AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,03

sur 36 notes
Un livre choisit par hasard dans ma liseuse, un soir d'été.

Pauvre garçon, trop gâté par la vie. Né d'une famille ultra noble. Famille qui remonte à Mathusalem ou presque. Famille qui s'enorgueillit des faits et des gestes de ses ancêtres de l'an 1000 et qui depuis va à la chasse... Avec une exception pour le grand père qui a été résistant...

Un vieux garçon de 27 ans... ouahhh qui passe sa vie à penser qu'avant c'était mieux. Mais le avant, chez lui, ce sont les siècles d'avant. Et comme il a hérité, pas besoin de travailler, c'est bon pour les bourgeois...

Il y a des traits d'humour mais certains très éculés et d'autres plus que écoeurants : sa comparaison entre la file d'attente pour entrée dans une boite de nuit du Pays Basque et les migrants... m'a laissée pantoise.

Pour chasser l'ennui, il devient alcoolique et fonde un club de vieux garçons avec un compère qui décidera de devenir moine.

Quant à l'auteur, finalement vieux garçon il ne finira pas...

Je dois être beaucoup trop bourgeoise pour apprécier ce type de personnage. Quant à sa prose, elle ne m'a pas donnée envie d'aller plus loin dans sa découverte.


Commenter  J’apprécie          50
Vous vous demandez comment un jeune homme bien né vit son célibat ? Sinon ne lisez pas ce livre !
Entre réflexions sur la généalogie, l'art et la vie mondaine à Paris, François nous entraîne plutôt dans un tourbillon romanesque que dans une quête désespérée.
Il nous raconte sa vie et les personnages hauts en couleur qu'il a rencontré, sa grand-mère, duchesse au caractère bien trempé, son oncle, chasseur mélancolique ou encore son compagnon d'école, anarchiste convaincu.
L'élégance est portée en étendard contre la vulgarité et guerre est menée contre l'ennui par des joutes oratoires et des rencontres au Jockey Club. le célibat comme un mode de vie, narré avec humour.
Commenter  J’apprécie          10
Autant le dire tout de suite : j'ai beaucoup ri en lisant ce livre. Plus encore que je m'y attendais après avoir lu le résumé :

Avec leurs indécisions et leurs marottes, les vieux garçons avaient mauvaise presse. Même jeunes, ils ont déjà l'air démodé, précocement usé, inadapté. N'est-il pas temps de les réhabiliter ?

Le héros, François de Rupignac, né en 1984, est du bois dont on fait les célibataires endurcis : entre son grand-père (vénérable général chauve et bondissant), sa grand-mère (duchesse farfelue à langue de vipère) et son oncle Albert (moustachu mélancolique qui vit seul dans son manoir, entouré de têtes de cerfs), François traverse son enfance en dehors des clous contemporains. Avec des modèles pareils, il est mal parti pour s'insérer.

En pension, il rencontre Pierre, sorte d'anarchiste mystique, cultivé et plus remonté qu'un coucou. Ensemble, ils se rêvent conspirateurs, nouveaux frondeurs, et imaginent le mouvement qu'ils lanceront tous les deux : le Club des vieux garçons, société secrète qui se réunit une fois par mois au sous-sol du très chic Jockey Club. Il fonctionne un peu comme les fraternités monastiques, rassemble toute une faune de résistants drolatiques qui font voeu de pauvreté et de chasteté, refusant le travail et le couple. « Abstiens-toi ! » est leur mot d'ordre.

Peu à peu, les membres de ce club se muent en activistes, bizutant banquiers gloutons, créateurs de mode prétentieux, artistes contemporains surcotés, mauvais écrivains, etc. Mais pourront-ils maintenir ad vitam cet écart ? La jeunesse n'estelle pas condamnée à passer ? Les têtes de cerfs ne doivent-elles pas un jour céder leur place à l'amour ? C'est tout l'enjeu de ce livre qui, satirique par endroits, est aussi un roman d'initiation …

J'ai beaucoup ri car c'est d'abord l'objectif de l'auteur de ce roman qui nous plonge dans le monde de l'aristocratie française à la fin du XXème et au début du XXIème siècle. L'auteur, que je connais pas et dont j'ignore si son roman est totalement, partiellement ou absolument pas autobiographique, s'amuse clairement à mettre en scène le décalage entre ses personnages et le monde qui les entoure. J'ai franchement ri en imaginant que tout cela pourrait être vrai.

L'intérêt de ce roman n'est pas seulement dans son humour. C'est également par certains aspects un roman d'initiation classique, avec son héros qui grandit et découvre l'amitié, l'amour, le deuil, la vie en somme. Là où j'applaudis l'auteur, c'est qu'il a réussi à me rendre attachant un personnage qui est mon opposé : comment moi, fils de communiste, issu d'un milieu modeste et qui a grandi en province, ai-je pu finir par trouver sympathique cet aristocrate parisien, coincé et réac ? Je vais mettre cela sur le compte du talent d'écrivain de Louis-Henri de la Rochefoucauld.

Le récit n'est pas forcément surprenant, la fin encore moins, mais j'ai pris un réel plaisir à lire ce roman toujours drôle et parfois touchant. Ce n'est sans doute pas un chef d'oeuvre absolu, ce ne sera mon livre préféré de l'année, mais cela reste une lecture plaisante dont je garderai un bon souvenir.
Commenter  J’apprécie          10
Roman très divertissant au coeur de la vieille France en exil dans le Paris contemporain !
Le style mordant du personnage principal, aristo né vieux garçon en 1985, est le principal atout du roman ! Ainsi que ses grands-parents et son grand-oncle, hauts en couleur ! Nous sommes ici bien loin de l'image de la famille d'aristos coincés
L'intrigue ne parait pas être l'aspect le plus important du roman. Il s'agirait plutôt de l'atmosphère déjanté et de la galerie de personnages démodés dès la naissance !
Commenter  J’apprécie          10
Bon sang ne saurait mentir. Et sans vouloir remonter l'arbre généalogique jusqu'aux premiers de Rupignac qui s'installent au XVIIe siècle dans le paysage aristocratique, on ‘s'arrêtera quelques instants sur les grands-parents du narrateur ainsi qu'à son oncle Albert pour souligner combien ces trois personnes ont marqué le narrateur.
Derniers représentants d'une dynastie dont on sent bien qu'elle est plus proche de la fin que de sa gloire d'antan, ils vont tenter de transmettre leurs valeurs à ce rejeton, lui donner les codes lui permettant de perpétuer un monde totalement désuet.
C'est ce qui nous le rend du coup sympathique. Car on comprend très vite que ce combat est voué à l'échec, que le jeune François n'a ni les moyens, ni l'envergure pour mener à bien cette bataille rétrograde. Aussi lorsqu'il décide de créer le Club des Vieux garçons, sorte de cercle rassemblant les célibataires endurcis, ce n'est pas vraiment à l'élite fortunée qu'il va s'adresser, mais à une joyeuse cohorte de têtes brûlées, tout aussi perdues que lui dans ce monde où tout part à vau-l'eau. D'ailleurs le règlement établi pour l'occasion décrète qu'il faut avoir une bonne descente mais pas de métier sérieux, être baptisé et ne pas hésiter à user de son sens de l'humour lors des discussions homériques qui réunissent les membres au prestigieux Jockey Club. Il faut bien préserver les apparences.
La figure emblématique de cet aréopage est Pierre, l'ami de beuverie de François, qui finira par trouver son salut dans les ordres. Un moyen comme un autre d'échapper à la médiocrité ambiante…
Car, on l'aura compris, il ne suffit pas de vouloir refaire le monde pour que ce dernier se plie aux volontés du groupe. D'autant que les « attentats » fomentés par la bande sont bien dérisoires, si loin de la Fronde avec la Grand-Condé qui avait fait les heures de gloire de la famille. On s'attaque à l'art contemporain, à quelques écrivains trop révolutionnaires, à une république trop laxiste pour être honnête.
Combat vain, suranné et folklorique, à l'image du journal fondé par nos deux membres fondateurs, mais qui, pour peu qu'on le prenne au second degré, devient un manifeste certes désabusé, mais assez grinçant. de quoi redonner un peu d'excentricité dans un monde où les râleurs et les pessimistes semblent devoir régner sans partage.
Si Louis-Henri de la Rochefoucauld sait que la partie est perdue d'avance, cela ne l'empêche pas de la jouer. Les uns ne manqueront pas de trouver tout cela bien dérisoire, les autres – dont je suis – salueront l'audace et le panache et goûteront au style d'un classicisme de bon aloi.
Lien : https://collectiondelivres.w..
Commenter  J’apprécie          160
Quand j'ai eu ce livre entre les mains, à la librairie où je travaille, il m'a tout de suite intriguée. En lisant le résumé, et en observant le bandeau de couverture, je pensais ouvrir un roman qui se passerait au XIXème ou XXème siècle, au sein de l'aristocratie. Si j'avais raison sur ce dernier point, j'ai été très surprise que le narrateur n'est en fait autre qu'un jeune homme, François de Rupignac, né dans les années 1980 ! le roman se déroule donc à notre époque. Durant son enfance, François s'est entendu rabâcher par son grand-père tout un tas de sermons sur l'importance de leur lignée aristocratique, d'un mode de vie noble, de valeurs morales, tout cela à préserver à tout prix de la modernité. Pas étonnant donc, que François, en grandissant, se soit senti en décalage avec les autres jeunes, tous "à la mode". Avec son ami Pierre, ils décident donc de fonder le "Club des Vieux Garçons", défendant un mode de vie clairement décalé. Ils n'arrivent pas à trouver leur place dans cette société où trouver un travail et une petite amie sont les plus grands signes de l'accomplissement personnel. En effet, eux préfèrent l'oisiveté qui était auparavant (c'est-à-dire quelques siècles plus tôt) le privilège de la noblesse, mais surtout, ils préfèrent rester célibataires. Ils créent donc un Club, accueillant des jeunes hommes qui partagent ces idées, avec qui ils boivent du champagne et font des plans sur la comète. C'est décalé, plein d'humour et chic anglais, alors ça m'a plu !
Lien : http://chroniqueetudiantelet..
Commenter  J’apprécie          10
A ma grande surprise,l'auteur de ce roman est né en 1985. le style délicieusement suranné, émaillé d'expressions pittoresques, m'avait fait imaginer un "Louis-Henri de la Rochefoucauld" en vieil homme portant beau, une sorte de clone de Jean D'Ormesson. Notre écrivain serait-il comme son anti-héros, François de Rupignac, un homme âgé avant l'heure, amateur de petites laines, de feux de cheminée et de tisane à la camomille ? Je pense plutôt qu'il est doué d'un sens de l'observation extrêmement affûté, doublé d'une colossale mémoire.

L'écrivain nous invite, faubourg Saint-Germain, où de nombreux aristocrates, pour la plupart décatis, exècrent l'époque contemporaine en des termes d'une verdeur croquignolette, regrettant leur splendeur passée. Ils font figure d'anachronismes vivants. François de Rupignac est le dernier d'une très noble lignée et ne souhaite en aucun cas prouver sa bravoure sur les champs de bataille. Il prèfère la "révolution en tweed". La création du club des vieux garçons sera le fer de lance de celle-ci. Outre l'organisation de soirées où les "hurluberlus", contempteurs de notre époque productiviste, se saoulent au champagne, François et son ami Pierre mettent sur pied des expéditions punitives contre les "gendelettres" et les politiciens dont les écrits sont d'un vide abyssal.

Pour moi, le passage le plus drôle de ce roman est le châtiment bien mérité de Pierre-Alain Précieux, "éternelle figure du gendelettre bouffi de lui-même qui hante le milieu littéraire faute d'être habité par la littérature". François et Pierre entreprennent de dégonfler cette prétentieuse baudruche de façon potache mais efficace.

Les années passent et François vieillit. Il devrait être heureux d'aborder les rivages de la trentaine, lui qui rêvait de foyer-logement plutôt que de carrière à la City. Les années passent et il se dit qu'il est peut-être passé à côté de sa vie, dilapidant ses heures comme son argent. Son comportement "fin de race" (l'expression, ici, n'est pas péjorative) n'est-elle pas une impasse ? L'auteur, dans sa grande mansuétude, va opportunément placer sur sa route une jeune fille "avec un accent belge à décoller les moules de leur coquille".

Louis-Henri de la Rochefoucauld fait revivre, le temps d'un roman, un monde sur le déclin. Son personnage, attachant et horripilant ( "attachiant" pour tout dire ) est l'héritier de traditions, d'un art de vivre qui n'ont quasiment plus cours. L'humour est son arme pour dynamiter une époque où il ne trouve pas sa place. L'amour sera peut-être plus efficace...

Une lecture plaisante malgré quelques longueurs
Commenter  J’apprécie          20
La chute jubilatoire d'un dandy révolutionnaire vaincu par l'amour….Mais chut ! La chute n'est que temporaire !

Le ton gai, altier, léger du roman est tout de suite posé : François de Rupignac est né en mars 1985. Et il serait né vieux garçon !

Il vit ballotté entre ses parents, ses grands-parents et son oncle Albert ; des personnages croquignolesques à la façon d'Audiard. Des caractères trempés aux expressions tout aussi humides, « aux foucades tellement décalées avec les affectations de gravité observées partout ailleurs » ; des êtres en résistance contre la vulgarité.

Un texte ethnologique en ce sens qu'il nous fait un portrait soigneux de cette espèce, en voie d'extinction, que constituent les vieilles familles nobles et oisives de France. Une description de leurs valeurs et, au-delà, de la lutte souvent solitaire de la roture-noble-de-caractère contre les diktats de la société de consommation aux mains des bourgeois enrichis.

Bien sûr ces idées mijotent depuis quelques temps ; elles ont déjà été adoptées par certains dandies britanniques quelque peu anarchisants sous le concept de « révolution par le tweed » (tweed revolution) prônant la galanterie, les bonnes manières, le refus des standards physiques, des marques, des règles, des pensées, des normes, des expressions insipides et à la mode, des interdictions conventionnelles, du denim et des baskets quand il ne courent pas, le tout distillé par le système mercantile de la classe socialement dominante, vulgaire et enrichie; elle-même sous la coupe des financiers qui se marrent bien.

Louis-Henri de la Rochefoucauld fait rêver son héros d'un club de vieux garçons ou « old chaps » qui fomenterons des actes de résistance, de piratage, de bizutage, pas très méchants et toujours de leur bon goût.

Mais qu'est ce qu'un « vieux garçon » ?
« Il n'est ni un homme, ni une femme.
Un troisième sexe ? Non, rien à voir avec les théories du genre, ce fatras ennuyeux pour harpies vindicatives et camionneurs repentants…
Non : il ne chasse à courre ni les hommes ni les femmes – ni les honneurs. Il aime les feux de cheminée, les couchers de soleil, les chaussettes montantes, l'humour anglais et les vestes d'intérieur. La littérature, aussi. Et la contemplation. »

Un roman très gai, très agréable et qui laisse à réfléchir.

Oui, à leur suite j'ai eu envie de crier : Stop ! Halte ! La médiocrité ne doit plus passer ! Luttons ! Tant que nous savons encore écrire, lire, penser !

Commenter  J’apprécie          346
Janvier 2017, ouverture de ma boîte mail et comme pour prolonger les cadeaux de Noël, Babelio me propose de commencer cette nouvelle année par une masse critique VIP pour la publication aux éditions Stock du Club des vieux garçons. le titre me plonge même avant de l'avoir reçu et donc ouvert dans un univers anglais entourée de gentlemen élégants portant haut de forme et costume en tweed... et le nom de l'auteur me fait basculer dans ma vie étudiante. Tout me pousse donc à m'inscrire à cette masse critique.

Voici le résumé éditeur : "Avec leurs indécisions et leurs marottes, les vieux garçons avaient mauvaise presse. Même jeunes, ils ont déjà l'air démodé, précocement usé, inadapté. N'est-il pas temps de les réhabiliter ?
Le héros, François de Rupignac est du bois dont on fait les célibataires endurcis : entre son grand-père (vénérable général chauve et bondissant), sa grand-mère (duchesse farfelue à langue de vipère) et son oncle Albert (moustachu mélancolique qui vit seul dans son manoir, entouré de têtes de cerfs), François traverse son enfance en dehors des clous contemporains. Avec des modèles pareils, il est mal parti pour s'insérer. En pension, il rencontre Pierre, sorte d'anarchiste mystique, cultivé et plus remonté qu'un coucou. Ensemble, ils lanceront le Club des vieux garçons, société secrète et décalée qui se réunit une fois par semaine au sous-sol du très chic Jockey club. Mais pourront-ils maintenir ad vitam cet écart ?"

club-vieux-garcon

François de Rupignac est le personnage principal du roman. Héritier d'un grand père général, parents exilés en Suisse, il vit avec sa grand-mère, la Doyenne. Et malheureusement, on passe beaucoup de temps, à mon goût, à nous présenter le dit François (alors certes c'est le personnage principal mais le titre c'est tout de même le Club des Vieux garçons) retardant la création du Club. Présenter le personnage et ses habitudes sont nécessaires mais là, pour moi, c'est trop long...

Et lorsque le Club apparaît, rien ne m'emporte, voire même tout m'énerve. Je trouve les personnages superficiels, l'histoire sans grand intérêt. Parfois on accroche à une histoire, d'autres fois non. Et cette fois, je reste un peu déçue après cette lecture.

En résumé : Un sujet prometteur, un titre alléchant mais pour moi une promesse qui n'est pas tenue. Dommage !
Lien : https://gourmandisesetplaisi..
Commenter  J’apprécie          00
Le premier tiers de ce roman est long et fastidieux.
Dans la même page on peut avoir des vers de poésie et une allusion à Victor Hugo et sa légende des siècles qui donne envie de s'y replonger, et une phrase entre parenthèses d'une lourdeur digne d'un journal intime de petite fille : " Pierre à dû se rendre là où le roi va seul, c'est à dire aux toilettes ( je le précise pour ceux qui n'auraient pas fait français 1ère langue, je le précise pour ceux qui ne seraient pas natifs(et je le précise bien que ceux-ci aient sans doute décroché depuis belle lurette)). "
Le décalage agace !
Le récit prend une autre dimension lorsque Pierre et François se lancent dans leur "guérilla discrète", leur "révolution par le tweed". Cela arrive tardivement malheureusement.
Il y a cependant de belles trouvailles, notamment dans l'humour, avec des personnages existants :
"Ma grand-mère avait une théorie comme ça, sur Jean d'Ormesson.
-Ah ouais ?
-Elle disait qu'il publie toujours le même livre, sans en changer une seule ligne. Ses lecteurs étant tous atteints de la maladie d'Alzheimer, ils ne s'en rendent pas compte et continuent d'acheter. Maintenant, ma grand-mère a Alzheimer à son tour : elle ne se souvient plus qu'elle a un jour eu cette théorie."
Commenter  J’apprécie          00




Lecteurs (71) Voir plus



Quiz Voir plus

Compléter les titres

Orgueil et ..., de Jane Austen ?

Modestie
Vantardise
Innocence
Préjugé

10 questions
20320 lecteurs ont répondu
Thèmes : humourCréer un quiz sur ce livre

{* *}