Une journaliste harcelée par un homme via les réseaux sociaux, voici le sujet de ce roman qui semble être un témoignage autobiographique.
Et bien ma chronique va être très rapide car je n'ai pas lu ce livre jusqu'au bout. J'en ai bien lu les 3/4 pourtant malgré une narration très particulière.
Le sujet aurait pu être intéressant mais
Myriam Leroy vomit sa haine en s'en prenant absolument à tout le monde qui l'entoure. Alors quand elle m'adresse son majeur parce que oui, j'ai pensé qu'elle n'avait qu'à supprimer et bloquer ce contact indésirable, qu'il suffisait de ne plus alimenter les conversations en ne répondant plus aux messages dudit harceleur, c'est là que j'ai décidé d'abandonner ce livre qui de toutes façons me tombait des mains depuis un bon moment déjà.
Et c'est sans regret que je l'abandonne. Il y a encore tant d'autres belles choses à lire.
Allez, pour vous donner une petite idée des lignes qui ont été pour moi le déclencheur de cet abandon qui couvait depuis quelques chapitres déjà, voici un tout petit extrait :
« toi qui ..... toi qui ....toi qui ....
Toi, je te crache à la gueule, je te crache le fond de mon ventre, je te vomis dans les narines un océan de bile jaune, une bile acide comme du Destop, et j'espère qu'elle te brûlera jusqu'au fond des entrailles, qu'elle te fera des trous d'obus dans les canalisations, des trous où je pourrais passer la main et t'adresser mon majeur »