Mireille l'Abeille

"Il est où, le menteur? Il est où ?"
Pardon Mr Christophe Maes.


Après l'interdiction des pesticides néonicotinoïdes "Tueurs d'abeilles", le gouvernement rétropédale et veut les autoriser jusqu'en 2030, pour sauver la filière betteravière.


"Il est où, le menteur? Il est où ?
Il aime faire des discours
Mais là, c'est un peu court
Il aime mentir pour les patrons
Il aime discourir, le Macron
C'est son "en même temps"
Il sourit, il fait semblant
Il joue au premier de cordée
Il fait le menteur, ouais.


Y a tous ces jours sans abeilles
Il nous prend pour des...cons
Moi, ça me flanque le bourdon.
"Il est où, le menteur? Il est où".


"Mireille l'abeille vit au pied d'un rosier". Elle a perdu tous ses pots de miel parfumés et ses bonbons dorés, enveloppés dans des papiers colorés. Elle est seule dans sa maison dévastée.


Non, il y a un menteur et un voleur, dans son lit! Un affreux gnome qui aime faire des discours !
"Un nain, oui ! Un nain comme on en voit dans les jardins".


Elle le frappe avec son balai, pour lui apprendre à...tenir ses promesses.
"Le nain sauta du lit et disparut dans la nature. Turlututu et chapeau pointu".


"Si vous voyez (encore), par hasard une abeille dans le ciel", c'est Mireille l'abeille!


30% de ruches de plus détruites pendant l'hiver dernier, selon l'Anses et le ministère de l'agriculture...
L'extinction des abeilles coûterait 2,9 milliards d'euros à la France. France info.fr

Ma fille collectionne (heureusement qu'il y a eu des rééditions !) ces drôles de petites bêtes. Nous les avons tous lus ensemble, à voix haute, et je trouve que globalement c'est des livres bien sympathiques, dont certains numéros (nous en avons 66 à ce jour) sortent du lot. Cela plaît aux enfants, et je trouve que le graphisme a évolué, en mieux, au fil du temps. L'aventure commence avec le numéro un « Mireille, l'abeille », la star incontestable et incontestée du jardin qui possède une maison plus que coquette et continue ensuite avec d'autres insectes.
Ne nous en voulez pas si cette critique se répète donc ici sur le site : qui aime, ne compte pas.