J'ai eu ma période
Kundera :
La vie est ailleurs,
La lenteur,
L'art du roman et L'insoutenable.... Je me souviens du style chatoyant, de l'humour cynique, des ambiances.
De
l'insoutenable légèreté de l'être , je me rappelle surtout du film vu avant la lecture. Je n'ai plus retrouvé le folio pour écrire sur le dernier livre antérieur à mon arrivée sur Babelio, figurant sur ma liste de non critiqués. Les cinq autres en attente sont en cours de lecture ou à lire.
Donc, je me suis rabattu sur les 960 citations publiées sur le réseau. Et d'un coup, j'ai renoué avec la force de ces petites phrases perdues dans un océan lyrique, avec la puissance du verbe, regard acéré sur les êtres et leurs arrangements avec leur petite histoire et la grande.
J'adore celle-ci : Pour qu'un amour soit inoubliable, il faut que les hasards s'y rejoignent dès le premier instant.
Ou encore -
Qui cherche l'infini n'a qu'à fermer les yeux.
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