Il faut avoir le coeur bien accroché pour lire le récit de
Maria Landon jusqu'au bout.
Ecoeurement, dégoût, colère, compassion, tristesse... tous ces sentiments qui m'ont envahie au fil de ma lecture.
C'est toujours plus incompréhensible, plus inimaginable, plus impardonnable quand le mal est infligé par la propre famille, quand les parents deviennent les bourreaux.
Maria raconte, elle raconte sans laisser transparaitre ses sentiments, comme si elle avait été témoin de sa propre maltraitance, comme si elle était au dessus de tout cela.
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