Les bateaux dans la nuit sont une métaphore sur la possibilité qu'ont deux personnes de se rencontrer ou de s'ignorer.
Philippe Labro tartine interminablement plus de quatre cent pages sur une enquête criminalo-journalistique, en y mêlant de très réalistes scènes sexuelles et coprophiles. Avec une très nette tendance à citer des marques de vêtements, de cigarettes, d'alcools, des noms d'hôtels, de restaurants, de plats et de recettes, il fait du remplissage auquel s'ajoute les réflexions désabusées du héros qui n'apportent rien à l'histoire.
Une fois n'est pas coutume, c'est un ratage complet pour
Philippe Labro.
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