Warlord, tome 13

Dans ce tome 13 on palabre beaucoup dans l'Alliance de la dernière chance qui réunit les « Coréens » de Shamarkal, les « Japonais » du sosie d'Oda Nobunaga et les « elfes rebelles » de Cherab... Mais Maruhan est un homme qui agit plus qu'il ne parle, et tout le monde part au Sanctuaire à la poursuite de Liquang désormais détenteur du pouvoir de l'Anneau Unique bis et envoûté de manière sournoise par Modanbal... Au Shogun et à Cherab le soin d'affronter troupes d'élite du Maître des Ténèbres commandées par le dénommé Bayar qui semble en avoir gros le coeur car en fait SPOILER, à la Team Maruhan le soin de retrouver Liquang dans le dédale souterrain du savant fou Kalma qui abrite ses créatures trop dangereuses pour être contrôlées.
- du dernier combat de Bayzara on ne nous montre pas grand chose, c'est complètement frustrant mais c'est pour faire débouler de très bons twists par le suite... mouhahaha
- Droit de quotas de flashbacks pour Moyongso l'humain traître maudit qui comme Daram l'elfe traître et maudit a été rendu fou par l'amour au point de pactiser avec le Diable qui entend bien se loler sur leurs tombes à tous les deux... mouhahaha
- On en apprend plus sur la souveraine des âmes, ange déchue à une seule aile et aux yeux pairs en quête de vengeance : https://www.youtube.com/watch?v=sh6V1zMmbuU
- règlement de comptes entre les alter ego de Saroumane et Grima qui comptaient bien devenir Calife à la place du Calife dans le dos de Sauron... mais pour qui se prennent-ils ces deux là ? ^^
- Liquang rendu ivre de puissance compte bien mettre fin à la guerre à lui tout seul, et il tombe à bras raccourcis sur le savant fou Kalma qui pour sauver sa peau lâche sur lui sa dernière et puis puissante création... mouhahaha
C'est epicness to the max mais il y a des trucs pas assez bien gérés comme la nature et les pouvoirs du Maître des Ténèbres et du King Lord, cette histoire d'Arbre de Vie qui sort tout droit d'un MMORPG asiatique, la Sanctuaire qui sort de nulle part après la Forteresse qui sortait de nulle part, ou les personnage qui changent mystérieusement de couleur de peau (est-ce un code ou un truc graphique, puisqu'on passe de personnage blancs comme des linges en armures noires à des personnages super bronzés en armures blanches ?)... Il y a donc encore une fois la malédiction du background maladroit, ici aggravée par la détestable mode hollywoodienne actuelle d'en faire beaucoup trop : sans la maîtrise, la puissance n'est rien ! blink