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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Deuxième volume de la série Apocalypse qui cette fois-ci se déroule à Marseille et aux alentours ! Des mégafeux se déclenchent sans que leur départ soit expliqué et 38 pompiers meurent dans un de ces feux qui les a encerclés.

Hugo Kezer est en congé, il est venu voir sa fille qui a rejoint une association de protection de la nature, Feu sacré. Une grosse ficelle !!!

Des incendies, des rebondissements, des secrets de famille, de faux écolos, etc... Kezer prend l'enquête main vu l'ampleur du sinistre et Anne Gilardini le rejoint. Elle est toujours aussi imbuvable, Kezer toujours aussi héros malchanceux et ça devient improbable au possible !

En plus j'ai levé les yeux un nombre incalculable de fois, j'ai soupiré d'ennui mais je tenais absolument à savoir comment l'auteur allait se sortir de cet imbroglio !

Décevant à plus d'un point !

#rouge #netgalley

Challenge MAUVAIS GENRE 2021
Challenge PAVES 2021
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L'Apocalypse était à Paris, elle est maintenant à Marseille.
Elle était noire, elle est maintenant rouge.

L'auteur continue de nous décrire une apocalypse différente dans cette suite de Noir. Je remercie Babelio et les éditions Fleuves pour l'envoi de cet ouvrage et de m'avoir permise de continuer cette série.

Nous retrouvons notre chef de la brigade criminelle, Hugo Kezer. Après avoir combattu une panne généralisée électrique à Paris, Hugo Kezer va devoir s'allier aux pompiers de Marseille pour endiguer un immense incendie et découvrir les causes.

Malgré que l'on retrouve ce dynamisme et ce côté course contre la montre que j'avais plutôt apprécié dans Noir, je n'ai pas tellement aimé ce roman-ci. Je me suis même ennuyée. Je n'y ai trouvé aucune attache émotionnelle. Alors que dans le roman précédent, on pouvait suivre un père cambrioleur qui tente le tout pour le tout pour sauver son fils malade, ici tout est plat et sans saveur. Les événements dramatiques sont loupés et je n'y ai cru à aucun moment. Tout semble être une blague et aucune relation n'est prise au sérieux. Même l'intrigue paraît totalement hasardeuse, rien que déjà l'arrivée de Kezer est totalement absurde. Les personnages sont plats et rien ne les différencie. Je n'ai même pas réussi à lire les cinquante dernières pages tant rien n'est pris au sérieux et l'intrigue plate. Dommage, car avec Noir, j'espérais trouver une petite série policière/thriller dynamique et divertissante...
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J'avais eu une plutôt bonne surprise avec le premier opus de cette série noir, ayant emprunté les deux premiers tomes je n'ai pas tardé à entamer la lecture de celle-ci.

Même si j'ai beaucoup aimé les descriptions des faits qui m'ont semblé très réaliste, j'ai cependant moins aimé l'intrigue en elle même.

Cela se lit toujours aussi bien et rapidement mais les personnages ainsi que le mobile et ou action avec des déclencheurs et ou trafic autre ne m'ont pas emballer plus que cela.

A voir si je tente le troisième tome, car il y a un côté novateur dans cette série mais qui du coup peut disparaitre au fil des tomes.

De plus n'ayant pas d'attachement aux personnages en particulier je ne suis pas particulièrement pressé de les retrouver.
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L'histoire débute dans une atmosphère caniculaire, en juillet, dans la garrigue près d'Aubagne où se déclare un incendie impossible à cerner par les soldats du feu. Trente-huit pompiers, dépassés par l'ampleur de la catastrophe, meurent dans cette intervention.
Le gendarme Ludovic Rossi dirige la cellule Vulcain, un groupe de recherche sur les causes et les circonstances d'incendie. La piste criminelle ne faisant aucun doute, il va unir ses forces à celles de deux OPJ, Samuel Markovic et Hugo Kezer, pour mener l'enquête.
Léo Garcia, un voleur qui pille les maisons circonscrites dans le périmètre d'évacuation des incendies, les oriente vers une bande de hippies écolos que fréquente Mila, la fille d'Hugo Kezer. Leurs soupçons se tournent aussi du côté d'un ex pompier pyromane, Julian Cornil, emprisonné aux Baumettes. le temps est compté pour éviter que la menace écoterroriste ne touche les espaces forestiers des autres métropoles françaises...
La lecture de ce roman s'est révélée pour moi assez fastidieuse car je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages dont j'ai eu du mal à cerner la psychologie. D'après la couverture, je m'attendais à lire un roman de science-fiction, apocalyptique, or il s'agit davantage d'un policier. J'ai toutefois apprécié le premier et le dernier chapitre de ce roman, particulièrement bien écrits.
Je remercie Netgalley et les éditions Fleuve pour cet envoi.
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