Pour l'amour du pho

Je ne sais pas du tout comment réagir face à cette chose impossible et qui, pourtant, grandit en nous.

Mais dans tout ce que nous aimons, il y a toujours un peu de tristesse, et un brin de souffrance, vous ne pensez pas ? Cest, pour moi, ce qui donne son prix à l'art. Souffrir pour l'exprimer, sortir les émotions de soi, se délivrer des fardeaux, reprendre le contrôle de sa vie...et renaître, à la fin.

Mais dans tout ce que nous aimons, il y a toujours un épi de tristesse, un brin de souffrance, vous ne pensez pas ? C’est, pour moi, ce qui donne son prix à l’art. Souffrir pour l’exprimer, sortir les émotions de soi, se délivrer des fardeaux, reprendre le contrôle sa vie .. et renaître, à la fin.

Oh, il pleut. C'est un bon jour pour manger du banh xeo

Je ne sais pas du tout comment réagir face à cette chose impossible et qui, pourtant, grandit en nous.

Tout ce qui m'intéresse maintenant, ce sont ses lèvres, ses mains, et la sensation insensée de liberté qui me soulève tandis que je passe mes doigts dans ses cheveux.

À la faveur d'un rayon de lune, j'aperçois la détermination et le courage qui l'habitent.

Et je pense que cela en dit beaucoup sur le type de personnes que mes parents - et ceux de Linh- sont. Ils ont fait confiance à l’océan indomptable mais aussi aux personnes qui gouvernaient les bateaux jusqu’à leur destination finale. Nos parents sont des survivants.

Je ne sais pas du tout comment réagir face à cette chose impossible et qui, pourtant, grandit en nous.