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Que sont-elles devenues ces fées au pouvoir sans égal, ces déesses vénérées par des peuples entiers et soumis ?
Que sont devenues Mélusine, Perséphone, Circé, Baba Yaga, Bastet, la Gorgone Méduse ?
Ces fées ensorceleuses, ces redoutables sorcières, ces magiciennes perfides.
Ne reste-t-il d'elles que de maigres étincelles parsemées au gré des légendes couchées sur du vélin jauni ?
Qui croit encore en leur influence néfaste ou bénéfique ? Qui les redoute toujours ? Qui les porte aux nues ?
Personne, j'en ai bien peur. Ou alors si, juste « une poignée de fous et de rêveurs « , mais c'est bien trop peu pour retrouver la gloire et la suprématie d'antan.
Mais alors, où se terrent-elles ces démones déchues, ces fées désincarnées, ces spectres de guerrières ?


Je crois avoir trouvé la réponse..
...et je suis certaine que vous aussi, vous brûlez d'envie de la connaître.
Alors, suivez-moi.
Mais avant, Mesdames, n'oubliez pas votre chapeau, enfilez corset et jupe longue, chaussez vos bottines à lacets enrubannées et vous Messieurs, coiffez-vous de votre haut de forme, portez votre plus beau costume ( celui qui fait dire à votre chère et tendre : « Oh ! On dirait Rhett Butler ! ») et tenez-vous prêts.

Là, écoutez...Vous entendez ?


«  Mortels, entendez-vous cet écho lointain ? C'est la maléficiante mélopée d'un mélancolique cabaret.
L'Étrange Cabaret, le cirque des curiosités, le spectacle de monstres chimériques, le music-hall des fées désenchantées ».


Et si comme moi, vos premiers pas sont hésitants et méfiants, laissez-vous emporter par la plume
d'Hélène Larbaigt, merveilleuse enchanteresse, qui, nous révèle dans un décor à la fois sombre et fantasque, douze portraits de fées, cocasses et désespérées mais ô combien touchantes !
Une fois à l'intérieur du Cabaret, il n'y a plus de place à l'hésitation. On se laisse délicieusement emporter dans un tourbillon joyeux aux parfums délétères, puis entraîner dans une folle danse macabre au rythme endiablé de funestes percussions pour finir complètement affalés sur un divan à engloutir des tonnes de guimauves ailées, vaincus mais charmés. Oui, sous le charme de Morte Vanité, fée fatidique, gardienne de l'autre monde et surtout fondatrice de l'Etrange Cabaret et prêts à la suivre au-delà des frontières de l'entendement, où elle veut, quand elle veut.
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Avant de commencer ma critique, je tiens à remercier Babelio et les éditions Mmémos pour leur confiance dans ce partenariat Masse Critique.

L'étrange cabaret... des fées désenchantées, c'est d'abord un titre qui fait rêver et qui attise une forte curiosité chez le lecteur.
C'est aussi un magnifique objet. Hélène Larbaigt est une jeune artiste très talentueuse, c'est plus qu'indéniable, une évidence, presque une lapalissade. Les graphismes de ce livre oscillent entre humeur, gravité, malice, drame et même gourmandise parfois : le tout pour le plus grand plaisir de nos yeux émerveillés par ce monde. Pour l'iconographie, on voit bien les sources d'inspirations très diverses qui vont du manga aux "Noces Funèbres" de Tim Burton en passant par la myhologie.
Il en va de même pour les histoires qui nous sont comptés. L'auteur nous offre un billet de voyage dans l'espace (Paris, , Prague, l'Angleterre, la Bulgarie..) et le temps.
Quand féerie et dandysme se rencontrent !

J'ai aussi trouvé très originale l'alternance entre l'histoire de chacune des fées qui constituent le cabaret et des affiches , billets d'entrées ou autres petites anecdotes du Cabaret qui tiennent sur une seule page. Cela constitue de biens jolies entractes.

Il y a eu un gros travail de recherche au niveau du lexique pour donner un effet tout aussi "vaporeux", et magique. le seul petit bémol, c'est que parfois l'auteur en fait trop dans cette recherche. Et la forme en vient parfois à desservir le fond. J'aurai aimé qu'il y ait aussi un peu plus de naturel dans la narration. Non pas que ce manège linguistique m'ait fait perdre l'équilibre ou le fil de l'histoire, mais trop de style ampoulé tue l'originalité du style.

Malgré cette petite remarque, cette lecture a été un vrai délice et aura de quoi émerveiller les amateurs du genre.
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J'ai acheté ce très bel ouvrage lors des Imaginales en mai 2016 où j'ai pu le faire dédicacer par Hélène Larbaigt. J'aime beaucoup tout ce qui a trait au fées et aux lutins et l'univers de Tim Burton donc ce livre m'a tout de suite fait de l'oeil. Je l'avais souvent feuilleté mais je n'avais pas pris le temps de le lire entièrement, c'est maintenant chose faite. J'avais déjà été conquise par les illustrations et ce qui m'a surtout marqué à la lecture, c'est la poésie qui ressort de la plume très travaillée de l'auteure. En effet, l'étrange cabaret des fées désenchantées contient plusieurs histoires qui, misent les unes à la suite des autres, font un vrai portrait de ce cabaret si particulier. L'auteure s'est attachée à détailler chaque histoire et le style de chaque texte est vraiment raffiné, ce qui fait qu'on lit chaque conte avec grand plaisir.
Le livre retrace donc l'histoire de ce cabaret au travers de toutes les fées qui le compose. Ces fées ne ressemblent à celles que l'on connait dans les contes de fées traditionnelles. Il est le refuge des fées désenchantées, écorchées par la vie ou encore perdues dans notre monde sans magie qui ne croit plus en grand chose, au grand désespoir de Bast. Une véritable troupe prend vie sous nos yeux ébahis, chaque histoire étant emplie d'émotions et de tristesse qui font qu'on s'attache très vite à toutes ces fées, si particulières soient elles. La fondatrice du cabaret se nomme Morte Vanité et fait l'objet de la première des histoires. le livre nous raconte comment Morte Vanité a rencontré chacune des fées et la place qu'elle occupe dans le cabaret. Cependant, l'auteure a pris garde à soigner les petits détails et il y a certains récits imbriqués dans les autres. le livre n'est pas seulement une succession de contes, des menus du restaurant, des affiches s'échelonnent au fil du livre en lui donnant une esthétique raffinée.
L'univers créé par l'auteure est un mélange de plusieurs genres, il emprunte à la fois à la belle époque, au steampunk, aux différentes mythologies (on rencontre même Apophis dans certains passages) mais le tout est cohérent, chaque histoire faisant partie d'un même tout et possédant des connections avec les autres récits. Il faut bien ouvrir les yeux et se laisser porter par le spectacle de ce très beau livre qui retranscrit magnifiquement l'ambiance si particulière du lieu jusqu'à nous enivrer de ses beautés. Chaque histoire est différente sur le fond, et nous touchera différemment, mais chacune à sa manière est envoutante, sombre et émouvante. le livre est également un bel hommage à une culture particulière allant de Tim Burton à Neil Gaiman en passant par les romans gothiques, pour s'en détacher et créer un univers à part. L'objet livre est également d'une grande qualité avec un beau papier et une couverture cartonnée. L'écriture de certains passages est parfois trop petite (dans les lettres manuscrites) mais c'est le seul bémol que j'aurai à signaler. Vous l'aurez compris j'ai vraiment été séduite par ce livre à part, par ses très belles illustrations ainsi que part la plume de l'auteure qui mettent en valeur son univers si particulier et étrangement beau.
Lien : https://aupaysdescavetrolls...
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Ce livre n'est pas un roman. Ce livre n'est pas un simple recueil. Cet ouvrage est une ouverture sur un monde, celui d'un étrange cabaret où des fées se produisent le soir. Certaines sont issues de la culture russe, d'autres de la mythologie égyptienne, mais toutes ont une personnalité bien trempée, que l'on découvre au fil de textes accompagnant de superbes illustrations. J'adore ce style même si je ne suis pas une experte.

Je suis tombée amoureuse des dessins dès que j'ai ouvert ce livre. Les histoires m'ont emportée les unes après les autres. J'ai souri face à certaines illustrations. J'ai apprécié le fil rouge (ou les fils rouges) courant tout au long des textes. Désenchantées est le mot qui convient même si certaines réussissent à réenchanter leur univers tandis que certaines s'efforcent d'y parvenir.

Cet ouvrage est un bijou de poésie. Il est beau. Si je pouvais le mettre sous vitrine, je le ferais sauf que je ne pourrais plus profiter des illustrations et des textes l'accompagnant. Mon seul petit bémol bémol est une lettre manuscrite dont l'écriture minuscule m'abîme les yeux… Mais ce n'est pas grave, une loupe, et hop ! Ce bémol est pardonné.

Alors si votre route croise celui de l'étrange cabaret, n'hésitez pas une seule seconde. Pénétrez à l'intérieur pour découvrir un univers riche en émotions dont on ne voudrait jamais ressortir ! Je m'y plonge encore régulièrement et la magie opère toujours.

Lien : http://encore-un-chapitre.bl..
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Ce superbe livre dense, précieux, aux illustrations fines, riches, étranges, parfois effrayantes, se découvre par petites lectures, car il y a des histoires dans une. La profusion des écrits et des dessins d'Hélène Larbaigt absorbent le lecteur et le mènent dans un monde fantastique. En douceur, il dévoile les secrets des fées, des créatures que de tout temps les hommes ont chassées, ont aimées, ont tuées. Elles étaient ogresses, sorcières, démones, spectres, sirènes… de 1884 à 1984, il a fallu un siècle pour collecter les informations sur leurs identités, leurs histoires. On peut penser qu'elles sont inaccessibles, et pourtant elles s'offrent généreusement avec des sourires… mais attention au venin, rien n'est gratuit, elles ont trop souffert. Belles, elles le sont, dangereuses, aussi. Drapées dans de luxueux atours, érotiques, gothiques, steampunk, certainement parfumées aux essences capiteuses de tubéreuses, musquées, animales, poudrées d'étoiles et de poussières de fleurs, elles paradent pour Morte Vanité, la blonde fée qui sent la violette et qui a des bottines ensorcelées. La connaissez-vous ?

« Morte Vanité, la Fée des Vanités, fée fatidique, gardienne de l'autre monde… d'origine du pays de Galles en Angleterre. Née au XVIIème siècle dans le monde des hommes, au VIIIème siècle dans l'autre monde. Fondatrice de l'Étrange Cabaret à l'automne 1884… »

.Le livre est comme une scène dont les décors seraient XIXème. Donnez votre ticket d'entrée à Guinevra Applewood, fille de fée… Choisissez bien votre loge, votre décor ; manoir, vieux théâtre, petite boutique d'un souk égyptien… le cabaret est un cirque qui voyage dans les endroits les plus insolites. Commandez votre repas, votre philtre, un menu vous est proposé, ripaillez de magie et trinquez avec elles ! Des tentures pourpres, velours, soies, taffetas, des boiseries précieuses, des lumières tamisées, des senteurs de fleurs fanées, des ombres pour mieux se perdre et des rires de crécelles, des rires sans joie, des rires de mélancolie qui accompagnent la musique.
Les temps ont changé mais l'âme humaine est toujours la même. Elle est avide des choses qu'elle ne peut avoir, les légendes le racontent, ainsi que ce catalogue d'histoires qui commence par Morte Vanité. le recensement se poursuit avec toutes les autres créatures déchues qui hantent et qui désespèrent de ne plus savoir où aller. Elles viennent de tous les pays. Elles habitaient les bois, les lacs, les mers, les îles, les neiges, les monts, les campagnes, les villes. Elles sont vaniteuses, mortelles, naufrageuses, gorgones, fille de fée, prêtresse vaudou, dame blanche, veuve noire… elles sont tout cela et encore plus, tous nos rêves et nos cauchemars. Elles offrent à la demande les réjouissances toujours éphémères, et le tribut à payer est grave, souvent mortel. Elles sont conteuses… Il était une fois Londres 1884, Prague 1909, Dartmoor 1488, Bulgarie 1926… New-York 1983, il était une fois, bien plus ancien encore, le temps des fées et des déesses.

Retenez bien leurs légendes, leurs mythes antiques, sinon elles risquent de dépérir. Apprenez à les connaître, les apprivoiser, tout en retenant que pour certaines, leurs malheurs ont fait les nôtres. Comprenez ce cabaret, l'oeuvre, sa structure, son espérance de vie. Appréciez le spectacle des illusions entre ces pages, partagez leur triste liesse des gloires anciennes, faites durer l'enchantement. Leur sécurité est aussi leur réclusion. Elles aspirent à la liberté. Rentrez dans leurs petits secrets, observez les coulisses. Comme je vous le disais au début de cette présentation, les histoires personnelles se mêlent à celles du cabaret. L'osmose est hasardeuse, on découvre dans les confidences les jalousies, les rivalités, des amitiés hésitantes, l'amour entre un dieu, Cham l'homme-lion, et une fée déesse, Bast la féline.

Je vous invite au music-hall ! Je vous invite à lire la poésie de L'étrange cabaret des fées désenchantées et à percer leurs mystères.

Morte Vanité, Lussi la Blanche-Dormante, Rosie la Veuve Noire, Ona Oknata, Baba Yaga, Bast Myeaou Mehenyt, Greta Lebkuchen, Moira d'Arkaig, Les soeurs du Tarot, Guinevra Applewood, Circé, Baronne Samedi.
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On ouvre L'étrange cabaret…des fées désenchantées comme un écrin. Un bel écrin qui vous offre en premier lieu de superbes illustrations, riches, détaillées, majestueuses comme un avant-goût des textes qui n'en sont pas moins travaillés.
Avec Hélène Larbaigt » l'effrayant devient charmant, où la terreur se fond en nostalgie ambrée de compassion. »
Morte Vanité fonde ce cabaret en 1884. Elle recrute de part le monde des fées rescapées,chassées, oubliées, prochefée2s des grandes figures légendaires de jadis. Avec ses bottines au rubans verts et parfumés, elle assure la magie nécessaire à l'enrôlement de ses amies.
Une fiche signalétique et une courte histoire nous donne à connaître les origines et caractéristiques de chacune.
Autant d'histoires surannées, effrayantes mais touchantes qui nous plongent dans un univers fantastique où se mélangent la cruauté et le rêve.
Dans l'étrange cabaret, fée féline, gorgone borgne, banshie mulâtre, sorcière russe, dame blanche retrouvent leur essence aménageant chacune leur loge à sa convenance, attirant les spectateurs toujours avides de merveilles au risque de leur vie.
Croire aux contes de fées est aussi une échappatoire, une alternative à diverses drogues de nos sociétés modernes.
Avec un registre lexical particulier (mésavenance, vastité, pertinacité, souquenilles…), un rappel des grands mythes légendaires, une richesse de documents ( affiches, menus, programmes du cabaret…), l'auteur nous plonge dans l'ambiance des lieux.
Mais il ne s'agit pas d'une simple collection de témoignages et de fiches, puisque Hélène Larbaigt construit une véritable histoire sur la genèse de ce cabaret, sur les relations entre ces fées parfois ennemies, soumises mais reconnaissantes.
Je me suis laissée emporter, « coincé entre deux mondes » dans cette danse macabre, au son d'une douce mélopée, écoutant avec effroi les frasques des fées ou sorcières, rêvant avec leurs belles histoires d'amour et d'amitié.

Hélène Larbaigt écrit comme elle dessine avec ampleur, richesse, couleur, ce qui donne au livre une belle harmonie et en fait un objet rare et précieux.
Lien : http://surlaroutedejostein.w..
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De toute beauté!
Tout est enchanteur. Les illustrations collent à la perfection, l'athmosphère est juste ce qu'il faut de mélancolique et d'humoristique.

On découvre une par une les histoires des fées, certaines qui se croisent, s'aiment, se haïssent parfois, et on avance en même temps petit à petit sur l'histoire du cabaret lui même.
Cette découpe permet de savourer les illustrations, de prendre son temps pour apprécier toutes les dimensions de l'oeuvre.

Un bel objet, une belle histoire, tout mérite les étoiles que j'attribue.
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J'ai immédiatement succombé aux charmes des fées désenchantés lorsque j'ai vu les premières présentations de cet ouvrage. Difficile ensuite de vous en parler, alors que je l'ai adoré, faut pas chercher... C'est un livre qui se touche, qui s'examine sous toutes les coutures et qui se lit avec délectation.
(...)
j'ai adoré cette lecture ! J'ai dévoré les images, dégusté le texte magnifiquement écrit. Hélène Larbaigt a su me transporter dans son cabaret, un brin désuet, 100% mystérieux, 300% fascinant. Je ne peux que vous conseiller de succomber à son appel et d'aller vous perdre dans la découverte de ses habitants. Mais attention, pour votre sécurité ne traînez pas trop longtemps seul dans ses couloirs les plus sombres !
Lien : http://www.leslecturesdemari..
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Après le très remarqué "Les aventures d'un Goubelin en pas de Broe", Hélène Larbaigt revient avec un ouvrage inclassable et enchanteur. Cet "étrange cabaret" regroupe douze contes peuplés de fées plus ou mojns dangereuses, de créatures fantastiques ( les fort curieuxJackrabbits notamment! ), de sorcières, de maléfices divers... Les magnifiques illustrations nous plongent instantanément dans une ambiance unique où se mêlent gothique et steampunk. le texte est également très soigné et grouille de références littéraires et cinématographiques. Un ouvrage féérique dans tous les sens du terme.
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j'ai attendu ce livre comme un petit trésor et je l'ai lu très lentement. je lisais un roman entre chaque histoire de fée. Je ne voulais pas quitter trop vite le monde des fées désenchantées et de son étrange cabaret.

On y apprend l'histoire de 12 fées. Des histoires sombres et tristes, des histoires amusantes, des histoires angoissantes.

Les illustrations sont magnifiques. je trouve très intéressant la fiche faite pour chaque fée avec leur origines et leur date d'entrée au cabaret et surtout comment elles y sont arrivés. toutes ses affiches et cartes publicitaires de l'étrange cabaret me donnait envie de croire que ce lieu existait vraiment.

les Histoire sont racontés de manière poétique. Si ce ne sont pas vraiment des histoires à raconter à de jeunes enfants c'est en tout cas de jolies histoires de fées déchus que j'aurai lu.

Mortels, entendez-vous cet écho lointain ? C'est la maléficiante mélopée d'un mélancolique cabaret.

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