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Critique de cookie31
Âmes sensibles, s'abstenir. Amateurs de polars sanguinolents, foncez !
Le commandant de police Camille Verhoeven enquête sur une série de crimes absolument horribles, dans un cadre très glauque, et fait face à l'urgence d'arrêter un tueur en série qui pourrait bien recommencer très vite. L'assassin entre directement en contact avec Verhoeven par le moyen de lettres, et Verhoeven se retrouve intimement mêlé à la vie de l'assassin, malgré lui.
C'est un roman très noir qui tient le lecteur en haleine du début à la fin, et dans lequel Pierre Lemaître a peaufiné à merveille la psychologie des personnages (un travail soigné !). Bon, ça ne nous surprend pas, Pierre Lemaître semble être passé maître (sans jeu de mots) dans l'art de la description des âmes humaines.
Ce qui fait le charme de ce livre au milieu des horreurs décrites c'est véritablement le côté atypique des personnages, en particulier Verhoeven.
Passé le choc de la description de meurtres glauques et absolument horribles (j'ai quand même du mal à m'en remettre), on finit par s'attacher au personnage de Verhoeven. C'est ce qui rend ce roman intelligent, et intéressant.
Le commandant de police Camille Verhoeven enquête sur une série de crimes absolument horribles, dans un cadre très glauque, et fait face à l'urgence d'arrêter un tueur en série qui pourrait bien recommencer très vite. L'assassin entre directement en contact avec Verhoeven par le moyen de lettres, et Verhoeven se retrouve intimement mêlé à la vie de l'assassin, malgré lui.
C'est un roman très noir qui tient le lecteur en haleine du début à la fin, et dans lequel Pierre Lemaître a peaufiné à merveille la psychologie des personnages (un travail soigné !). Bon, ça ne nous surprend pas, Pierre Lemaître semble être passé maître (sans jeu de mots) dans l'art de la description des âmes humaines.
Ce qui fait le charme de ce livre au milieu des horreurs décrites c'est véritablement le côté atypique des personnages, en particulier Verhoeven.
Passé le choc de la description de meurtres glauques et absolument horribles (j'ai quand même du mal à m'en remettre), on finit par s'attacher au personnage de Verhoeven. C'est ce qui rend ce roman intelligent, et intéressant.
