Je serai ton ombre

Mon premier roman de Lisa Jewell !
Une plume simple mais efficace car j'ai tout de suite était plongé dans l'histoire et essayé d'analyser les traits psychologiques de tous les personnages…
On y découvre une famille, un voisin étrange et une jeune adolescente en souffrance mais quel lien peut il les unir ?!

Impossible de rentrer dedans … J avais pourtant découvert Lisa Jewell avec « Comme toi » que J ai littéralement dévoré !
Pour celui ci « je serai ton ombre «  J ai du abandonné à la page 250 , impossible de m attacher aux personnages et je passe présent m a perdu…
Très déçue

Lisa Jewell nous offre une thriller domestique de qualité. Certes c'est gentillet, peut-être trop pour certains et ce récit n'est pas novateur sur le fond ou sur la forme. Mais ça fait du bien parfois de sortir du noir complet. Cette lecture ne me marquera pas à vie mais c'est toujours un plaisir de retrouver l'univers de Lisa Jewell. Une valeur sûre.
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Premier livre de Lisa Jewell que je ne connaissais pas du tout.
Ce livre m'a tenu en haleine, difficile à arrêter de lire c'est pourquoi il ne m'a fallu que 3 jours pour le terminer.
Je le recommande vivement aux personnes qui aiment se questionner et mener l'enquête, Lisa Jewell nous emmène à la perfection dans plusieurs récits où tout le monde semble suspects de premier abords. Je ne m'attendais pas du tout à cette fin et c'est ce qui m'a plu.
Toutefois, j'ai comme une sensation de trop peu par rapport à cette fin. J'aurais aimer avoir plus de détails quant à roan même si la fin dévoile une partie de l'intrigue.

Je suis actuellement dans ma phase des romans de Lisa Jewell ! Après avoir lu "Ils sont chez nous" et "Rentre avant la nuit", "Je serai ton ombre" est mon 3e thriller de cette autrice.

Je dois avouer que j'ai un peu moins apprécié ce roman par rapport aux 2 autres que j'ai lus. En effet, j'ai eu du mal à comprendre le comportement du personnage de Saffyre Maddox. Certes, elle a un passé compliqué mais je trouve peu cohérent le fait qu'elle fasse des allées et venues sans jamais que personne ne s'en rende compte.
De plus, j'aurais aimé qu'on approfondisse plus le caractère et le passé de certains personnages, notamment Roan et Josh.

En revanche, j'ai apprécié le fait que le personnage d'Owen soit bien approfondi : on connaît son passé, sa manière de penser et ses habitudes de vie.

Pour le mot de la fin : j'ai trouvé brillant le fil conducteur entre tous ces personnages qui, au premier abord, n'ont rien en commun.

Premier Lisa Jewell que je lis, connue pour ces thrillers domestiques / psychologiques, et comme je suis à fond dans ce type de lecture en ce moment j'étais curieuse ! le début était très long je ne voyais pas où allait l'histoire. Mais par la suite, tout s'enchaîne, impossible de s'arrêter ! Pas l'histoire du siècle mais très plaisant dans le style !

C'est bien mené, les personnages sont variés et bien travaillés mais, sans ne rien dévoiler, on est un peu déçu par la finalité du roman. Je sature de ces livres qui vous mènent dans tous les sens pour, à la fin, faire un plouf phénoménal qui n'a aucun intérêt.

Un thriller au départ avec un sujet assez classique mais qui donnait envie de s'y plonger.
Mais l'histoire a mis beaucoup de temps à se mettre en place et je n'ai pas été assez embarquée dedans.
L'écriture est assez fluide et les romans de Lisa Jewel se lisent facilement. J'ai déjà lu certains de ses livres et j'aime la psychologie de ses personnages et l'univers qu'elle décrit.
Mais comme je lis beaucoup j'aurai aimé plus de surprises, de waouh et une fin plus surprenante!
On comprend trop vite ce qu'il se déroule.
Après c'est quand même reste un moment de plaisir et le talent de l'autrice est bien la. C'est moi qui ne m'y suis pas assez senti embarquée.
À vous de découvrir!

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Cate vit à Londres avec son mari et leurs deux enfants. Ces derniers temps, Roan rentre de plus en plus tard, et ses petites attentions se raréfient. Il y a des signes qui ne trompent pas: persuadée que son mari a une liaison, Cate se met à l'épier de façon maladive. Mais cette mère de famille va bientôt avoir d'autres sources d'inquiétude: sa fille, Georgia, affirme avoir été suivie à son retour de l'école. Et l'une de ses camarades prétend avoir été agressée à deux pas de là, avant de retirer sa plainte. Cate a sa petite idée sur le coupable: son voisin d'en face, Owen Pick,un vieux garçon qui la met mal à l'aise. le soir de la Saint-Valentin, une jeune femme disparaît dans le quartier - et la dernière personne à l'avoir vue vivante, c'est lui.
C'est le 1er roman de Lisa Jewell que je lis. J'avoue que ça ne sera pas le dernier.
L'auteure a réussi à me captiver par cette histoire aux multiples rebondissements...

Couverture élégante, quatrième de couverture hyper laudative, pour un roman qui met un certain temps à se mettre en place.


Saffyre, ado victime d'un traumatisme, à 10 ans, qui l'a poussée à se scarifier, a suivi des séances de pédo psy pendant 3 ans sans que jamais Roan, le pédo psy, ne creuse la raison de ce mal-être. Elle en est sortie mieux, mais pas vraiment à l'aise, se promène seule la nuit, de préférence devant le nouveau logement de … Roan.

Roan a quitté son ancienne maison, qui se fissure, le temps des travaux, et a emménagé dans un quartier où des jeunes filles (femmes) vont se faire agresser, avec Cate, son épouse modèle, jalouse (à tort ou à raison ? ), leurs deux enfants, Georgia, et Josh.

Le voisin d'en face, c'est Owen, un prof un peu bizarre de 33 ans, qui n'a jamais approché de femmes et fréquente, pour se révolter contre ce célibat involontaire, des sites ultraviolents animés par des « incels ». Accusé de gestes déplacés par des élèves, il est suspendu. Puis mis en cause dans la disparition de … Saffyre, il est incarcéré.


Les fissures ne touchent pas que la maison et… la façon dont Roan travaille interpelle, tout comme la découverte d'une tenue en lycra noire et d'une cagoule dans le bac à linge sale de Josh, qui pourtant, ne court pas.


L'on comprend vite qu'Owen est accusé trop facilement, et la vérité sort douloureusement d'une forme de grisaille, qu'il faut traverser, en tolérant un certain nombre de poncifs.
Ainsi,
Le lycra est forcément l'apanage des joggeurs
Le « programme de réadaptation professionnelle : agir sur les comportements sexistes ou sexuels au travail » interdit de placer la rencontre sous le « prisme du genre », il ne faut pas voir une femme avec une veste rouge, mais … un être humain avec une veste rouge. Et accessoirement ne pas avoir envie de lui arracher.


« Invisible girl », c'est le titre original, plus heureux que « je serai ton ombre », est, je crois, un roman qui peut plaire aux « êtres humains » plus jeunes que moi.