Ces voitures avec des yeux et qui tirent parfois la langue étaient assez prisées des enfants. C'était lorsque mon fils (bientôt vingt ans) avait l'âge des premières lectures, si ma mémoire est bonne. Nous sommes même allés les voire sur grand écran à l'époque.
Ici, la morale de l'histoire c'est de ne pas se la jouer « solo », car au final, la course automobile semble être plutôt « un sport d'équipe ». L'amitié est mise à l'honneur.
Notre héros, Flash Mc Queen (le rouge oui, le N°95), qui rêve de gagner la Piston Cup (en Californie) se retrouve à Radiator Springs, « la ville la plus agréable du Comté de Carburator ».
Enfin, une petite mention spéciale pour la belle frimousse de Martin, la dépanneuse.
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McQueen était déçu. Non seulement il devait refaire la route, mais surtout il avait perdu la course.
« Tu conduis comme tu répares les routes… » déclara doc. « Comme un sagouin ! »
McQueen avait sa fierté. Il ne pouvait pas laisser Doc le traiter ainsi sans réagir !
« Je vais lui montrer… » pensa-t-il.
Il retourna donc réparer la route, bien décidé à faire du bon travail.