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Sexe tome 1 sur 1
EAN : 9782756085234
186 pages
Delcourt (29/06/2016)
3.25/5   8 notes
Résumé :
Simon Cooke est un super-héros retiré de la vie trépidante qu'il menait jusqu'alors. Après une longue période de remise en question sur ce qu'a été son existence, il revient à Saturn City, sa ville, en tant que citoyen "normal ". Cela va s'avérer plus facile à dire qu'à faire, d'autant plus que la réalité, notamment celle d'une vie sexuelle jusqu'alors passée au second plan, s'impose à lui... Le sexe sous toutes ses formes, il en avait entendu parler.
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Ce tome constitue le début d'une nouvelle série indépendante de toute autre. Il contient les épisodes 1 à 8, initialement parus en 2013, écrits par Joe Casey, dessinés et encrés par Piotr Kowalski, et mis en couleurs par Brad Simpson.

Après quelques mois de repos, Simon Cooke (trentenaire) est de retour à Saturn City, à la tête de son entreprise multinationale. Avant il menait une double vie, président directeur général fantoche de Cook Company (PDG en titre, simple titre honorifique dans les faits) et superhéros sous le nom d'Armoured Saint. Il a promis à Quinn sur son lit de mort, de raccrocher la cape et d'essayer de vivre une vie normale pour lui-même. le voilà donc à Saturn City, tentant de s'intéresser aux affaires de sa multinationale, sous l'oeil agacée de Larry (celle qui a assuré l'intérim). Il essaye de rendre concrète l'amitié qui le lie à Warren Azoff, son avocat. Il essaye également de s'occuper de lui-même, à commencer par initialiser sa vie sexuelle. Première étape : un établissement dédié aux plaisirs de la chair, où il a surprise de découvrir qu'il est tenu par Annabelle Lagravenese (ex supercriminelle du nom de Shadow Lynx).

Suite à la disparition d'Armoured Saint, la pègre de Saturn City s'est réorganisée. Old Man (un vieil homme tout fripé) a décidé de reprendre la main sur les activités illicites. Les frères Alpha (Dolph et Cha-Cha) exécutent des assassinats sur commande. Dans l'ombre, un autre superhéros opère encore clandestinement : Keenan Wade, l'ex-second d'Armoured Saint.

Le titre de la série ne ment pas : il y a du sexe dans chaque épisode, et relativement graphique. Au fil du scénario, Joe Casey intègre des relations saphiques observées par un client dans une cabine privée, une partouze avec plusieurs dizaines de participants, des fellations, des relations non protégées, un homme honorée par une femme avec une prothèse (et un peu de lubrifiant on espère), des relations avec du cuir et des masques, et même des relations sexuelles ordinaires consenties en couple hétérosexuel.

Piotr Kowalski dessine de manière réaliste avec un encrage qui rehausse quelques aspects expressionnistes. Pour tout ce qui relève de pratiques sexuelles, il dessine la nudité de manière frontale. Concrètement, il y a plus de pénis (y compris en érection) que de sexes féminins de dessinés. Il simplifie extrêmement tout ce qui est zone pubienne, ainsi que les appareils génitaux. Majoritairement, il s'agit de dessins restant dans le domaine de l'érotisme, sans vue directe de pénétration (en gros plan ou non). Toutefois, il dessine les fellations sans ambages, le sexe se trouvant dans la bouche de la ou du partenaire.

De par cet aspect, cette série se démarque de 99,9% de la production américaine dans la mesure où elle montre les relations sexuelles de manière frontale, avec une grande diversité dans les pratiques.

Casey et Kowalski ont choisi une approche explicite de cette composante de leur récit, mais il ne s'agit que d'un élément parmi d'autres, justifié par le caractère de plusieurs personnages, l'interrogation de Simon Cooke quant à ses relations avec la gente féminine, et l'appétit de quelques autres personnages (Old Man, les frères Alpha, Keenan Wade).

Dès le départ, le lecteur est intrigué par la situation de Simon Cooke, homme d'environ 35 ans, ayant renoncé à être un superhéros altruiste. Il n'est jamais représenté en costume de superhéros, et le lecteur découvre petit à petit sa situation et sa difficulté à se couler dans une vie "normale" (dirigeant d'une multinationale, membre de l'élite et des nantis). Cooke est vierge et il apparaît que faire l'amour représente pour lui la barrière à franchir pour entrer dans le monde des gens normaux.

Joe Casey entremêle cette interrogation existentielle sur la capacité de Cooke à définir ce qu'il souhaite faire de sa vie civile, avec plusieurs autres composantes. En toile de fond, il y a l'évolution de la criminalité depuis qu'Armoured Saint ne la jugule plus. Il y a Keenan Wade qui marche dans les pas de son mentor (Armoured Saint) en luttant contre le crime à sa façon avec les moyens dont il dispose, en s'interrogeant sur les méthodes efficaces. Il y a Old Man qui entreprend des actions pour imposer sa loi dans le milieu du crime organisé. Il y a les frères Alpha accomplissent leurs exécutions en visant l'excellence professionnelle. Plus surprenant, Annabelle Lagravenese entretenait une relation avec Armoured Saint, pouvant évoquer celle entre Catwoman et Batman, ayant réussi sa conversion dans le milieu des affaires avec un établissement de prostitution 5 étoiles. Elle a du mal à se repositionner vis-à-vis de Simon Cooke, et elle doit faire face à une conséquence très inattendue de son ancienne activité.

En fait ce récit présente 2 grandes forces qui lui permettent de s'élever au dessus de simple prétexte entre 2 scènes chaudes. Pour commencer, Joe Casey a choisi un rythme que l'on peut qualifier de lent, dans le sens où l'attrait principal du récit n'est pas l'action haletante. Il prend le temps de montrer ses personnages, de les doter d'une véritable épaisseur psychologique. le lecteur apprend à connaître Simon Cooke, il constate son hésitation quant à la direction à donner à sa vie. Il assiste à une soirée bien arrosée entre Cooke et Azoff, au cours de laquelle ils sautent du coq à l'âne, en passant par Tinto Brass (par exemple La Clé, le Voyeur, Monamour, Transgressing). Il découvre avec lui que piloter son entreprise n'est pas une évidence et qu'un tel pouvoir lié aux bénéfices générés s'accompagne de choix stratégiques et d'alliances complexes, avec d'autres entreprises étrangères, de relations troubles avec le pouvoir politique (en particulier le maire Sedgwok). Les amateurs d'action seront donc déçus, par contre les amateurs d'intrigue consistante et de personnages travaillés seront comblés. En outre, Casey ne joue pas la carte de la référence en coin aux univers partagé Marvel ou DC. Il a conçu une situation de départ totalement original et son seul emprunt est la relation évoquant celle de Catwoman/Batman, ainsi qu'un personnage en cours de développement appelé Prank Addict (dont le nom fait penser au Joker, mais qui n'en a pas l'envergure).

Le deuxième atout de taille du récit est Piotr Kowalski. À feuilleter rapidement le récit, ses dessins semblent juste détaillés (des arrières plans dans toutes les cases ou presque), mais aussi un peu grossiers dans leur finition, pas très agréable à l'oeil. de page en page, le lecteur prend conscience que Kowalski réalise ses dessins de manière à ce qu'ils apportent toujours une information (ou plusieurs) supplémentaire par rapport aux dialogues. Évidemment il donne une identité visuelle aux personnages et aux lieux. Évidemment il montre les actions des uns et des autres. Rapidement, le lecteur constate qu'il sait concevoir la mise en scène de sorte à ce que toute discussion s'accompagne d'une découverte du lieu où elle se déroule, ou qu'elle soit également l'occasion pour les personnages d'accomplir des activités. Loin d'une alternance de champ et contrechamp, les dialogues sont l'occasion pour le lecteur de découvrir l'environnement dans lequel évoluent les interlocuteurs. de ce fait la ville de Saturn City prend une consistance impressionnante et existe à ses yeux. Chaque endroit présente un aménagement et un ameublement spécifiques. Sans surcharger ses cases, Kowalski intègre de nombreuses informations visuelles offrant une lecture très riche et très immersive.

Derrière un titre racoleur et provocateur, Joe Casey et Piotr Kowalski racontent une histoire très divertissante, avec un nombre important de relations sexuelles normales et déviantes, et des personnages dotés d'une belle épaisseur. La position de Simon Cooke le place comme un individu vierge de relations sociales devant faire ses premiers pas dans le monde des adultes. Son âge (environ 35 ans) proscrit la naïveté et rend sa situation à la fois touchante et crédible. L'intrigue avance régulièrement à un rythme posé permettant aux personnages d'exister, au lecteur d'assimiler les informations, et à l'histoire de prendre de l'envergure. le lecteur passera ainsi de l'élaboration de tactiques d'alliances d'une grande entreprise, à la torture sexuelle d'Albert Eisenhower, un indicateur qu'Old Man a décidé de presser comme un citron. Les 2 auteurs ont créé un roman très noir, utilisant des apparences provocatrices pour sonder la nature humaine.
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Delcourt semble apprécier Joe Casey. Après Codeflesh et Corps de Pierre, tous deux mis en images par Charlie Adlard (le dessinateur de Walking Dead), ainsi que les tomes 4 et 5 de The Haunt (après le passage de relais avec Robert Kirkman, monsieur Walking Dead, tiens tiens), l'éditeur français mise sur la nouvelle série indé du scénariste chez Image : Sexe, probablement bientôt suivie de The Bounce. Tout un programme, en somme.

Joe Casey s'adjoint ici les services de Piotr Kowalski, dessinateur résidant en Belgique et ayant oeuvré chez Le Lombard, Vent d'Ouest ou Casterman, avant de s'attaquer au marché américain (Robocop chez Boom ! et Hulk chez Marvel, entre autres).

Ce premier tome, « L'été du Hard », nous promet une saison chaude.

Le héros rappellera fortement (et forcément) Batman : riche milliardaire à la tête d'une industrie le jour, (ancien) super-héros sans pouvoir la nuit, mais également son rapport à la ville corrompue, sa relation avec Shadow Lynx (une Catwoman-like), son ancien acolyte acrobate façon Robin, ses méchants qui évoquent un Joker passé entre les mains de Garth Ennis et le Riddler, son questionnement sur sa vraie identité et quel est au final son vrai masque, sa difficulté à couper les ponts avec son ancienne vie…

Mais on retrouve aussi un peu de Superman : le boyscout (le Saint) coincé du cul, une analogie possible Quinn-Martha, le parangon de la justice intransigeante et de la vertu.

Au jeu des influences, on pense souvent à du Garth Ennis, ou à du Mark Millar et son Wanted, en moins maîtrisé mais parfois plus intello (le côté positif comme celui négatif du terme, d'ailleurs).

Le récit prend son temps avec un début lent, on n'est pas tout de suite plongé dans l'intrigue, si bien qu'il faut s'accrocher un peu, d'autant plus que les dialogues sont parfois indigestes, abscons, hermétique dès que ça touche à la finance, et faussement philosophique, qui tiennent parfois trop de la posture.

Mais tout cela se débloque et gagne en qualité à mesure que les chapitres défilent, même si ceux-ci finissent abruptement, comme si Joe Casey avait pensé ce tome directement en TPB et non en singles et qu'il se retrouvait limité par la vingtaine de pages imposées sans savoir comment les finir.

Quelques dialogues ou séquences s'avèrent de bonne facture, un peu d'humour distillé aux détours de certains dialogues ou certaines situations passe très bien, les flashbacks sont bien intégrés, les trames parallèles bien gérées, les personnages assez humains au final et bien creusés (au moins pour les principaux), et le tout gagne vraiment en ampleur et en intérêt au fur et à mesure que l'histoire se déroule.

Pour la partie graphique, on a le droit à des traits bruts très franco-belges (normal vu le dessinateur) et une colorisation acidulée, qui changent agréablement des comics habituels, mais le côté brut du coup donne un sentiment de dessins pas toujours très précis ou réguliers, où les personnages ne sont pas très détaillés.

Le lettrage se veut innovant, avec notamment un effet de surlignage, bien qu'une incompréhension persiste quant à l'intérêt du surlignage qui change de couleur sans aucune logique.

Contrairement à ce qu'on essaie de nous vendre, le sexe n'est pas l'élément central ni le plus intéressant dans ce récit, même si on y revient régulièrement, parfois de façon qu'on sent forcée, comme un passage obligé, ou pour faire de la provoc' facile.

Du coup, on peut se demander quelle est vraiment la pertinence de toute cette mise en avant d'un côté soi-disant sulfureux, ainsi que du label érotique de Delcourt (au lieu de Contrebande, la collection habituelle pour les comics) puisque ce récit n'est pas érotique, ni pornographique d'ailleurs. On est juste face un comic clairement adulte, parfois pour public averti.

Une promotion et un marketing qui risquent de faire passer pas mal de lecteurs à côté de ce titre, qui s'il continue dans sa lancée gagnée au fil des chapitres, pourrait s'avérer pourtant très intéressant.
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Simon Cook était l'Ange En Armure, super-héros qui faisait la justice sur sa ville, Saturn City. Il prend sa retraite de justicier et tente de redevenir un citoyen normal. Enfin, normal, c'est peu dire car dans le civil, il est un riche et puissant homme d'affaire qui avait délégué ses pouvoir quand il était actif en tant que super-héros. Son conseil d'administration le presse de prendre des décisions concernant les affaires et il doit se montrer mondain par rapport aux politiciens et le gratin de la ville. Sa vie est donc faite de meetings, de rencontres et de sexe. Cependant, la nostalgie le taraude et il n'arrive pas à retrouver sa place dans la société ordinaire. Or, pendant ce temps, les criminels qu'il a combattus tentent de reprendre leur business peu scrupuleux.

Après avoir terminé cette bande dessinée, je reste assez mitigé. Entre l'ennui et l'envie d'en apprendre plus quand le deuxième tome apparaîtra. Je trouve les dessins surchargés, le scénario aussi. L'histoire semble complexe. On dirait une longue et monotone psychothérapie du héros qui regrette sa vie antérieure mais qui s'enferme jusqu'au bout dans une décision qu'il n'a pas prise seul. Il ne se passe donc jamais rien de concret dans la vie de ce héros qui est pressé de toute part pour faire bonne figure. En sous-oeuvre, il y a les méchants qui mettent en place de nouvelles stratégies pour reprendre le contrôle de la ville. Là non plus, rien n'aboutit. Et pendant ce temps, en fond, du sexe, de la prostitution, qui, on se le demande, ont quel rapport avec cette histoire ? Les personnages secondaires se multiplient, compliquant encore cette histoire sans queue ni tête. Si ce premier tome n'est qu'une mise en place de la suite de l'histoire, je me demande où cela va me conduire. Donc, je suis dans l'expectative de savoir si je la continuerai ou si je laisse tomber.
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Derrière ce titre explicite et plutôt racoleur se cache une série intelligente et finalement beaucoup plus psychologique qu'érotique.

Joe Casey Butcher Baker ») invite à y suivre les pas de Simon Cooke, un ancien justicier masqué connu sous le nom du « Saint en Armure », qui tourne le dos à ses exploits héroïques pour vivre une existence normale. Si l'auteur développe en parallèle des intrigues qui s'intéressent aux anciens ennemis qui font main basse sur cette ville qui a perdu son ange gardien, ainsi qu'à ce side-kick qui choisit de poursuivre le combat contre le crime, l'intérêt principal de cette saga demeure la psychologie de ce personnage qui se cherche.

Le retour à la vie civile s'avère en effet bien plus compliqué que prévu. Pas intéressé dans la gestion de son entreprise et ne trouvant pas vraiment l'intérêt de vivre cette seconde vie qui lui servait jusque-là uniquement de façade, Simon tente de donner un sens à cette nouvelle vie. Comment combler le vide de sa véritable identité, dont une vie sentimentale et sexuelle totalement inexistante ?

Que ce soit à travers cette étrange société secrète, destinée à combler les perversions sexuelles d'une jet set dont il fait partie, ou par le biais de la relation complexe qu'il entretient avec Annabelle Lagravenese, une adversaire qu'il connaissait autrefois sous le nom de Shadow Lynx et qui s'est reconvertie en maîtresse des lieux d'un bordel de luxe, le sexe est bel est bien présent au sein de cet ouvrage, mais il sert surtout à souligner l'incapacité du héros à jouir de sa nouvelle existence.

Si la présence de plusieurs scènes asses explicites réservent cet ouvrage aux adultes, les planches de Piotr Kowalski ne s'attardent pas inutilement sur la chose. Evoluant sur un rythme lent, mais efficace, le récit est par contre accompagné d'une colorisation qui peu surprendre. Les couleurs flashy de Brad Simpson contribuent néanmoins à baigner l'ensemble dans une ambiance psychédélique, qui contraste brillamment avec la noirceur des bas-fonds de Saturn City.

Excellent !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Un comics à la couverture graphiquement très réussie. L'histoire est sympathique mais tout cela ressemble à bien des histoires déjà lues ou vues au cinéma. La suite offrira peut-être de nouvelles perspectives au lecteur.
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critiques presse (2)
BulledEncre
30 décembre 2014
Casey nous offre une histoire atypique avec cet ancien super héros qui n’est plus que l’ombre de lui-même, désemparé et qui, faute d’amis ou de famille, explore comme il peut les pistes pour renouer contact avec la réalité. Ses premiers pas le tournent naturellement vers l’assouvissement de besoins primaires : le sexe. Mais si cet aspect est sans ambiguïtés, l’intrigue est loin de se limiter à cela.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Auracan
29 juillet 2014
Alors que dans la plupart des récits érotiques, le scénario manque de consistance, Joe Casey nous en concocte un, très bien pensé. [...] Un premier tome déroutant, à la narration lente, mais il serait dommage de passer à côté.
Lire la critique sur le site : Auracan
Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Quand mes parents ont disparu... la vie telle que je la connaissais a disparu avec eux. J'ai complètement quitté le chemin sur lequel je me trouvais, quel qu'il soit.
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Je veux que tu vives… Une vraie vie… Loin du crime… Loin des conflits… Loin des costumes… Loin de toute cette excitation perverse.
Commenter  J’apprécie          30

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