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Critique de brigittelascombe
L'honorable juge Ti serait-il aussi tyrannique que le cruel juge chinois di face au psychanalyste Muo du roman de Daï Sijie le complexe de Di?
Pas du tout! Pas de complexe, dans Divorce à la chinoise, ni au propre,ni au figuré, vue l'époque (VII° siècle-dynastie Tang) fort éloignée de Freud, et "le tour de taille de barrique" de ce super flic qui dirige la police de Chang-an.
Quelques éléments par contre comparables à Impératrice de Shan Sa: des noms fleuris de personnes et d'endroits comme le quartier du Petit Ruisseau ou la Place de L'oie sauvage et un récit qui se déroule pareillement durant la dynastie Tang.Mais alors que Shan Sa s'axe sur un drame empreint de poésie, Frédéric Lenormand manie l'humour à tour de bras dans une enquête toute policière.
Après avoir déjoué les plans criminels de "l'Hippocampe écarlate", le juge Ti propose un marché à son agresseur, détenteur d'un effroyable secret, et le relâche.
Quelle n'est pas la surprise de Madame première, Dame Lin,alors qu'Ailin, sa femme de chambre, "un joli brin de fille", revêtue de sa robe a été enlevée, d'être étreinte par son époux "comme s'il avait franchi les cols du Tibet".
Paradoxe éternel, le choix n'est que souffrance!
Mariage actuel ou remariage avec "la petite cousine 8° fille du 3° fils du 4° oncle du côté des Wu" de sa Majesté?
"Sa femme ou sa tête?"
Voilà Ti au pied du mur.
Une protection rapprochée par de bons génie, une noyée sans rate gisant sur le quai,une bastonnade,un couvent et des nonnes,de coups de théâtre en vrai théâtre les mensonges,péripéties et manipulations galopent.
Dame Lin est-elle une sanguinaire? Et le juge Ti un pitre?
Un gentil polar rondement mené où l'on retrouve le juge fétiche de Frédéric Lenormand, héros de 18 enquêtes de l'auteur à l'abondante production aux éditions Fayard.D'autres romans(antérieurs) ont paru chez Robert Laffont et J.C Lattes dont Les princesses vagabondes(prix François Mauriac 1998.) Et petit plus quelques réflexions sur le statut de la femme chinoise au VII° siècle, sur le mariage et le divorce! Intéressant!
Pas du tout! Pas de complexe, dans Divorce à la chinoise, ni au propre,ni au figuré, vue l'époque (VII° siècle-dynastie Tang) fort éloignée de Freud, et "le tour de taille de barrique" de ce super flic qui dirige la police de Chang-an.
Quelques éléments par contre comparables à Impératrice de Shan Sa: des noms fleuris de personnes et d'endroits comme le quartier du Petit Ruisseau ou la Place de L'oie sauvage et un récit qui se déroule pareillement durant la dynastie Tang.Mais alors que Shan Sa s'axe sur un drame empreint de poésie, Frédéric Lenormand manie l'humour à tour de bras dans une enquête toute policière.
Après avoir déjoué les plans criminels de "l'Hippocampe écarlate", le juge Ti propose un marché à son agresseur, détenteur d'un effroyable secret, et le relâche.
Quelle n'est pas la surprise de Madame première, Dame Lin,alors qu'Ailin, sa femme de chambre, "un joli brin de fille", revêtue de sa robe a été enlevée, d'être étreinte par son époux "comme s'il avait franchi les cols du Tibet".
Paradoxe éternel, le choix n'est que souffrance!
Mariage actuel ou remariage avec "la petite cousine 8° fille du 3° fils du 4° oncle du côté des Wu" de sa Majesté?
"Sa femme ou sa tête?"
Voilà Ti au pied du mur.
Une protection rapprochée par de bons génie, une noyée sans rate gisant sur le quai,une bastonnade,un couvent et des nonnes,de coups de théâtre en vrai théâtre les mensonges,péripéties et manipulations galopent.
Dame Lin est-elle une sanguinaire? Et le juge Ti un pitre?
Un gentil polar rondement mené où l'on retrouve le juge fétiche de Frédéric Lenormand, héros de 18 enquêtes de l'auteur à l'abondante production aux éditions Fayard.D'autres romans(antérieurs) ont paru chez Robert Laffont et J.C Lattes dont Les princesses vagabondes(prix François Mauriac 1998.) Et petit plus quelques réflexions sur le statut de la femme chinoise au VII° siècle, sur le mariage et le divorce! Intéressant!
