquelle il a appartenu et qu'il a soutenu, qui exploite et opprime son propre peuple. Quand les membres de sa propre famille en deviennent les victimes, il devient Oösram des Errants qui ressort sa hache pour déclarer la guerre aux quatre ordres dominants !

C'est le commencement de la fin et les jours de la ploutocratie naine sont désormais comptés ! chouette saison 2 en perspective !!! ^^

Nicolas Jarry a changé de braquet avec cette série, et l'histoire et sa narration sont vraiment de bonne facture, et va rappeler de bons moments aux amateurs de fantasy épique : dans ce "Braveheart" fantasy tout est raconté à la première personne, Oösram étant bien conscient de ses fautes, de son destin et de son inéluctable fin. Et on continue de piocher chez JRR Tolkien et Michael Moorcock, ce qui nous offre un univers à la "Warhammer" et une histoire à la "Drenaï"… Ce qui fait que ce tome 4, comme certains autres de la série Nains voire de la série Elfes, aurait parfaitement pu être scénarisé par feu David Gemmell. Sinon on le savait déjà, mais c'est désormais de plus en plus clair, quand on pendra le dernier policard avec les tripes du dernier bankster Nicolas Jarry sera aux premières loges… ^^
Mais, et cela me fait vraiment mal au coeur, les dessins mainstream de Jean-Paul Bordier ne sont pas encore à la hauteur de l'événement malgré les designs de Pierre Denis Goux et les couleurs de Digikore Studios. Quand je vois tous les top dessinateurs au service de scénarios moyennasses, c'est quand même triste…
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Déchu, Oösram va devenir un sans ordre, un errant. Ce guerrier qui n'a jamais vécu que par la hache va devoir se mettre à travailler la terre pour survivre.
Jusqu'à ce que son passé le rattrape...

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Je vous ai dit que j'aimais bien cette série ? Et même si j'ai trouvé le dessin bien moins convaincant, moins détaillé, moins réaliste et moins vivant (le dessinateur a changé depuis le tome précédent), on reste dans le très bon avec cette belle épopée.

Les poncifs du genre sont là (héros - déchéance - résignation - élément déclencheur - retour du héros encore plus fort) mais l'histoire à ce petit côté sombre et fataliste qui lui donne une saveur particulière.

Jusqu'au bout on s'accrochera à ce nain tenace.

L'univers imaginé par Jarry est toujours aussi plaisant, s'étoffe et reste très cohérent. Les tomes se répondent, on est ravi de revoir d'autres ordres au détour d'un croisement, d'une conversation, d'une rencontre.

Exit les dragons et les labyrinthes, les monstres méphitiques ou les assassins cachés dans l'ombre, ici l'ennemi est intérieur. C'est contre la société naine dans son organisation et dans sa philosophie que se battent nos héros. Et ça mène à du très bon, du grandiose, de l'épique.

Nul doute que les nains chanteront longtemps les exploits d'Oösram de l'ordre des Errants.
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Nous y voilà : l'hiver, rigoureux et grisâtre, avec en prime une pandémie qui s'éternise pour ternir ce tableau polaire. Après deux mois d'un suave été indien – scénario météorologique extravagant mais hélas amené à être de plus en plus récurrent – place aux doudounes, plaids en tous genres et ambiances cotonneuses à la lumière de délicates bougies parfumées. Et en babélionaute serviable que je suis, je viens vous suggérer une lecture toute indiquée pour égayer votre weekend alors munissez-vous de votre mug favori, team thé, tisane ou chocolat peu importe et c'est parti.

Oösram des Errants c'est un peu le William Wallace au pays des nains. En somme ? Un Breaveheart à la sauce fantasy des plus savoureux avec au menu de la castagne bien vigoureuse, des passages homériques puissants, de l'hémoglobine juste ce qu'il faut et bien entendu des larmes. Des airs de déjà vu donc, mais bon sang, que c'est rondement mené et savamment dosé. Nicolas Jarry insuffle une intensité soutenue tout le long du récit et signe des dialogues doctement ciselés et dénués de tout superflu qui ne manqueront pas de tisonner votre empathie.

Jean-Paul Bordier, en éminent bras droit du scénariste, confère à l'histoire une remarquable vigueur à travers son coup de crayon agile et affûté qui donne naissance à des scènes non seulement nerveuses et intenses, mais également incroyablement limpides. le dessinateur embrase ainsi le discours de son compère et gratifie les valeurs de l'honneur, la persévérance, l'amour et l'abnégation d'une énergie ébouriffante.

« Plutôt mourir que de vivre à genoux ». Camus l'avait déjà si bien dit.
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Moi, Oösram, j'étais autrefois un grand général. Pour mon roi, Doran, seigneur de la forteresse-état de Gol-Gärsem, je vainquis les troupes de la reine Alyess des puissants clans sylvains des Céliandes. Je mis la main sur leur trésor fabuleux que je crus plus malin de garder pour moi, pour mon complice, Joron et pour ses trois cognards qui l'avaient découvert. Ce sale traître de Joron me dénonça à ce roi à qui j'avais donné la victoire sur les Sylvains.
Au lieu de m'exécuter, il gardait un espoir de mettre un jour la main sur cet or, il me chassa de ma caste de l'Ordre du Bouclier et m'apposa le sceau de l'infâmie sur la poitrine faisant de ma famille et de moi des errants. Il saisit tous nos biens. Ma famille faisait désormais partie des sans-ordre. Interdiction nous était faite de forger, de porter des armes, de commercer en or, ni même d'en posséder. Interdiction m'a été prescrite de bâtir un édifice en pierre taillée. Mon nom et celui de mes ancêtres ont été effacés des registres… Me voilà soumis à la loi pour les Errants… Des sans-ordres et sans-droits…

Critique :

Alors là, Monsieur Nicolas Jarry, chapeau ! Mais que voilà un magnifique scénario qui montre comment un nain riche, puissant, glorieux, perd tout à cause de son avidité, son goût démesuré pour l'or et les pierres précieuses. Mais ce nain qui n'est plus rien, va découvrir la chose la plus précieuse : sa famille ! Il va découvrir ce que cela fait de faire partie des Errants, ces nains mal vus de tous ceux qui appartiennent à un Ordre, taillables et corvéables à merci. Mais quand on a été l'extraordinaire général Oösram et que l'on subit injustice sur injustice, on ne peut que décider de résister pour faire ravaler leur morve à tous ces précieux des Ordres. Et s'il en créait un ? Un ordre pour les Errants ? Pour les sans-ordre ?

Nous sommes maintenant habitués à des dessins de qualité supérieure et Jean-Paul Bordier au dessin ne fera pas mentir la réputation de cette série. Accompagné par Pierre-Denis Goux comme designer et appuyé par Digikore Studios à la mise en couleurs, voici un album très touchant qui sera loin de nous présenter les Nains comme des personnages sympathiques, du moins le roi et sa soldatesque, mais aussi les médecins et les commerçants. C'est qu'on finirait par préférer les culs-verts, ma bonne dame, mon bon monsieur !

Pour rappel, chaque album est une aventure en soi et ne nécessite pas la lecture des précédents tomes… Mais ce serait dommage de s'en priver !
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Pour moi, il s'agit du meilleur tome de la saga Nains. Contrairement aux autres, je trouve que Oösram devient très vite sympathique et touchant. Il se rend compte l'importance des choses et de ce qu'il a raté, de ses erreurs aussi. Un tome avec beaucoup de profondeur mais on ne s'ennuie pas pour autant. de l'action racontée avec douceur et le recul de l'expérience sans jamais être moralisateur. Certaines sont assez convenus mais on n'en ressent aucune déception.
Les personnages secondaires sont aussi bien façonnés et prennent peu à peu de l'importance. On sent que leur rôle va devenir prépondérant dans le prochain tome de l'ordre des errants.
Pour une fois j'ai hâte de découvrir la suite.
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c'est une nouvelle histoire, en bordure de fleuve, une forêt sacrée, de nouveaux territoires, peuplés de nains et d'elfes sylvains, des hauts plateaux, des animaux sauvages et domestiqués à la campagne avec la rudesse des travaux agricoles et le commerce en ville. une nouvelle ville tout en hauteur qui vue du bas à des airs de cité médiévale comme on en trouve si bien dans le Lot.
tel est le décor de la chute et de la naissance d'un héros, Oösram. Lui aussi c'est une Légende.
mais le manque de précision des dessins ne lui rend pas correctement hommage. dans les tomes précédents, on distinguait à loisir, et avec plaisir, briques, pierres, pavés.
et cette case riquiqui pour un ciel étoilé si symbolique, quel gâchis !
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♫ Hé oh, hé oh, on rentre du boulot ♪ chantaient en coeur les Nains dans Blanche-Neige (dans ? Oui… La cochonne).

Sauf que ici, c'est plutôt ♫ Hé oh, hé oh, les Elfes Sylvains, on vient vous annexer ♪ Et on s'en fout si ça vous fait chier ♪ On va tous vous massacrer ♫ Vous niquer, vous trucider ♪ Et vos arbres, on va tous les débiter ♪

L'Histoire ne change pas, un roi cupide décide d'annexer 7 îles car il a besoin des chênes de certains pour construire une flotte de guerre et les Elfes Sylvains qui vivent dans cette forêt sacrée ne sont pas prêt à la lui laisser.

Les Nains gagnent car ils sont menés par Oösram du Bouclier, un grand général qui sait se battre et mener des batailles.

Pas de bol Oösram est victime, comme tous les nains de la triple malédiction imposée par le Dieu des Elfes aux créatures du Dieu Yjdad : avidité, ambition et de obstination.

"Tu ne voleras pas ton roi" est la règle, même si le roi, lui, peut voler son peuple…Quand je vous dit que l'Histoire ne changera jamais…

Anybref, Oösram a voulu garder le trésor que Joron et trois autres avaient découvert, juste se le partager entre eux.

Peau de balle, trahi, Oösram est banni de sa caste et se retrouve dans celle des Errants et je vous dit que plus bas que ça, on fait pas ! Obligé de travailler une terre qui ne donne pas grand-chose, notre ancien général a dû accepter son sort.

Nom de Zeus, pour cette historie, Nicolas Jarry a mis les petits plats dans les grands, changé de braquet et mis un moteur dans son cadre car il nous pond une putain d'histoire où s'entremêlent profondeur, émotions, et personnages attachants.

Redwin de la Forge m'avait ému, Oösram aussi et j'ai dévoré le récit, le reprenant ensuite pour m'attarder sur les dessins que j'ai trouvé plus réussi, plus juste, moins épais que dans le tome 2 et 3.

Oôsram est humain par bien des travers, comme celui de baisser la tête et de faire celui qui n'a rien vu quand on écorche des Errants mais qui montra les dents et sortira la hache de guerre quand on cherchera misère aux siens. Sa famille, son bien le plus précieux.

Mais comment transformer des Errants, fermiers éleveurs pour la plupart, en machine de guerre pour faire face au tout puissant ordre du Bouclier, des vétérans de guerre qui passent leur vie sur des champs de bataille ?

Les combats sont épiques, beaux, violents, sans espoir, c'est vaincre ou mourir… C'est mourir les armes à la main pour ne pas crever sous le joug de ce roi qui veut toujours plus d'argent pour faire toujours plus de guerre.

Mourir debout, en Nain, pour ne pas crever de faim, mourir en luttant pour leur montrer qu'on n'est pas des agneaux, pour leur dire qu'on est des Nains nous aussi et qu'on a des droits, bordel de merde.

Dans tout ce sang versé entre frères d'une même peuple, il y a un espoir qui, telle une graine plantée, fera germer la liberté d'un peuple opprimé.

Le changement, c'est pas maintenant, c'est pas tout de suite, mais le changement est en marche ! Gare aux joufflus (fesses) des différents Ordres.

Quand aux textes, ils sont toujours au poil et le fait d'avoir inventé des mots donne plus de poids aux Nains. Un glossaire se trouve à la fin.

Vivement la suite, si elle est du même acabit parce que là, on est dans le tout tout bon !

PS : Je ne sais pas si c'est fait exprès ou si c'est le hasard, mais le Dieu des Nains se nomme Yjdad, ce qui, en inversant les sons donne djihad…

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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