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Gunnm tome 1 sur 10

Yvan Jacquet (Traducteur)
EAN : 9782723419000
240 pages
Glénat (01/03/1995)
4.21/5   338 notes
Résumé :
Gally est le prénom d'une charmante petite cyborg, autrefois conçue à des fins guerrière. Abandonnée par ses créateurs dans une décharge publique, ce n'est que bien des années plus tard qu'un passionné de cybernétique la découvre et la remet en état. Amnésique, Gally part en quête de retrouver son identité dans un monde où l'utopie est de rigueur.
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Critiques, Analyses et Avis (34) Voir plus Ajouter une critique
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-- Critique des tomes 1 à 5 (sans spoiler l'intrigue) --

Avec Akira et Ghost In The Shell, Gunnm de Yukito Kishiro est l'un des mangas incontournables du genre cyberpunk. Publié au début des années 1990, il est devenu une référence du genre et a été récemment adapté au cinéma par Robert Rodriguez sous le titre Alita : Battle Angel.

Malgré sa notoriété et son importance parmi les oeuvres cyberpunk, Gunnm est un manga décevant et frustrant à plus d'un titre. Ma critique porte uniquement sur les cinq premiers tomes de l'oeuvre, car j'hésite encore à poursuivre l'aventure. Il faut dire que ce manga n'est absolument pas comme je l'imaginais. N'espérez pas un manga philosophique questionnant le transhumanisme, le lien homme-machine, l'écologie ou les dérives d'une société inégalitaire, car Gunnm est un manga d'action. Et uniquement d'action. Dans les cinq premiers tomes, tout est prétexte à mettre en scène l'héroïne, Gally, une cyborg amnésique dotée de capacités martiales hors du commun, dans des situations de combat. Aucun fil rouge n'est à ce stade donné par l'auteur. Oh, Yukito Kishiro nous rappelle bien de temps à autre la condition amnésique de son héroïne et sa « quête » de souvenirs grâce au combat, mais il faut avouer que l'héroïne est particulièrement passive et subit les évènements sans vraiment chercher à percer le mystère de ses origines. Durant les cinq premiers tomes de ce manga, on a vraiment l'impression que l'auteur ne sait pas quelle histoire il va nous raconter... mais par contre, on sait qu'il a envie de dessiner des combats ! Au point d'inventer un sport extrême dès le troisième tome afin de ne plus trop se casser la tête à trouver des situations qui expliqueraient pourquoi Gally doit aller au combat. L'action n'est pas au service de l'histoire, dans ce manga, mais l'histoire est au service du combat.

Les deux premiers tomes posent des bases assez intéressantes pour l'histoire, mais manquent d'approfondissement. Les personnages gravitant autour de Gally sont très peu développés. Gally elle-même n'est pas un puits de profondeur ! Elle s'interroge très peu sur sa condition, son passé ou même sur la société dans laquelle elle se retrouve plongée. Elle se pose deux ou trois questions, entre deux combats, mais pas de quoi nous faire véritablement réfléchir sur le sens de la vie humaine... En réalité, les évènements et les combats s'enchaînent à une vitesse incroyable dans ces deux premiers tomes, et on comprend que de nombreuses ellipses sont faites par l'auteur, si bien qu'on a pas réellement le temps de s'attacher aux personnages.

En outre, dans ces cinq premiers tomes, la société dépeinte par l'auteur n'est qu'un immense décor, creux et vide de sens (et parfois de crédibilité) le lecteur ne comprend pas bien comment une telle société fonctionne, s'organise, ni comment les individus réussissent à avoir un semblant de vie. Zalem, cité flottante qui semble cristalliser les inégalités et les tensions, n'est qu'un point flottant pratiquement jamais évoqué dans ces premiers tomes. le lecteur doit extrapoler pour essayer de deviner ce qui se cache derrière cette cité volante. En effet, la vie dans la décharge semble s'organiser autour des combats, et rien d'autre. On dirait qu'il ne se passe rien à part ça. En fin de compte, il y a très peu de sous-texte, c'est un manga d'action très terre-à-terre et le lecteur est obligé d'extrapoler ÉNORMÉMENT pour donner un peu de matière et de corps à l'ensemble. Quelle déception ! Je m'attendais à beaucoup plus de réflexion de la part d'un manga aussi incontournable...

D'ailleurs, en ce sens, les troisième et quatrième tomes sont de véritables purges. Les combats sont répétitifs et illisibles (si bien qu'on passe beaucoup de temps à ne rien comprendre) L'intrigue est complètement délaissée au profit de l'action. Il ne se passe quasiment rien. Les éléments mis en place dans les deux précédents tomes ne sont pas exploités (on s'en fiche encore plus de la société, de Zalem et du passé de Gally...) L'héroïne devient une tête-à-claque arrogante et imbuvable dont les motivations sont de plus en plus obscures. Les personnages ont des réactions excessives, exagérées, se fâchent pour des broutilles et disputent des combats à morts pour... pour quoi d'ailleurs ? Qu'est-ce qui motive la participation à ces mises à mort ? On ne le sait même pas. Encore une fois, l'univers est violent, sordide et gore, mais à quel dessein ? Les spectateurs du motorball se font arracher des membres et sont... contents ?! L'intrigue n'avance pas d'un iota. En fait, à ce stade du manga, il n'y a plus d'intrigue. le motorball est un prétexte pour mettre en scène des combats ultra-violents, mais ne sert aucun réel propos et ne fait pas avancer l'histoire.

Le tome 5 relève un peu le niveau global, mais reste encore une fois très superficiel dans son traitement. Les scènes d'action sont plus lisibles que dans les précédents tomes, mais encore une fois, on se demande où tout cela nous mène... Les personnages restent excessifs et leurs réactions frisent parfois le ridicule. Un nouvel antagoniste apparaît dans ce cinquième tome, mais ses desseins sont très caricaturaux et un brin obscurs (le manga a peut-être mal vieilli sur ce point).

À ce stade, je me demande encore si je vais poursuivre la lecture de ce manga. Les personnages ne sont pas attachants, l'histoire manque de corps et la quête personnelle de Gally pour retrouver ses souvenirs est si peu consistante et si peu mise en scène que mon intérêt pour ce manga est quasi-nul. Les scènes d'action, quand elles ne sont pas de véritables purges à lire, ne sont pas réellement enthousiasmantes puisque Gally est trop badass pour qu'on s'inquiète réellement pour elle... Ma curiosité est toutefois de savoir dans quelle direction le manga se poursuit : continue-t-il d'être un enchaînement d'action et d'historiettes sans réel fil directeur ou bifurque-t-il vers un questionnement plus profond sur les thématiques du cyberpunk ? J'ai peur que la réponse soit décevante, en fin de compte.
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Série culte parait-il ? Qui plus est, fiston a les 9 tomes sur son étagère ?
En voiture Simone ! Culturons-nous !

Si à la fin du premier tome, j'ai envie de lire la suite, mon avis reste cependant mitigé. Gunnm est quand même un manga de baston avec violence gratuite tendance gore (donc à ne pas mettre entre toutes les mains mais ça, c'était plutôt évident dès le départ) Je ne suis pas certaine que les combats soient au service de l'histoire. J'ai autant le sentiment inverse : l'histoire est là pour présenter des scènes de baston.

De même le lieu et l'époque. C'est vrai, l'idée d'anticipation d'un monde, d'un lieu de "société'" qui est une décharge d'un autre monde privilégié, super ! Ce n'est pas sans me rappeler le film District 9. Mais dans le tome 1, l'exploitation du lieu, de la "société" est vraiment simpliste : la loi du plus fort ou Tue pour ne pas être tué ou pire... tue parce que ça te fait plaisir, parce qu'ainsi tu te sens exister. Mouaif... Vous permettrez que je n'adhère pas. le bébé Koyomi est pour moi assez révélateur. Un bébé, tout seul dans un bar. le taux de mortalité étant très élevé, je me demande si les humains ont le temps de se reproduire ! Faut-il encore qu'ils aient les pièces d'origine et non leur remplacement mécanique. Un bar... Comment se fait-il que des "rues" soient présentées ? Elles sous-entendent un désir de bâtir et non de détruire, d'organisation, de travail... En fait, le bébé Koyomi n'est là que pour servir de prétexte à Gally pour poursuivre son adversaire dans les égouts (et varier ainsi les situations de combat)

Par contre, les persos principaux sont intrigants, attachants et le graphisme est tout simplement Wouah ! (commentaire hautement technique n'est-ce pas ! ^^)

Pour l'instant, je crois voir ce qui en fait un très bon manga (même si c'est dans un style que j'apprécie peu). Je ne vois pas encore le côté exceptionnel. Ou alors je suis une vieille bique, ce qui est tout autant possible.
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Dans un futur lointain, où même mourir n'a plus de sens, où l'on peut se déchiqueter le corps, sans pour autant en avoir conclut avec la vie.

Dans un futur où le paradis, le cité blanche d'Ivoire de Zalem, trône en maître au dessus de nos têtes et où en bas se vit un enfer au quotidien, dans une décharge suitant l'acier.

Dans un futur ou tel Icare, les cybernisés de la décharge se brûlent s'ils tentent d'approcher Zalem.

Dans ce futur, un beau jour, du haut de Zalem, tombe un ange, un parangon de vertu et de beauté. Son nom était Yoko, elle s'appellera désormais Gally.

Sur les conseils de son "père", Ido, elle tente malgré son amnésie, de découvrir qui elle est vraiment. Cet être de vertu et de douceur, au visage de poupée, se trouve pourtant rapidement aspiré dans un maelström d'extrême violence, à mesure qu'elle tente de mener une vie paisible. Elle se rend compte d'une chose : c'est au coeur du combat et du dépassement de soi, qu'elle pourra espérer retrouver ses souvenirs perdus. Que ce soit au coeur des arènes d'un sport ultra violent nommé le Motorball où dans les plaines arides jouxtant la Décharge, préparez vous à être emporté dans un récit sous haute tension, à la recherche des souvenirs de Gally et dans sa quête d'un futur meilleur. Dans un enchaînement ininterrompu de combats, elle devra gravir les marches et protéger ceux qu'elle aime pour espérer trouver et comprendre la vérité.

Dans un style graphique précis et dynamique, Yukito Kishiro nous embarque dans un récit cyberpunk qui a rapidement su graver dans le marbre son importance majeure dans le genre. Si les scènes de Motorball sont dessinée d'une main de maître, alliant une sensation de vitesse et de dynamisme à outrance, l'auteur maîtrise tout autant les paysages en double page. L'alliance improbable entre arts martiaux, chi, armes de tout genre et corps cybernétique aux dimensions titanesques donne un cocktail détonnant dans Gunm.

Mais bien au delà d'une claque visuelle qui saura vous laisser figé devant certains combats mêlant art martiaux et corps cybernétiques en lambeaux, Gunnm est une source de questionnements existentielles.

Ce genre de questionnement dont en quelque sorte parti du genre Cyberpunk. En effet, dans un monde qui semble à la dérive, où l'homme n'a même plus conscience de ses limites et où ses désirs les plus malsains peuvent être assouvis, c'est dans ces mondes là justement qu'on y trouve un terreau fertile à la réflexion, un espèce de miroir sur ce que pourrait devenir notre société et comment l'éviter. Dans Gunnm, la question du corps est omniprésente car en plus de le voir se déchirer, se démolir ou même se reconstruire, on pose souvent des questions : qu'est ce qui fait l'humain, le corps ou la conscience ?

Si de notre être, il ne reste plus que boulons, écrous et système informatique, sommes nous encore des êtres conscients ? Au fil du manga, on y découvre des êtres d'une laideur et d'une difformité indescriptible, qui semble prêts à être à 2 doigts d'exploser sous la charge de leurs modifications corporelles. Dans Gunm, la notion de cyberniser son être est poussé à son paroxysme. On va ici bien plus loin qu'un simple bras bionique ou un oeil, mais jusqu'à changer l'entièreté de son corps pour dépasser des dimensions classiques ! Certains personnages ressemblent alors à des animaux quand certains ne sont alors plus que des éléments interchangeables dont on utilise les oreilles ou même le visage comme d'un baume pour faire fonctionner la grande roue du système.

Dans ce marasme d'acier donc, certaines réponses émergent et c'est à nous, lecteur, d'en interpréter le contenu.

En conclusion, Gunm est un immanquable et il m'a été difficile de réfréner ma plume tant il y a des choses à raconter, autant dans la trame principale que dans les questions qui la jalonne.
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Il est difficile d'aborder Gunnm sans prendre en compte l'histoire du manga avec la France. le titre n'étant pas construit selon les codes spécifiques japonais pour l'époque (même encore aujourd'hui, il existe des cases bien spécifiques et des codes à respecter pour certains magazines de prépublications), le titre est sorti en France avec un engouement plus important suite à la sortie de Akira dans l'hexagone.

Alors que le titre a plus de 30 ans aujourd'hui, il s'en dégage malgré tout une étincelle que je ne retrouve que rarement dans mes lectures actuelles.
On ne fait pas que suivre Gally, on suit un robot à la recherche d'une identité, à la recherche d'une humanité qui va constamment se dérober à elle et dont chaque coup qu'elle va se prendre va lui rappeler sa condition de cyborg.
Malgré tout, Gunnm représente un ode à la vie et à la recherche de soi pour exister dans un monde qui peut étouffer.

Le scénario est en dent de scie et alterne entre séquences qui ne semblent pas rattachées les unes aux autres (on passe notamment de Makaku au motorball), mais le réel fil conducteur est la quête de Gally à exister et à ressentir ce qu'un humain peut vivre.
C'est pourquoi les faiblesses scénaristiques que je peux trouver dans le titre ne me dérange pas tant que cela, lorsque je lis Gunnm je lis un personnage, une personnalité à laquelle je m'attache et les péripéties ne sont pas ma priorité pour ce titre.
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Batailles 1 à 6
L'ange rouillé : Récupération / le sens du combat : L'éveil / La déchirure : Valeurs / Berserker : Résurrection / Descente aux enfer : Responsabilité / L'ange conquérant : Conflit
Daisuke est un réparateur de robots, androïdes et autres cyborgs, en parcourant Kuzutetsu, la "décharge" de Zalem, cité perchée dans les nuages, il trouve par hasard une cyborg au cerveau encore intact, elle n'a ni bras ni jambes, elle est amnésique ; il la nomme Gally. Si le début fait penser à Pinocchio, l'histoire sombre vite dans une noirceur inquiétante. Daisuke, personnage lumineux et souriant le jour, se comportant comme un père avec sa nouvelle trouvaille, devient à la tombée du jour un chasseur impitoyable, un soir Gally va le suivre et découvrir la vérité. D'abord sur elle-même, elle utilise instinctivement une technique de combat qui ne correspond pas à son modèle cybernétique, de plus elle découvre que Daisuke pourchasse en fait des criminels en échange de primes, c'est un hunter warrior. Ainsi la première trame est plantée, Gally va vouloir suivre le chemin de son mentor, et croise sur sa route Makaku, un cyborg psychopathe. le look de Gally, corps de jeune
femme, ses grands yeux très glamour, sa chevelure brune opulente, sa tenue en cuir noir plutôt moulante dans les derniers chapitres, tout ces éléments contrastent fortement avec ses capacités de combat. La violence est extrême, gore et sanglante, le danger est partout, et les talents réparateur de Daisuke vont être essentiels. Gally évolue et devient une véritable guerrière. le trait de l'auteur est précis, très dynamique, faisant des combats des moments vraiment incroyable. (à suivre)
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Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
GALLY : Quel est ce bruit ?
IDO : C'est le soupir des tubes qui relient Zalem aux usines, ici au sol. C'est dû aux changements d'altitude de Zalem, eux-mêmes causés par l'attraction gravitationnelle de la lune.
GALLY : Quel bruit horrible… On dirait les gémissements d'un millier de personnes ...
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Dans cet ancien combat, on avait envoyé au massacre des soldats bien portants "améliorés" par ces Berserkers. Ce fut ma première exposition à la réalité de la guerre, et à son goût si particulier.
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makaku: Je te veux... Et ja vais t'avoir! Je n'oublierai jamais cette agonie lorsque j'ai perdu mon œil... mais je ne vais pas te tuer...Ce que je veux, petite chose... C'est t'arracher chaque membre et faire de toi un pendentif vivant hurlant que je porterai avec délice! Il ne peux y avoir plus grande joie que t'entendre ta voix suppliante à chaque instant de la journée! Alors? Que penses-tu de mon idée?
Gally : ... Oooh... si tordu... si vicieux... si triste... Si la douleur est la seule chose qui te fasse ressentir le "Bonheur", alors nous ne sommes pas au-delà du bien et du mal... C'est lamentable...
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IDO : " Gally " ! A partir de maintenant tu t'appelles Gally !
GONZU : Hé attends… C'était pas le nom de ton chat… Celui qui est mort le
mois dernier ? C'était pas un mâle ?
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Alors Gunnm...c'est super et très décevant en même temps c'est super car tout les ingrédients sont là pour se délecter d'une vision chirurgicale sur la cybernétique avec des personnages très travaillés, c'est par moment très adulte et puis...tout à coups ça retombe dans le manga stupide de combat presque à la bioman...comme un vieux flan pourquoi?

Et surtout...c'est quoi cette merde de Last Order?

L'Auteur à pourtant un putain d'énorme potentiel.
Existe t'il une version plus adulte de Gunnm?
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Vidéo de Yukito Kishiro
À l'occasion du Festival International de la Bande Dessinée 2020, Marius Chapuis, Commissaire d'exposition, journaliste à Libération, vous présente l'exposition « Yukito Kishiro : Gunnm, L'ange mécanique » à l'Espace Franquin.
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Notes de Musique : Youtube Library
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