Ladies & gentlemen, C-2 !!! Quoi, on me souffle dans l'oreillette que certains ne savent pas ce que ça veut dire ? Bon, comme je ne suis qu'amour je vais vous dire de quoi il s'agit. de ma 100e critique à venir pardi ! Explications détaillées pour les plus scientifiques : C = critique et -2 c'est le résultat de 100-98. Je sais, du pur génie, merci. Bref, vous l'avez compris, sous peu on va avoir quelque chose à fêter, alors je compte sur votre présence. Et tenue correcte exigée hein. J'veux pas voir de moule-boule en latex rose à la Totally Spies ou des slips léopard à la Alan Parrish.
Des semaines que je n'avais pas lu une petite BD ou un comics. Je commençais à transpirer à grosses gouttes et à trembler, j'étais pas bien j'vous l'dis. du coup, quoi de mieux pour se remettre en selle qu'un petit épisode de la tumultueuse saga Nains ? Rien, je vous l'assure. Allez, on embraye avec ce tome 8 franchement sympatoche qui se veut moins bourrin mais plus spirituel qu'à l'accoutumée. Bah oui, les nains ne savent pas que donner des coups de hache, bonjour les clichés dis-donc. On ne parle pas de Rambo ici.
Ce qu'il y a de bien avec
Nicolas Jarry, c'est qu'il se renouvelle continuellement sur cette série. Certes l'essai n'est pas toujours parfaitement transformé, mais la volonté de bien faire est toujours louable (dédicace à la mamma les potos). Dans ce huitième volet, l'exorcisme est à l'honneur avec son lot de fantômes, incantations et démons en tous genre. Même si l'histoire manque parfois de peps et la corde émotionnelle pointe aux abonnés absents, l'ensemble se lit avec un plaisir constant, notamment grâce à la richesse de l'univers dépeint et au céleste coup de crayon de
Paolo Deplano qui, comme à son habitude, régale nos rétines.
Bon, c'est l'heure de résumer car après tout, le temps c'est de l'argent. Que voulez-vous que je vous dise de plus ? La série Nains c'est super cool, point barre. C'est bourrin, sanglant, sombre, bref, tout ce que les mâles alpha rêvant de s'identifier à un nain badass adorent. du coup, bien évidemment, si vous êtes fragile devant des grossièretés (les barbus ne font pas dans la finesse hein) ou bien à la vue du sang et des armes, évitez peut-être de vous faire du mal. Ou alors demandez-moi de vous épauler pendant la lecture. Au choix.