AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de jovidalens


Un peu déçue, car je n'arrivais pas à "entrer" dans ce livre. de belles phrases, mais l'errance de l'héroïne ne me touchait pas. Et puis, je me suis encore une fois laissée capter.
Les hommes sont présents mais en-dehors du cercle familial : trois femmes de trois âges différents. A la douleur éprouvée depuis la disparition de son mari ( toujours présente chez l'héroîne ) s'y ajoutent celles de l'éloignement de sa mère qui vieillit, de sa fille qui devient adulte, et même de son amant qui se lasse. Elle se vit comme au centre d'un mouvement centrifuge : tous et toutes s'éloignent d'elle et seuls s'approchent quelques ombres.
La plage de Manazaru est le lieu où elle fuit pour quelques échappées ; inconnue à cette pettie ville et excortée d'une ombre amie (?) elle pourra se ressourcer, faire le deuil de son mari et accepter avec sérénité le temps qui s'écoule.
Très beau texte : Madame Kawakami nous entraîne entre la légéreté des brumes et l'éclat de la lumière.
Commenter  J’apprécie          10



Ont apprécié cette critique (1)voir plus




{* *}