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Citations sur Si on dansait... (29)

Et plus Franck écoutait, plus il comprenait. Le silence pouvait être excitant ou effrayant, il pouvait vous donner l'impression de voler ou vous faire rire.
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Le jazz, c'est une histoire d'espace entre les notes. C'est ce qui se passe quand vous écoutez vos silences et vos fêlures. Car c'est là que les choses arrivent, quand vous avez le courage de sauter sans filet de sécurité.

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C'est comme la musique, disait Peg. Même quand elle s'arrête, elle continue de vivre à l'intérieur de toi.

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Pour Frank, la musique était comme un jardin dont les graines se dispersaient jusque dans les recoins les plus éloignés. Les gens pouvaient passer à côté de choses merveilleuses lorsqu'ils se cantonnaient à ce qu'ils connaissaient déjà.

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La musique c’est une histoire de silence. […] La musique sort du silence et elle y retourne toujours. C’est un voyage. […] Dans la musique elle-même il y a du silence. C’est comme si tu te retrouvais face au vide. Tu ne sais pas ce qu’il va se passer après. […] Mais le silence préféré de Peg, c’était celui du chœur de l’Alléluia. Ce bref moment d’anticipation avant la volée de timbales finale. Il faisait jaillir chez elle des torrents de larmes. Chaque fois.
C’était dans le silence que la magie se produisait.
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Il aperçut alors quelqu’un qui lui faisait signe de la main et sautillait sur place.
– Kit ?
A quelques pas de là se tenait Maud, l’air renfrogné, avec ses collants à rayures et sa veste en fausse fourrure. Le Père Anthony – qui portait une casquette cache-oreilles – consultait les horaires de bus en exhalant des bouffées de buée blanches.
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Il observa les objets exposés derrière les vitrines jaunies des boutiques - une urne dans les pompes funèbres, des marque-pages et un Jésus en plastique dans la boutique du Père Anthony -, et il prit conscience, pour la première fois, que tout cela n'était qu'éphémère. Ils vivaient tous ensemble sur Unity Street et ils essayaient de changer le monde, tout en sachant que c'était vain, mais ils s'obstinaient quand même. Certaines des maisons, de l'autre côté de la rue, avec leur peinture écaillée et leurs rideaux tirés, avaient connu des jours meilleurs. Cela faisait déjà un moment, mais il ne l'avait encore jamais remarqué. Ou peut-être était-ce Frank qui était en train de changer ? Même son blouson lui semblait trop petit.
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Être avec elle, c'était comme regarder le soleil fixement.
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Pour Franck, la musique était comme un jardin dont les graines se disperssaient jusque dans les recoins les plus éloignés. Les gens pouvaient passer à côté de choses merveilles lorsqu'ils se cantonnaient à ce qu'ils connaissaient déjà.
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