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3,05

sur 112 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
ISBN : 9782842284879


Avant tout, merci à Babélio et aux Editions du Pré-aux-Clercs qui nous ont gracieusement expédié cet exemplaire de "Magies Secrètes", à charge pour nous d'en faire une critique.


Faire une critique n'est pas chose aisée. Surtout dans un cas comme celui-ci où l'on ressent, à toutes les phrases ou presque, le plaisir profond qui est celui de l'auteur lorsqu'il écrit. Précisons déjà que "Magies Secrètes" appartient à la fois à la catégorie des livres dits "pour jeunes adultes" et à celle des romans de fantasy français. Double et lourde charge, à notre sens, ce qui explique en partie pourquoi ce texte n'a pu réussir à nous faire décoller.

Le monde inventé par Jubert paraît cependant très intéressant : c'est un mélange qui rappelle le feuilleton de cape et d'épée tel qu'on le concevait à la fin du XIXème siècle (beaucoup de noms évoquent d'ailleurs le Paris où rôdaient Ponson du Terrail et Dumas) tout en y incluant une fantasy du quotidien et non pseudo-médiévale, comme c'est souvent le cas. Il y a de l'action, du sexe, un beau ténébreux à l'oeil de verre, son énigmatique et belle "assistante" et tout un cortège de belles de nuit, de courtisans, de rivaux, de succubes, et toute cette sorte de choses. (Il y a même des dieux, égyptiens et autres.) le style, s'il reste sommaire, est vif et va autant de l'avant que les personnages.

Seulement, ou bien "Magies Secrètes" est le énième tome d'une saga - et on ne nous en avait rien dit, ce qui est bien dommage mais explique pourquoi tout, personnages et décors, semble mis en place depuis plusieurs volumes - ou bien l'auteur est si "pris" par sa création qu'il croit tout naturellement que le lecteur lambda est capable de l'appréhender aussi aisément.

Mais que nenni, hélas ! que nenni ! D'abord, le passé des protagonistes, qui aide si souvent à bien planter le décor. Eh ! bien, quand ils en ont un, ce passé est réduit à trois fois rien, au détriment de la profondeur du caractère dépeint et de la crédibilité aussi bien du personnage concerné que de l'intrigue. Plus qu'à des personnages, les secondaires et les autres, et quels que soient leurs hauts ou bas faits, ils ressemblent plus à des figurants - brillants, certes, très bien mis en scène, oui encore mais des figurants.

Du coup, on ne comprend pas toujours très bien pourquoi et comment ils font ceci et ne font pas ça. Et cela, ça fait en général froncer le nez au lecteur digne de ce nom parce qu'il est tenté de se demander s'il est idiot ou si on le prend pour un idiot.

En outre, détail singulier - qui, nous le précisons, a fini par nous déranger nous aussi alors que, d'habitude, nous les tolérons très bien - les notes de bas de page. Elles sont censées éclairer la situation mais, dans la majeure partie des cas, elles abasourdissent encore plus le lecteur. Evidemment, cela donne une touche d'originalité à l'ensemble mais les "jeunes adultes" sont-ils si avides de ce genre de notes dans un roman fait pour délasser ? Nous avons comme un doute ...

Tout cela fait qu'il nous a été difficile de nous attacher à ce roman. Dire que nous l'avons lu comme on ferait un pensum serait sombrer dans une exagération de mauvais aloi. Il y a, dans "Magies Secrètes", de l'idée et un certain brio, nous le répétons mais tout cela a encore grand besoin d'être étayé, remis en forme (mais non formaté) et soigneusement poli - on ressent tout de même un manque de souplesse dans certaines co-habitations entre créatures elfiques et humains et cela fait grincer aux entournures. Et puis, que diable ! que les personnages prennent de la profondeur ! Pour l'instant, malgré tous ses talents et son charme, malgré le mystère qui plane sur ses origines, Beauregard reste creux. Et c'est dommage : il mérite bien mieux. ;o)
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Comment expliquer l'échec d'une rencontre avec un livre dont on espérait une lecture plaisante et dépaysante ? Explorant toujours le genre fantasy, j'avais choisi ce roman en raison de son résumé, tout bêtement. Un enquête d'un ingénieur-mage nommé Beauregard, dans une cité de fantasy rappelant le Paris du Second Empire, dirigée par Obéron et Titania, voilà qui avait de quoi mettre l'eau à la bouche.
Mais passées les toutes premières pages, mon enthousiasme est retombé comme un soufflé. Les deux protagonistes de l'histoire, Beauregard et Jeanne ne sont pas beaucoup creusés, on ne sait pas grand-chose d'eux et à la fin du roman, et bien on n'en sait pas davantage. le parti pris de l'auteur de mélanger créatures féériques et personnages ayant réellement existé était extrêmement séduisant, sauf que, là encore, on ne s'attarde sur aucun d'entre eux, ils traversent le récit, telles des étoiles filantes, et c'est bien frustrant. D'ailleurs, tout ici donne le tournis, à la façon de ces chevaux de bois que l'on montait dans les manèges d'antan, version accélérée. Une profusion de noms, d'êtres, de faits, de coutumes qui sont, hélas, développés au sein de notes de bas de pages bien encombrantes et assommantes. le genre de procédé à utiliser avec les plus grandes précautions. Dommage que l'auteur n'ait pas trouvé un autre artifice pour mettre sa belle érudition en valeur.
Résultat des courses : je me suis quelque peu noyée dans ce joyeux fouillis, oubliant en partie l'intrigue et ne me passionnant pour aucun des protagonistes, à part peut-être, le cheval de Beauregard. A force de survoler, l'auteur a fini par me perdre. Vous me direz qu'il y a des suites. Oui, mais pour avoir envie de les lire, il faut d'abord susciter l'envie et la curiosité dans le premier volet. Hélas donc, Beauregard poursuivra la quête de ses origines sans moi.
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Chronique de Sabbata :

J'avoue qu'en premier lieu, c'est la couverture qui m'a interpellée. Je la trouve très belle, dans l'esprit de ce que j'aime. Quand en plus je vois que c'est un joyau de la littérature Steampunk, je fonce. Oui, mais parfois, mieux vaut prendre des réserves.

Je ne dis pas que je n'ai pas aimé ce livre, mais je ne l'ai pas compris. Les cent premières pages se lisent d'une traite. On trouve un Paris du XIXe siècle que j'aime, avec des personnages issues de différentes époques, cultures, mondes. J'ai adoré ce côté où tous les univers peuvent se côtoyer.

Après, ça descend en flèche. Oui, il y a des passages drôles. Oui, le personnage principal est charismatique, mais il y a pas mal de choses qui empêchent la compréhension du texte. Pour commencer, il y a des notes de bas de page qui expliquent qui sont les différents personnages qui interviennent et du coup, on les lit, et on perd le fil de l'histoire, alors qu'au final, un lecteur qui a un minimum de culture comprend qui ils sont et arrivent à voir les interactions sans qu'on le guide. Autre problème aussi, les nombreux personnages qui se succèdent. Ils viennent, repartent, et sans aucun moment cela s'arrête. Enfin, au niveau de l'enquête, parce que je me suis perdue plusieurs fois dans ma lecture, je ne saurai pas dire si elle est résolue ou non. C'est comme si j'avais arrêté ma lecture au milieu du livre au final, parce que je ne sais pas bien comment ça se termine.

Bref, je n'ai malheureusement pas envie de continuer cette série qui commençait très bien, car vu comment je me suis perdue dans le livre, j'ai peur que cela recommence avec la suite.



Lien : http://www.lireoumourir.com/..
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Personnellement, pour de la littérature « Young adulte », je la trouve compliquée et incongrue. On a l'impression que l'auteur a déjà conté les aventures de Beauregard. En effet, l'histoire commence rapidement ; en une dizaine de pages, le héros est présenté. Hervé Jubert introduit une multitude de personnages pêle-mêle sans préparer le lecteur. Il n'y a pas de chapitre introductif sur le monde de Beauregard. Je pense qu'il n'a pas bien implanté son décor ou du moins d'une façon abrupte que le lecteur Lambda moins habitué à la Fantaisy se perd littéralement. Autre point négatif, s'avère dans les notes de bas de pages qui sont plus longues que le corps du texte. Aussi, cela a provoque une certaine lassitude et agace sérieusement le lecteur. J'aurais préféré une « préquelle » avant de lire cet ouvrage. Une carte du monde aurait le bienvenu ainsi que la présentation des personnages en début du livre.
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Dans ce roman, on suit dans une ville demi-féérique un enquêteur spécial, le George Beauregard donnant son nom à la série, qui va nous emmener dans ses déambulations à travers les villes. Evidement, ces déambulations ont un but : enquêter. Mais j'ai la nette impression que l'enquête n'est en fait qu'une excuse pour nous faire voyager dans cette ville de Sequana.Et clairement, cette Sequana, refaite par un baron Hoffman traversant cette ville de grands axe, n'est en fait qu'une évocation à peine voilée de Paris. du coup, il est évident qu'un certain public sera flatté de reconnaître dans les descriptions ésotériques certains quartiers ou édifices de Paris. Pour ma part, je n'y ai trouvé qu'un artifice, une sorte de clin d'oeil appuyé au lecteur ambiance "tavu ?".Et en termes d'artifice, un autre m'a finalement agacé plus qu'il ne m'a plu : les notes de bas de pages. Je sais que certains auteurs en abusent avec bonheur (je pense évidement à [a:Terry Pratchett|1654|Terry Pratchett|https://d2arxad8u2l0g7.cloudfront.net/authors/1235562205p2/1654.jpg]). Hélas, ça n'est pas le cas ici, puisqu'il y a dans ces notes une vision un peu distanciée du récit, une façon de re-raconter l'histoire qu'on lit juste au-dessus, un maniérisme que j'ai trouvé plus lourd que réellement amusant.Et puis, pour finir, je n'ai pas pu m'empêcher de comparer cette oeuvre au très bon [b:Anno Dracula|33535|Anno Dracula (Anno Dracula, #1)|Kim Newman|https://d2arxad8u2l0g7.cloudfront.net/books/1369572143s/33535.jpg|1731834]. Sans doute parce que les deux romans contiennent un monsieur Beauregard. Sans doute aussi parce que ce sont des oeuvres steampunk. Sans doute enfin parce que la dimension urbaine y est particulièrement présente. Et malheureusement, même si, en tant que telle, cette oeuvre n'est pas désagréable, la comparaison fait mal. En effet, ce roman, bien que plus court, m'a semblé à la fois plus éparpillé (la présence de Jeanne ou des résidents de l'hôtel n'apporte par exemple pas grand chose) et bien moins dense. C'est vraiment dommage, parce que certains éléments m'ont semblé raisonnablement intéressants.Malheureusement, ça ne suffira pas à me faire lire la suite.
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Ce livre est compliqué à lire, l'auteur s'attèle à plus grand que lui j'imagine. Il souhaite mettre en place un univers steampunk qui s'avère agréable à première vue mais qui devient vite gênant car trop chaotique. L'univers est sympathique, on aime le côté victorien de la ville, les costumes à jupon, les javeaux, les chapeaux haute-formes, les corsets mais le reste est fatiguant.

Les personnages ne sont pas bien détaillés, on essaie de s'y attacher mais c'est assez compliqué. On a également du mal a accrocher à l'imaginaire des personnages : les fées, les ogres, les robots, les magiciens... ça fait beaucoup de fantasy d'un coup.

L'histoire se veut agréable, un enquêteur à la Sherlock Holmes sur fond de féerie, des déesses égyptiennes, des robots qui tombent amoureux, des jardins magiques, de la télékinésie bref un folklore qui aurait pu aboutir à une bonne histoire.

Peut-être est-ce u ouvrage destiné aux puristes du genre de la science-fiction et de la fantasy...

A lire pour la curiosité ?
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"L'histoire se déroule vers les années 1950 où se mêlent science et technologie. Beauregard, ingénieur-mage, employé pour le Ministère des Affaires Étranges, a pour mission de lutter contre les créatures maléfiques. Il sera plongé en plein coeur d'une enquête qu'il devra mener car le neveu impérial a été enlevé. Si Beauregard échoue, le neveu sera décapité. Pour mener cette enquête il sera aidé d'une jeune fille, Jeanne, qu'il a trouvée près d'un puits et qui possède un don qui lui sera utile…

Les éditions le Pré aux clercs ont lancé en ce mois de novembre 2012 une nouvelle collection Pandore contenant de la fantasy pour Young Adult. J'avais donc hâte de découvrir Magies secrètes, l'un des ouvrages faisant partie de cette collection.

Malheureusement je ressors relativement déçue de cette lecture. Elle aurait pu être beaucoup plus intéressante si je ne m'étais pas noyée parmi la masse de détails qu'ajoute Hervé Jubert en bas de pages. Il faut dire que c'est un livre très riche et qu'on ressent un gros travail de l'auteur pour apporter un maximum d'informations sur le contexte aux lecteurs. Je trouve que c'était trop et que ça complique la compréhension de l'histoire, surtout pour un genre littéraire « Young Adult ». Je n'ai donc pas pu apprécier ce livre à sa juste valeur puisque toutes les descriptions prennent le dessus sur l'enquête que mènent Beauregard et Jeanne.

Au fil de la lecture nous rencontrons beaucoup de personnages. Les deux principaux sont Beauregard et Jeanne, son apprentie. Beauregard est très mystérieux donc nous ne connaissons rien sur lui et Jeanne étant amnésique c'est également compliqué de connaître son histoire !

Je pense que ce livre plaira à certains lecteurs mais qu'il faut être concentré pour assimiler toutes les informations fournies dans les notes de bas de page sans se perdre dans l'histoire. de plus, pour ceux qui lisent habituellement des livres Young Adult, celui-ci en fait partie dans cette nouvelle collection, mais il faut garder à l'esprit qu'il est plus compliqué que la majorité des livres Young Adult. D'ailleurs, à mon sens, il devrait plutôt être classé dans le genre littéraire de la Fantasy.

J'ai chroniqué ce livre pour les Chroniques de l'Imaginaire."
Lien : http://rexlit.wordpress.com/..
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Je ne sais pas si cela est commun à toutes les éditions (pour ma part c'était l'édition Folio SF), mais le nombre de notes de bas de pages et surtout leur longueur !
Je me coupais dans ma lecture à chaque fois pour lire des notes ajoutées, qui prenaient parfois une demi page, mais qui n'avaient pas forcément d'impact avec l'histoire. le sujet et l'ambiance sont posés trop lourdement dû, en grande partie, à ces notes.
Habituée à l'université steampunk, je pensais passer outre le récit d'enquête qui n'est pas vraiment ma tasse de thé. Pas besoin, le scénario reste assez plat dans tous les cas. Je pense que j'ai lu trop de livre dans l'univers steampunk pour que celui-ci me le fasse découvrir, car c'est clairement son intérêt.
Pour moi il martèle trop et je l'ai vu arriver avec ses gros sabots.

Je pense que ce récit peut etre apprécié par quelqu'un qui n'est pas habitué par l'ambiance, mais ce n'est clairement pas pour moi.
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Une lecture difficile, c'est ce qui me vient à l'esprit au moment où j'écris cette chronique même si certains détails sont positifs, il y a pour moi trop de négatifs pour que je continue (moi qui croyais au départ avoir un one-shot !)

Côté négatif, nous avons déjà pour moi le style de l'auteur, auquel je ne suis pas habitué qui me parait étrange et qui me bloque dans ma lecture.

Mais l'un des plus gros point noir pour moi, pourtant prévue, c'est bien ses bas de pages, ses notes partout dans le roman qui n'en finissent pas et qui décourage. Pourquoi en avoir mis autant ? Encore certaines ne sont pas très utiles dans le récit, donc pour elles, elles sont à leur place. Mais toutes les autres qui sont quand même de taille plus qu'énorme hein, celle qui ont une vraie importance pour le récit et qui pour moi aurait justement du être dans le récit et non en bas de page, pourquoi les avoir mis là, je ne comprends pas. Car pour ma part ça casse la lecture, devoir m'arrêter sans cesse pour lire les bas de pages ça me gonfle, si bien qu'au bout d'un moment et ben, j'avais plus envie de les lire, mais je suis surement passé à côté d'information, mais tant pis

Et puis, oui ce n'est pas fini, entre le nombre important de personnages qui au final ne sont pas exploiter à fond, les évènements qui partent à 1000 à l'heure et où tu te pommes et tu ne comprends plus rien. L'enquête est mise au second plan, limite, je me demande à quoi elle sert.

C'est dommage, car il y a des aspects positifs, oui quand même dans le bouquin. L'univers que l'auteur à créer est génial, Sequana est justement magnifique. Mais trop d'information sur certaines choses et pas assez sur d'autres font que je n'ai pas apprécié ma lecture, que j'ai fini le livre pour dire de le finir et de passer à autre chose.
Lien : http://toutelalecturedesev.b..
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Mon avis :




Je me suis acheté ce livre « Magies Secrètes » puisque que j'ai eu la chance de recevoir, il y a quelques semaines, le second tome « le tournoi des ombres » en service de presse.

La couverture de Magies Secrètes est super jolie, j'aime beaucoup les tons et ce qu'elle dégage.

C'est donc avec beaucoup de curiosité que je me suis lancée dans cette trilogie écrite par Hervé Jubert.




Mon résumé :

L'histoire se passe dans la ville de Sequana. Georges Hercule Bélisaire Beauregard (le personnage principal) est un jeune homme de vingt ans, il travaille au ministère des affaires étranges en tant qu'ingénieur-mage, il tient également un hôtel sur le mont-Rouge qui donne refuge aux créatures magiques. D'ailleurs, il recueille Jeanne, une jeune fille qu'il a trouvée dans un puits et cette dernière va devenir son apprentie.




Les personnages :

Je trouve que si les personnages ont du potentiel, ils ne sont pas assez détaillés ni assez exploités, c'est dommage, car au final, on n'en sait vraiment trop peu sur eux.

J'aime m'attacher aux personnages et ça n'a pas été le cas pour Georges Beauregard, d'ailleurs pour être hônnete, ça ne l'a pas été non plus pour Isis l'extralucide, Albert, le magicien ou encore Jeanne la télépathe, bien que cette dernière soit ma préférée.

Il y en a beaucoup d'autres car les personnages secondaires sont nombreux.




Mes ressentis :

Ce roman ne m'a pas totalement convaincu. J'ai été déçue par certaines choses, comme par exemple, l'intrigue, je l'ai trouvé trop légère et trop simple, ce point-là est vraiment une grosse déception pour moi!

Il y a égalment les notes en bas de chaque page, il y en a beaucoup trop et c'est trop long ! C'est dommage parce que lorsqu'on prend bien le temps de lire ces annotations, elles sont intéressantes et très importantes pour la compréhension du roman, seulement, par moments, j'en avais vraiment assez d'être sans arrêt coupé dans ma lecture.

Je trouve aussi que c'est très dur de rentrer dans l'histoire et de la comprendre, il faut vraiment faire un effort de concentration lors de sa lecture pour réussir à rentrer dans cet univers si particulier.




L'auteur :

Je ne peux pas enlever le fait que ce roman soit écrit avec beaucoup de richesses.

La plume d'Hervé Jubert est complexe, je préfère largement lorsque la fluidité et la simplicité l'emportent, je me sens plus à l'aise, mais c'est mon avis personnel et il est clair que les amoureux des mots trouveront leur bonheur dans cet ouvrage.




Pour conclure :

Un roman que je ne retiendrais pas, malheureusement.

J'ai été déçue par l'histoire et par l'intrigue et les notes qui sont éparpillées sur la moitié de chaque page m'ont vraiment agacées .

À voir comment l'histoire évolue dans le second tome.




Lily
Lien : http://leslecturesdelily.ove..
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