A comme Association, Tome 7 : Car nos coeurs sont hantés

Avant-dernier tome de cette saga...
Jasper part sur les traces d'Otchi, le puissant chamane, afin de déjouer ses plans et de retrouver Walter. Mais Mademoiselle Rose, désormais seule responsable de l'Association, envoie des mercenaires pour l'arrêter... Jasper va devoir faire attention et affronter à nouveau affronter certains anormaux qui veulent l'éliminer. Grâce à Nina et à la présence rassurante d'Ombe, y parviendra-t-il ?
Un très bon tome, rythmé et pleins de rebondissements inattendus.
J'ai beaucoup aimé découvrir l'origine des liens qui unissent Walter, Rose et le Sphinx. Et puis Jasper est un peu perdu dans cette aventure où les apparences sont parfois trompeuses et j'ai avancé à son rythme dans la révélation des premiers secrets de l'Association mais aussi dans sa recherche d'identité.
J'ai hâte de lire de dernier tome qui va enfin, du moins je l'espère, révéler tous les mystères qui entourent Jasper, Ombe et l'Association !

Ça y est le voici l'avant-dernier tome de la saga et bien que l'approche de la fin de saga se voyait déjà dans le tome précédent cela est vraiment flagrant dans celui-ci, tout est ici mis en place pour nous promettre un incroyable tome 8 pour finir en beauté cette saga. Si vous attendiez certaines réponses à de nombreuses questions à la lecture de ce livre cela sera le cas en parti celui-ci révélant enfin quelque secret sur l'association mais celui-ci aura aussi l'effet inverse car au lieu de répondre à une majorité de question celui-ci au contraire en rajoute encore plus sur celle déjà restante même si certaine réponse commence à se profiler, deviner dans ce tome même s'il est frustrant de ne pas savoir ce qu'il en est vraiment. Là encore un tome qui se lit tout seul, avec un Jasper toujours en quête de son identité qui devient de plus en plus trouble au fil des tomes me rendant de plus en plus curieux du dénouement lors du prochain tome. Pour conclure j'ai hâte de lire ce prochain tome afin de découvrir enfin les secret entourant la vérité sur Ombre, Jasper et leur rôle avec l'Association.

Ah! Ce tome 7, je l'attendais avec impatience... Après un tome 6 très énigmatique où l'auteur distillait une à une toutes les pièces du puzzle, j'espérais que ce volet me permette de les placer, au moins celles des coins...

Et je n'ai pas été déçue... Ce livre répond à de très, très nombreuses questions existentielles pour tous les fans de la série! D'autres sont également posées et je me demande comment Erik L'Homme va clôturer la série sur le 8e tome...

Jasper a passé la nuit avec Nina (en tout bien tout honneur ;-)) et est réveillé en fanfare par Fafnir, son sortilège-espion, qui le prévient qu'Otchi, le chamane sibérien qu'il piste depuis la veille, s'est remis en mouvement. Direction les sous-sols de l'hôtel Heliott avec l'espoir de retrouver Walter, le chef de l'Association... Un loup garou terrassé plus tard, le monde bascule! Jasper et Ombe découvrent un Walter tiré à quatre épingles en compagnie des "trois plus fameux salauds de la ville": Siyah, le magicien noir; Séverin, le vampire et Trulez, le loup-garou... L'Association vit-elle ses dernières heures?

Ce tome constitue un pivot dans la série imaginée par Pierre Bottero et Erik L'Homme. Les pièces du puzzle se mettent progressivement en place. On assiste a un nombre incalculable de coups de théâtre et de révélations concernant les personnages principaux comme secondaires mais également concernant l'Association elle-même! La métamorphose de la secrétaire Rose est de loin la plus étonnante (même si on pressentait qu'elle devait avoir plus d'un tour dans son sac). Quant aux mystères qui auréolent la nature profonde de nos deux héros, Jasper et Ombe, l'auteur nous oriente sur une piste pour le moins surprenante. Mais, comme toujours, méfions-nous des apparences! Il suffit d'ailleurs de se référer à l'un de ses POST-IT pour s'en convaincre: "Une chose qui convainc n'est pas vraie pour autant. Elle est seulement convaincante..."

Quant à la narration, on assiste toujours à une alternance entre le récit à la première personne de Jasper et celui à la 3e personne centré sur Rose. S'y intercalent quelques pensées, souvenirs de Jasper ainsi que quelques fameux "Post-It". Cette manière de découper le récit le rend encore plus haletant. L'auteur est seul à connaitre le sujet final de son tableau. de près, nous ne voyons que des taches, nous n'avons pas son recul pour admirer l'oeuvre qui se dessine sous nos yeux!

Du côté des sentiments, nous sommes là aussi gâtés. le texte hommage à la disparition d'Ombe (et à celle de son auteur) intitulé "Un ciel sans bougie" m'a vraiment remué les tripes. le désespoir d'Ombe qui se rend compte qu'elle ne pourra plus jamais aimer m'a touché. Quant aux hormones de Jasper qui travaillent, cela m'a bien fait sourire. Il en perdait presque son humour légendaire!

Quant à la couverture, elle est de loin la plus aboutie des 7 tomes. Dans toute cette violence teintée de rouge, une petite lucarne vers la liberté reste visible...

"Il ne reste plus qu'une pièce pour terminer le puzzle et voir l'image apparaître tout entière...
(...)
La dernière pièce.
L'ultime.
Pour que la lumière soit."

VIVEMENT LE TOME 8!
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Et encore un tome coup de coeur !!! le personnage de Jasper est vraiment tout ce qu'il y a d'attachant : tête brûlée, impertinent, drôle, un brin maladroit avec une répartie à brûle-pourpoint. Bref, je l'adore. Et plus les tomes passent plus le mystère s'épaissit ce qui le rend d'autant plus intéressant.
Ici, Mademoiselle Rose se transforme en guerrière, Walter devient maléfique, Jasper suit les conseils de sa petite voix et se jette à l'eau niveau sentimental.
Trépidant et sans temps mort, un tome qui se lit quasiment d'une traite, un style échevelé et bourré de bons mots.
Impatiente et en même temps angoissée de connaître la fin de cette aventure avec le dernier tome car je sais d'avance que j'aurai le blues de fin de saga. Une série à découvrir !!!

Si il a un truc à dire sur le livre c'est : ça bouge!

L'Association, Jasper, les méchants s'activent et pas qu'un peu!

L'intrigue reste simple et pas tordu pour un sous(j'adore quand c'est tordu mais là c'est reposant , pas un mal vu le type de lecture que c'est)

Encore une fois un tome court (comme tous ^^) et sans vraiment une fin (comme les derniers tomes à partir du 4 je dirais) bien que certaines choses s'arrangent ce qui justifie en partie de terminer le chapitre tome.

Fafnir toujours un fidèle petit sort qui dépasse de loin sa fonction première, les dialogues entre Ombe et Jasper se développent et c'est magnifique, ils deviennent plus présent que dans le 6... C'est une confrontation de style mêlé à de l'humour amour fraternel fort qui apporte un énorme plus au livre.

L'histoire est beaucoup moins innocente que dans les premiers tomes et dans celui là ça se ressent vraiment, Jasper n'est plus un enfant (ou moins (en partie (je pense ^^ (ps: spoil (presque)))))

L'histoire est développé les personnages sont complexes(pas l'inverse hein)...

Agréable à lire et j'ai pas envie que ça se termine!!

Au niveau du titre, je pense qu'il prend tout son sens à la fin du chapitre 1 (citation plus bas), on comprend ce que l'auteur veut nous dire,

La fin arrive prochainement mais je traîne un peu sur la lecture j'veux pas que ça se finisse!!!!!!!!
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Jasper a suivi le sorcier Otchi, qui a perpétré des meurtres horribles sous ses yeux. Il est aidé par Nina, qu'il a délivrée de ses kidnappeurs dans le tome précédent. Quand il se retrouve dans les sous-sols d'un hôtel parisien devant un immense loup-garou, les choses se compliquent.

A comme Association est une excellente série !! A l'origine, Erik L'Homme et Pierre Bottero devaient alterner l'écriture de chaque tome. le décès prématuré de Pierre Bottero a laissé à E. L'Homme la mission d'écrire, seul, la suite des aventures de Jasper et Ombe. Et il s'en sort très bien. J'aime beaucoup l'autodérision et l'humour (pas toujours drôle) qu'il met dans le personnage de Jasper. Ses jeux de mots sont excellents la plupart du temps mais mal venus dans les circonstances, ce qui permet de dédramatiser les situations dans lesquelles le personnage se retrouve.

Dans les derniers tomes, on en apprend un peu plus sur Walter, Mademoiselle Rose et le Sphinx, les « chefs » de l'organisation parisienne et ce qu'on découvre est plutôt étonnant. Des révélations sur Jasper et Ombe se profilent également, même si je pense être loin d'avoir tout compris.

Cet avant-dernier tome cristallise tous les bons points de la saga : vif, prenant, il est riche en rebondissements et révélations. Les personnages évoluent, sans toutefois trahir leur nature profonde, ce qui fait qu'on les retrouve toujours avec un immense plaisir. L'intrigue s'étoffe de plus en plus, et cela promet de très bonnes choses pour la suite - et fin. Encore une bonne pioche, donc, avec A comme Association, une série dont la qualité laisse rêveur !
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hé oui enfin je me suis mise à lire la suite, et malheureusement c'est un peu tard ! j'avais oublier une bonne partie du tome 6 ce qui fait que j'ai eu du mal à entrer dans le livre, et sur un livre de 200 pages qui passe comme un rien... ben ça laissa pas grand chose. J'ai pas trouver que ce livre nous donnais beaucoup d'informations pour la suite sauf bien sur la fin ! (of course). MAIS et oui il y a un mais, tout n'est pas tout noir !! et oui c'est toujours Jasper, ce personnage tellement drôle et attachant, et Ombre dans sa tête ! J'ai beaucoup aimé aussi découvrir mademoiselle rose en mode guerrière ^^. Erik l'Homme continue à m'emporter dans cette histoire, et je vais pas commettre la même erreur je vais me mettre direct dans le dernier, pour pouvoir en profiter pleinement !

Ce tome 7 est la suite exacte du précédent. Je ne vais pas pouvoir parler de ce tome dans parler du précèdent... En effet Jasper dans le tome précédent poursuit Otchi le chamane surpuissant, ici on le retrouve toujours en train de le poursuivre, mais des éléments nouveaux vont arriver et on va découvrir qui est Otchi. On retrouve aussi un personnage qui avait disparu : Nacelnik, l'ex petit ami de Ombe, un belle surprise, je l'avais oublié celui-là...
Mais surtout on en sait beaucoup plus sur l'Association, sur Mme Rose, le Sphinx et Walter... Mme Rose prend beaucoup plus de place dans l'histoire, son personnage se réveil, j'ai vraiment beaucoup aimé le rôle qu'elle prend ici.
Quant à Fafnir et bien il a sa plage, un peu moins présente que dans le tome précèdent, mais tout aussi il est toujours présent.
Ombe est toujours dans la tête de Jasper, on va en apprendre beaucoup sur eux deux, c'est très intéressant.
Et enfin, Nina, oui, bof, elle n'arrive de toute façon pas à la cheville d'Ombe !!!

Le tome 6 était déjà assez « adulte » et celui-ci, l'est tout autant. Les personnages gagnent en maturité. L'histoire est toujours ponctuée de Post-It courts. Je pense qu'on en apprendra plus sur les Les " rêves rouges " dans le prochain tome...

Une saga superbe menée d'une main de maître !!! Mais j'ai tout de même ressenti qu'on arrivait à la fin, dommage... et en même temps on va enfin connaître le mot de la fin de toutes cette histoire... Mais ils vont me manquer tous...
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J'ai adoré!!

Cet avant dernier tome est beaucoup moins noir que le précédent. Il nous permet de répondre à beaucoup de questions que l'on se pose dès le premier tome: pourquoi des hommes essayent de tuer Jasper et Ombe, pourquoi la coloc d'Ombe a des articles sur elle, pourquoi Walter a eut une attitude aussi bizarre et pourquoi il a disparu... Il confirme les intuitions que j'avais eut sur la nature de Jasper lors du tome 6. J'ai adoré l'histoire, j'ai hâte de lire le dernier tome en novembre qui va être complètement différent des autres à mon avis vu la tournure que prend l'histoire!

Le style d'Erik L'Homme est toujours aussi fluide, les jeux de mots de Jasper se font plus rares mais cela correspond bien à son état d'esprit. Erik l'Homme alterne comme dans les autres tomes les chapitres de narration principale avec ceux de narrations secondaires: j'ai adoré ceux qui sont des post-it. Enfin merci à lui d'avoir si bien repris le personnage d'Ombe mais aussi pour ce magnifique titre qui me fait beaucoup pensé à Pierre Bottero.
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