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Critique de Clelie22
L'engrenage infernal... Comment en arrive-t-on à relire Vous revoir pour la 3e fois (si ce n'est la 4e) ?
Tout commence peut-être par une surdose de films de Noël. Il faut dire que, vue la météo qu'on a depuis des mois, c'est ça ou sniffer des fraises Tagada réduites en poudre... Et puis, on se dit : pourquoi pas une petite relecture d'Et si c'était vrai... Et, bien sûr, chaque fois que je relis Et si c'était vrai, il faut bien que je relise la suite.
La première fois que j'ai lu ce roman, je l'avais préféré même à Et si c'était vrai et je l'avais dévoré en quelques jours. Je le trouvais plus rythmé, plus drôle et j'avais hâte de savoir comment Arthur et Lauren allaient pouvoir recoller les morceaux de leur histoire. Cette fois, j'avoue que j'ai moins aimé. Les tics d'écriture de Marc Lévy m'ont plus d'une fois fait lever les yeux au ciel (ce qui gêne un peu la lecture, il faut bien le reconnaître) : sa manie de préciser les modèles de voiture, ses aphorismes qui ne veulent rien dire...
"Si la vie était comme un long sommeil, le sentiment en serait la rive." (Sérieusement, je suis restée bloquée sur celle-là !)
L'histoire même m'a tellement parue une copie carbone pas vraiment utile d'Et si c'était vrai... !
Et pourtant... Et pourtant, encore une fois, je l'ai lu jusqu'au bout et, toujours, avec une certaine hâte de pouvoir m'y remettre. Je crois que, ce qui le sauve, c'est son sens du rythme et des répliques drôles qui font mouche. Les dialogues entre Arthur et Paul, en particulier, sont souvent savoureux. Alors, oui, je lui pardonne, à Marc Lévy, ses petits défauts, en faveur de sa bonne humeur, de son optimisme... Car, après tout, si la météo ne s'améliore pas, il vaudra toujours mieux retomber dans un Marc Lévy que sombrer dans la drogue.
Tout commence peut-être par une surdose de films de Noël. Il faut dire que, vue la météo qu'on a depuis des mois, c'est ça ou sniffer des fraises Tagada réduites en poudre... Et puis, on se dit : pourquoi pas une petite relecture d'Et si c'était vrai... Et, bien sûr, chaque fois que je relis Et si c'était vrai, il faut bien que je relise la suite.
La première fois que j'ai lu ce roman, je l'avais préféré même à Et si c'était vrai et je l'avais dévoré en quelques jours. Je le trouvais plus rythmé, plus drôle et j'avais hâte de savoir comment Arthur et Lauren allaient pouvoir recoller les morceaux de leur histoire. Cette fois, j'avoue que j'ai moins aimé. Les tics d'écriture de Marc Lévy m'ont plus d'une fois fait lever les yeux au ciel (ce qui gêne un peu la lecture, il faut bien le reconnaître) : sa manie de préciser les modèles de voiture, ses aphorismes qui ne veulent rien dire...
"Si la vie était comme un long sommeil, le sentiment en serait la rive." (Sérieusement, je suis restée bloquée sur celle-là !)
L'histoire même m'a tellement parue une copie carbone pas vraiment utile d'Et si c'était vrai... !
Et pourtant... Et pourtant, encore une fois, je l'ai lu jusqu'au bout et, toujours, avec une certaine hâte de pouvoir m'y remettre. Je crois que, ce qui le sauve, c'est son sens du rythme et des répliques drôles qui font mouche. Les dialogues entre Arthur et Paul, en particulier, sont souvent savoureux. Alors, oui, je lui pardonne, à Marc Lévy, ses petits défauts, en faveur de sa bonne humeur, de son optimisme... Car, après tout, si la météo ne s'améliore pas, il vaudra toujours mieux retomber dans un Marc Lévy que sombrer dans la drogue.
