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Critique de Meygisan
La tension monte encore d'un niveau dans ce tome 4. Même si quelques résolutions d'ordre relationnelle sont proposées, on sent bien que tout le monde est à cran. le stress est omniprésent et entretenu par l'atmosphère sans cesse menaçante de la planète. Parallèlement le caractère de l'héroïne principale se confirme. Kim Keller s'est endurcit et montre une expérience et un self control exemplaire même lorsque la mort est toujours présente et bien à l'affût. Quelques scènes d'action où elle doit affrontement directement des animaux dangereux mettent en valeur sa capacité de survie. Sa résolution est renforcée par la situation qu'elle vit. Elle ne sait rien à propos de sa fille et refuse d'envisager le pire.
L'horreur monte également d'un cran concernant la secte fanatique rétrograde qui n'hésite pas à violer les lois fondamentales de l'être humain afin d'asseoir un peu plus son pouvoir, son autorité et sa vision de la religion qu'elle croit être la seule juste et justifiée. le mépris et la haine des femmes est très clairement affiché.
Une scène annexe explore un autre aspect du récit, permettant ainsi au lecteur de souffler un peu dans cette jungle d'événements plus incroyables les uns que les autres, et posent ainsi de nouvelles questions quant à l'orientation de l'histoire. Léo sait mettre un peu de piquant dans le fond comme dans la forme en nous rappelant quand même que nous sommes dans de la science fiction.
Une scène très intime permet à Léo de replacer son héroïne dans son statut d'être humain sensible. Jusque là, elle était plutôt présenté comme une super héroïne, forte, invincible, qui prend toujours les bonnes décisions pour trouver les réponses. Face à tous ces événements, elle finit par craquer émotionnellement et nous rappelle que le sort de sa fille est sa principale inquiétude et sa raison de vivre. Scène finale très touchante, qui remet également le lecteur sur le droit chemin.
L'horreur monte également d'un cran concernant la secte fanatique rétrograde qui n'hésite pas à violer les lois fondamentales de l'être humain afin d'asseoir un peu plus son pouvoir, son autorité et sa vision de la religion qu'elle croit être la seule juste et justifiée. le mépris et la haine des femmes est très clairement affiché.
Une scène annexe explore un autre aspect du récit, permettant ainsi au lecteur de souffler un peu dans cette jungle d'événements plus incroyables les uns que les autres, et posent ainsi de nouvelles questions quant à l'orientation de l'histoire. Léo sait mettre un peu de piquant dans le fond comme dans la forme en nous rappelant quand même que nous sommes dans de la science fiction.
Une scène très intime permet à Léo de replacer son héroïne dans son statut d'être humain sensible. Jusque là, elle était plutôt présenté comme une super héroïne, forte, invincible, qui prend toujours les bonnes décisions pour trouver les réponses. Face à tous ces événements, elle finit par craquer émotionnellement et nous rappelle que le sort de sa fille est sa principale inquiétude et sa raison de vivre. Scène finale très touchante, qui remet également le lecteur sur le droit chemin.
