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Critique de Pavlik
La série "Nains" se déroule dans le même univers que la série "Elfes" et son ambition est la même : éclairer les différentes facettes d'un peuple, à travers une série de one-shot. Nicolas Jarry assure le scénario des différents tomes alors que les dessinateurs se succèdent.
La société naine est divisée en différents ordres : Forgerons, Marchands, Prêtres, Guerriers, Bâtisseurs, Assassins, Errants...Les 7 premiers tomes ont déjà largement contribué à nous les présenter, et la qualité a été globalement au rendez-vous.
Ce tome 8, contrairement, aux tomes précédents (6 et 7), n'est pas la suite direct d'un des premiers tomes, même s'il a un lien avec le tome 3, puisqu'on y croise Aral, personnage principal de ce tome.
Ce nouveau récit, dont Deplano assure les dessins, se propose de nous raconter l'histoire de Sriza du Temple, un exorciste hors pair, qui a traqué toute sa vie un puissant prince démon. Globalement, j'ai toujours apprécié chaque tome de cette série, et celui-ci ne fait pas exception, pour autant je trouve que la fin manque un peu d'ampleur et que l'utilisation qui est faite d'Aral est un peu artificielle et /ou superficielle. Néanmoins, le personnage de Sriza, alors là, le gros kif. Il m'a un peu fait penser à Carmody dans 666, les blessures de l'âme en plus (normal, on est pas ici dans une série Z). Et puis je dois dire que j'apprécie cette fantasy à tendance horrifique. Enfin, les dessins de Deplano sont très bons, les décors, comme souvent dans Nains, sont vraiment classes (ce qui fait que, oui on peut y voir une certaine proximité stylistique, de part l'encrage en particulier, avec un style anglo-saxon, mais on voit bien que dans l'esprit on reste dans du franco-belge).
Tout ça pour vous dire que, décidément, j'apprécie vraiment cette série qui aura, à n'en pas douter, une vie aussi longue que celle de sa sœur elfique.
La société naine est divisée en différents ordres : Forgerons, Marchands, Prêtres, Guerriers, Bâtisseurs, Assassins, Errants...Les 7 premiers tomes ont déjà largement contribué à nous les présenter, et la qualité a été globalement au rendez-vous.
Ce tome 8, contrairement, aux tomes précédents (6 et 7), n'est pas la suite direct d'un des premiers tomes, même s'il a un lien avec le tome 3, puisqu'on y croise Aral, personnage principal de ce tome.
Ce nouveau récit, dont Deplano assure les dessins, se propose de nous raconter l'histoire de Sriza du Temple, un exorciste hors pair, qui a traqué toute sa vie un puissant prince démon. Globalement, j'ai toujours apprécié chaque tome de cette série, et celui-ci ne fait pas exception, pour autant je trouve que la fin manque un peu d'ampleur et que l'utilisation qui est faite d'Aral est un peu artificielle et /ou superficielle. Néanmoins, le personnage de Sriza, alors là, le gros kif. Il m'a un peu fait penser à Carmody dans 666, les blessures de l'âme en plus (normal, on est pas ici dans une série Z). Et puis je dois dire que j'apprécie cette fantasy à tendance horrifique. Enfin, les dessins de Deplano sont très bons, les décors, comme souvent dans Nains, sont vraiment classes (ce qui fait que, oui on peut y voir une certaine proximité stylistique, de part l'encrage en particulier, avec un style anglo-saxon, mais on voit bien que dans l'esprit on reste dans du franco-belge).
Tout ça pour vous dire que, décidément, j'apprécie vraiment cette série qui aura, à n'en pas douter, une vie aussi longue que celle de sa sœur elfique.
