La suite de M. Mercedes, qui peut se lire sans avoir lu celui-ci, est encore plus passionnante.
Dans une intrigue à couper le souffle, Monsieur KING adresse une déclaration d'amour à la lecture et à la littérature (comme l'a si bien dit The
Washington Post) et démontre, s'il en était encore besoin, qu'une fois publié les héros d'un roman appartiennent aux lecteurs et non plus à leur auteur. Ces lecteurs en font ce qu'ils veulent, imaginent la suite de leurs aventures, de leurs amours, de leur vie, etc...
Il est rare que comme dans "
Carnets noirs" un lecteur punisse l'auteur pour avoir "dénaturé" ce qu'il croyait être la nature du héros ; mais
S. King l'a imaginé, écrit et m'a régalé une fois de plus.
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