Pour lui, l'humain est un élément appartenant au champ des complexes, il possède une partie réelle et une partie imaginaire. L'homme et la femme ont la même partie réelle : il n'y a pas de hiérarchie entre eux. En revanche leurs parties imaginaires sont contraires : on ne pourra jamais saisir leurs oppositions.
L'échange, simplement, voilà ce dont tout le monde a besoin
Ainsi c’est bon ! expire la femme comblée, c’est bon,
l’humanité progresse quand l’homme est derrière, la femme
devant, et que tous deux regardent dans la même direction.
Les hommes entre eux sont comme des chiens
à la Société Protectrice des Animaux : abandonnés de
maman, de bobonne ou d’une belle pute, ils se roulent dans
la terre puante pour marquer leur territoire, puis ils tournent
en rond, remuant leurs queues, avant que les plus gros
n’écrasent les plus petits, et à partir de ce moment-là, ça va
expérimenter, selon les heures, l’archaïsme, la décadence ou
quelques préliminaires auschwitziens.
La médecine moderne rend la mort lointaine et la vie insupportable
L'échange, simplement, voilà ce dont tout le monde a besoin
Pour lui, l'humain est un élément appartenant au champ des complexes, il possède une partie réelle et une partie imaginaire. L'homme et la femme ont la même partie réelle : il n'y a pas de hiérarchie entre eux. En revanche leurs parties imaginaires sont contraires : on ne pourra jamais saisir leurs oppositions.
Ce livre écrit par Boris Leroy est un enchantement ! Il parle du Sexe comme personne et semble connaître ce qui me plait dans la littérature comme si il était à l’intérieur de moi. C'est beau et émouvant. Ma femme Clarisse Dusob a également beaucoup apprécié ce livre.
Merci encore Boris Leroy
L'agressivité en automobile est asexuée, le con est roi, la conne est reine, ils sont égaux en droit et devant Dieu. La voilà, l'utopie réalisée, l'égalité des sexes est valide dans le domaine de la bagnole. (p.33)
(Parlant des tapis des salles de gym) Toute la journée durant, ça ne s'arrête pas. Et ça court et ça souffle. Qu'on branche des dynamos sur ces tapis, nous fermerons les centrales nucléaires! (p.20)