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Critique de mariech
La guerre sans l'aimer pour moi ce n'est pas possible car même s'il dit le contraire Bernard Henry Lévy y trouve en tout cas un moyen formidable de vivre aventureusement .
Il est à Paris et sur un coup de tête se décide de se rendre à Bengazhi en Lybie , il a évidemment toute l'intendance qui suit , il voyage avec un photographe , quelques amis .
Il nous livre son journal de ' guerre assez honnête , je dois dire , car il nous montre ses succès et ses erreurs , mais ce livre ne m'a pas plu , il ne m'a pas passionnée , on est loin de l'écriture lumineuse d' Emmanuel Carrère dans Limonov .C'est difficile pourtant de critiquer ce livre car je ne trouve pas normal qu'un écrivain , qu'un philosophe se mêle de faire la guerre et personnellement , je trouve que la coalition ne devait pas armer les ' rebelles ' , enfin ceci est mon opinion .
Je suis quand même contente d'avoir lu ce livre qui m'a permis de nuancer mon opinion et je rends grâce à l'auteur qui est parfois naïf , narcissique , mais est néanmoins capable d'autocritique .
En résumé , trop long et moyennement passionnant .
Il est à Paris et sur un coup de tête se décide de se rendre à Bengazhi en Lybie , il a évidemment toute l'intendance qui suit , il voyage avec un photographe , quelques amis .
Il nous livre son journal de ' guerre assez honnête , je dois dire , car il nous montre ses succès et ses erreurs , mais ce livre ne m'a pas plu , il ne m'a pas passionnée , on est loin de l'écriture lumineuse d' Emmanuel Carrère dans Limonov .C'est difficile pourtant de critiquer ce livre car je ne trouve pas normal qu'un écrivain , qu'un philosophe se mêle de faire la guerre et personnellement , je trouve que la coalition ne devait pas armer les ' rebelles ' , enfin ceci est mon opinion .
Je suis quand même contente d'avoir lu ce livre qui m'a permis de nuancer mon opinion et je rends grâce à l'auteur qui est parfois naïf , narcissique , mais est néanmoins capable d'autocritique .
En résumé , trop long et moyennement passionnant .
