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3,63

sur 43 notes
Avant de lire les autres critiques sur ce livre, je vais tacher de donner ici mon ressenti.
Ce livre me laisse extrêmement perplexe.
Je l'ai lu jusqu'à la dernière page. J'ai résisté à l'envie d'abandonner cette lecture. Au final, non, je n'ai pas aimé...
Je n'ai pas compris où voulait en venir l'auteur. Peu de personnages, et pourtant je me suis souvent perdue dans cette lecture, dans l'histoire en elle-même. Je n'ai ressenti aucune sympathie pour les personnages, je n'ai rien compris à leurs sentiments, au pourquoi de leurs actes.
L'écriture/le style est peut être trop recherché. J'ai eu une impression d'auteur qui s'écoute écrire, comme parfois certaines personnes s'écoutent parler et au final, cela n'a ni queue ni tête.
Peut être suis-je passée à côté de l'histoire...
Quoiqu'il en soit, ce n'est pas une réussite pour moi.
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Je vois "thriller", je vois "Seven", tout un écho, vous voyez où je veux en venir. Et pourtant je n'arrive pas à destination.

Je n'ai pas souhaité m'en tenir à ma première impression suite à la lecture de la quatrième de couverture, mais j'aurais peut-être dû.
Les premières dizaines de pages nous promettent autant de choses que les suivantes se plairont à fuir.
Il y a un effort dans la construction de l'intrigue, c'est indéniable, mais plutôt vain à mon goût. Et bien trop de mots qui sonnent faux.

L'auteure nous propose d'emblée deux psychologies qui semblent complexes pour ensuite les faire sombrer au coeur des stéréotypes de romans à l'eau de rose dont on saisit la fin lorsqu'on les entame.

Cela peut sembler sévère, mais ça l'est moins que la frustration ressentie.
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La première phrase de ce ivre "il y a 364 façons de mourir" donne d'emblée le ton de ce roman original et riche en situations fortes

Clara, victime d'un kidnapping raté dans son enfance, mène à Paris une vie de bourgeoise aise entre un mari indifférent, ses relations, et un grand nombre de "followers".
Mais le jour où Charles lui demande un enfant "comme on demande un verre", elle ne peut plus continuer et prend la fuite. D'un autre coté de l'atlantique aux USA, Seven, ancien militaire n'arrive pas à se réadapter à la vie civile. Lorsqu'il apprend la disparition de Clara, il voit la possibilité de justifier sa vie et décide de la rechercher.

Cette quête au cours de laquelle nous suivons d'un coté Clara, de l'autre Seven, nous conduit dans divers pays d'Europe. Plusieurs pages par exemple sont consacrées à la Grèce et à sa situation actuelle.
Ce voyage permet aux deux personnages de se rémémorrer des moments de leur passé.
Ce livre , écrite d'une plume classique mais racée, est parsemé d'observations percutantes sur la société, et la fin, surprenante, souligne la fragilité et la sincérité des personnages.
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Une nouvelle découverte émouvante et touchante.

Une lecture intense où chaque parcelle d'émotions est décrite, sublimée par des mots empreints d'une force à la fois magnifique et cruelle. Une lecture où les sentiments s'affrontent : se mêlent, se démêlent, s'intensifient et se perdent dans les profondeurs de la conscience. Un duel acharné entre passé et présent.

Clara et Seven : deux êtres abîmés par la vie. Leurs enfances, leurs vies actuelles, leurs craintes, leurs espoirs, les rassemblent même si la distance les séparent. Leurs histoires s'inscrivent dans la réalité d'aujourd'hui : terrorisme, dépression post-traumatique, guerre, pression imposée par la société actuelle et familiale. Leurs besoins sont remisés dans ce placard sombre, les envies de leurs entourages sont bien plus importantes. Ils évoluent dans cette société individualiste, où le sens du mot « couple » est associé à trahison et infidélité. Jusqu'au jour où cette brèche leur est offerte sur un plateau d'argent : prendre leur vie en main et enfin décidé le meilleur pour eux.

Clara et Seven partent et abandonnent tout. Je ne considère pas leurs voyages personnels comme un road-trip mais je l'associe bien plus à un chemin de croix. Il se retrouvent avec eux-même et leurs désarrois. Nous suivons leurs cheminements individuels et nous replongeons avec eux dans leurs passés. Ce processus enclenché, telle une psychanalyse, leur consentira à accepter l'effroyable et surtout ce qu'ils sont devenus.

Pour ce premier roman, la plume de Carole Llewellyn est juste parfaite et exceptionnelle. Elle nous bouleverse, émeut et nous incite silencieusement à se questionner sur nous même. Aux travers de ses mots, elle nous insuffle la douleur et l'optimisme.

« Chacun son ombre », dans sa singularité porte ce fardeau de tout à chacun !
Lien : https://lesmisschocolatinebo..
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J'ai d'abord été un peu surpris par les dithyrambes des membres du site. Et puis j'ai vu que les 3 critiques " cinq étoiles " émanaient de faux comptes créés lors de la sortie du livre, avec pour seule et unique note, celle d' Une ombre chacun. C'est un peu gros... mais pas bien méchant. Après tout, il faut bien que les amis servent à autre chose qu'à vider notre cave à vin !

En fait, j'ai eu l'impression de découvrir une romancière. Mais pas une écrivaine. Je m'explique. L'histoire est bien ficelée, l'intrigue bien menée, et les amoureux du genre ( thriller-policier-suspense ) ne bouderont pas leur plaisir. Quoi qu'on en dise, c'est un exercice très compliqué, et je le dis sans aucune forme de cynisme ou d'ironie.

Mais concernant le style, la psychologie, l'essence censée animer cette nouvelle plume... je ne m'y suis pas du tout retrouvé, j'ai trouvé le récit aseptisé, dénué d'âme. Une mécanique bien huilée, bien documentée, mais pas de corps. Je pense qu'il y'a eu beaucoup de travail sur le plan, beaucoup de recherches et que l'auteure n'a rien laissé au hasard. Mais la littérature, ça me paraît être encore autre chose, à mon humble avis. Les personnages sont infiniment caricaturaux. Les clichés sur l'ancien soldat meurtri et torturé s'enchaînent, ses fêlures sont prévisibles, et le personnage féminin ne sauve pas non plus les meubles. On a l'impression de les avoir vus vingt fois sur les téléfilms de la 6, l'après-midi. Et c'est dommage.

Déçu, mais je me procurerai le prochain ouvrage de Carole LLewellyn ( dur à écrire ) avant de me faire un avis définitif, car malgré tout, il y'a des choses prometteuses.
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Premier roman réussi pour Carole Llewellyn qui avec une Ombre Chacun dresse le portrait d'un homme et d'une femme qui fuient leur quotidien. Une histoire prenante, entre drame psychologique et développement personnel ou la jeune auteure détricote le passé tortueux de ses personnages pour les aider à découvrir qui ils sont et ce qu'ils veulent devenir.

Carole Llewelyn, un jeune auteur à découvrir

Une Ombre chacun est le premier roman de Carole Llewellyn qui a choisi de mettre en évidence les attentes qui pèsent sur les femmes dans le monde actuel. Son personnage Clara est une jeune trentenaire qui peine à s'épanouir. Mariée à un homme égocentrique qui pense que l'argent peut acheter le bonheur de son épouse, la jeune femme panique quand il décide que le temps est venu pour avoir un enfant.

Clara vit avec une blessure à l'âme depuis sa plus tendre enfance. Rescapée d'un enlèvement, toutes traces d'attaches lui paraissent intolérables. Depuis la prison dorée qu'est son appartement d'un quartier parisien huppé, Clara imagine plus de 300 façons de mourir. Un jour, elle disparaît sans laisser de traces.

Seven est le second personnage principal. Ancien GI, il voue un culte à son corps. Fier d'avoir servi son pays, l'homme est laissé pour compte par la société américaine qui peine à réinsérer ses combattants. Marié à une femme futile, il reprend pied le jour où le mari De Claire l'engage pour retrouver sa femme disparue...

Mon avis :

Un premier roman très réussi, une histoire passionnante

J'apprécie découvrir de nouveaux auteurs, car c'est souvent l'occasion de se plonger dans une nouvelle vision de la vie, du monde ou parfois de découvrir une imagination débordante.

J'aime particulièrement les romans d'auteurs trentenaires, car ils me parlent. le roman de Carole Llewellyn aborde des thèmes actuels, la place de la femme dans la société et dans le couple, la confrontation à la perversion narcissique, la vie idyllique que l'on s'invente sur les réseaux sociaux et ce mal-être quand on ouvre les yeux sur une vie que l'on subit plus qu'on ne la vit. Carole Lleewellyn vient de rejoindre mon duo d'écrivains (qui devient par la force des choses un trio) de la génération Xennials ou proche de l'être (coincés entre les X et les Y), Éric Metzger et Camille Anseaume, qui tous deux ont un génie extraordinaire lorsqu'il s'agit de transmettre les émotions vécues par les trentenaires.

Être libre et vivre recluse

Clara est belle, a de l'instruction, elle a épousé Charles qui semblait parfait pour elle. Cette stabilité la ramène à ces vieux démons, à cet homme qui l'a emmenée un jour et dont elle a pu échapper à la vigilance par miracle. Un homme qui ne cesse de hanter ses rêves. le mariage de Clara l'étouffe, car c'est Charles qui contrôle tout. La jeune femme tente de se créer une vie sur les réseaux sociaux où des tas de followers admirent son quotidien fait de plats sains et de décoration sans fautes de goût.

Charles est un mari distant et infidèle. Son couple est une vitrine qu'il aime exhiber aux yeux de ses amis. Clara est SA femme, SA chose, et quand elle disparaît, c'est un sentiment de haine plus que de désespérance qu'il éprouve. Comment a-t-elle pu partir ainsi... ?

Pendant tout le roman, on suit le périple de la jeune femme qui fait tout pour ne pas que l'on puisse la retrouver. Elle fera des rencontres, dont une absolument magique, avec une autre femme. Parallèlement, on assiste à l'enquête menée par Seven qui met tout en oeuvre pour la retrouver. Ce job est vital pour lui, qui se sent à nouveau utile. Quand il comprend que la jeune femme a décidé d'en finir avec la vie, il en fait un cas personnel. Non, il ne la laissera pas mourir.

Une Ombre chacun est un premier roman que j'ai beaucoup aimé. Il m'a procuré un réel plaisir de lecture. Sans être légère, l'histoire est agréable, Clara attachante, Seven étonnant. J'ai aimé parcourir l'Europe au côté de Clara, vivre à son rythme, entre course contre la montre et instants passés à penser. La fin est assez surprenante, mais surtout très belle.

Pourquoi cette lecture ?

C'est une lecture que l'on m'a gentiment proposée en partenariat. Je tiens à remercier Khadija de l'agence Babel qui m'a conseillé ce titre qu'elle a qualifié de merveilleux premier roman, une sorte de Miss Dalloway de Virginia Woolf. Et elle a eu raison, ce roman est une réussite et Clara aurait toute sa place dans un roman de Virginia Woolf. Je vous le conseille vraiment et ce roman rejoins la catégorie coup de coeur du blog pour :
l'histoire
les personnages principaux ET secondaires
le suspens bien dosé qui se trouve à toutes les pages

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Ce livre est incroyable, criant de vérité et d'actualité. Il reflète parfaitement notre société et la détresse que certains ressentent, emprisonnés dans la violente bulle du paraître. le paradoxe est inquiétant : on cherche à protéger notre intimité tout en développant une transparence presque ridicule. Les personnages de Clara et Seven sont très attachants mais je dois avouer ressentir une très légère préférence pour Clara qui m'a particulièrement touché. .
Clara disparait. Seven est engagé pour la retrouver. En quête d'eux même, ils vont finir par se trouver. J'ai du relire certains passages, tant, dans ma hâte de découvrir l'issue de cette quête, je sautais quelques lignes.
.
L'auteur possède, sans nul doute, le merveilleux don de l'écriture. Sa plume est douce, puissante et convaincante. Je suis passée par mille émotions lors de la lecture de son oeuvre et certaines phrases, certains assemblages de mots m'ont marqué. Je les ai noté dans mon petit carnet, non pas pour les utiliser plus tard mais parce que je les trouve pleins de justesse, de sentiments. J'ai eu peur, un certain moment, d'avoir définitivement perdu Clara…
.
« Elle avait reconnu dans ses yeux une solitude, un désespoir qui lui était familier. » .

Moi qui cherchais une nouvelle découverte, un coup de coeur, je crois bien l'avoir trouvé. Cela fait plusieurs mois qu'une lecture ne m'avait pas transformée de cette manière. Je ne peux que vous le conseiller, achetez-le, dévorez-le, ressentez-le. Aimez-le. .
J'attends avec impatience le roman qui suivra cette oeuvre.
.
Merci pour ce très beau moment de lecture et encore une fois toutes mes félicitations, votre livre est incroyable.
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Dans son premier roman, Carole Llewellyn nous entraine à la rencontre de deux personnages brisés par la vie. D'un côté , Clara, victime d'un enlèvement jeune, et qui malgré un mariage avec un bon parti, n'est pas heureuse . de l'autre, Seven, vétéran américain, qui a vu des horreurs telles pendant ses différentes missions, qui essaie de retrouver des sensations dans une vie bien monotones. Quand Seven se met sur les traces de Clara, on n'attend avec impatience se que donnera la rencontre de deux êtres détruits en quête de vie.

J'ai trouvé les personnages plutôt intéressants , mon préféré des deux étant Seven, malgré sa propension à ne se trouver qu'à travers le sexe. C'est selon mon opinion le plus brisé des deux.

Par contre, j'ai cordialement détesté Charles, le mari de Clara, dont le seul interêt qu'il porte à sa femme, est celui qu'elle apparaisse à son bras, pour faire bon genre.

L'auteure alterne les points de vue , passant de Clara à Seven, chapitre après chapitre. Malgré quelques platitudes c'est plutôt bien écrit et cela se laisse lire sans difficulté. C'est un assez bon premier roman. Mais ...car il y a toujours un mais, je n'ai pas aimé la fin. J'avais de telles attentes concernant la rencontre, que sa brieveté m'a laissé sur ma faim .


Lien : http://livresforfun.overblog..
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Je remercie tout d'abord NetGalley et les éditions Belfond pour l'envoi de ce roman, choisi après lecture de la 4ème de couv'!

« Normal! » me direz-vous, c'est un premier roman donc il n'y a que le résumé pour titiller l'éventuel lecteur!

J'avais hâte de découvrir les blessures de Seven et De Claire et en quoi ce voyage européen pouvait influer sur leur avenir. Et j'avais déjà Charles dans le nez: quel homme amoureux ne lâcherait pas son boulot pour partir lui-même à la recherche de sa femme?

Malheureusement, aucun des personnages m'a charmé!

Le Charles, gros bourge imbu de son importance, de sa particule et de son argent, drague tout ce qui bouge, sextote à tout va pour pimenter sa pseudo-fidélité.

Seven attache une grande importance à la branlette et peu à son couple. D'ailleurs la fidélité n'est pas son crédo. C'est un militaire nostalgique de ses faits d'armes et des coups tirés, et pas seulement avec son M16. Mais quel intérêt de savoir le nombre de fois où il se branle du lever jusqu'au coucher!?! Franchement!
Ses souvenirs de combats sont certes terribles, comme tout vétéran de guerre, mais manquent totalement d'émotions.

Et la Clara passe son temps à geindre sur son existence de bourgeoise oisive, à expérimenter différents philtres sur des photos dont elle inonde son Instagram et Facebook, à envisager ses nombreuses morts mais sans pour autant joindre le geste à sa pensée.
Elle instille un climat malsain à imaginer l'effet de son décès sur ses proches et elle semble même regretter que « son » pédophile kidnappeur lui ait pas infligé dans son enfance davantage de dommages! Dommages d'ailleurs hypothétiques car nébuleux tout au long du récit!
Sa volonté de ne laisser aucune trace de sa fuite est assez loufoque alors qu'elle n'est quand même pas une dangereuse psychopathe à capturer mais seulement une gamine immature qui n'a trouvé que cette solution pour larguer les amarres d'une vie confortable mais insatisfaisante. La longue dérive poussive de cette capricieuse fugue est lassante et n'inspire aucune empathie.

Le style est lourd, redondant et insipide, ampoulé, se voulant poétique mais qui sonne cruellement creux.

Je suis restée perplexe devant des répétitions mal venues sur les attentats de Charlie Hebdo, le terrorisme islamiste et les crises financières aux States ou en Grèce. Sûrement pour donner une note actuelle au récit mais qui sont essaimés au hasard du récit, sans réel intérêt pour l'intrigue.
Et que la mort d'un chien arrivé certainement à un âge canin honorable, les morts d'Iraq ou d'Afghanistan et la sécheresse éventuelle de l'utérus de Clara soient des deuils posés sur un même niveau dans un même chapitre… hum… cela ne m'interpelle pas positivement. du tout!
De plus, la pub pour ce grand magasin parisien, 7ème arrondissement, dont le nom est répété au moins une vingtaine de fois m'a agacée. Mazette, le lecteur a compris que le couple Charles/Clara ne fraye pas avec le milieu ouvrier et qu'il paye sa lotte, 100 euros le kilo!

Pour conclure, si vous ne l'avez pas compris, je suis totalement passée à côté de cette histoire!
J'ai même failli laisser tomber vers la fin du premier tiers du bouquin alors que j'abandonne rarement une lecture! du coup, je l'ai lu rapidement. Non pas parce que j'étais captivée mais parce que je voulais en finir au plus vite!
J'aurais bien voulu maîtriser la lecture systémique dont parle Clara d'ailleurs!

Je suis donc déçue par cette découverte. Ni le parcours sans grande émotion de Seven et de Clara, ni le style de l'auteur, n'auront réussi à me captiver…
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..
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Ce premier roman de Carole Llewellyn est inattendu. Surprenant. Déroutant. Depuis deux jours, je réfléchis à l'écriture de ma chronique. Ne pas spolier le livre. Ne pas modérer ses qualités. Dégager l'essentiel d'un contenu riche. Traduire les sentiments qu'il suscite. Evoquer son originalité, sa finesse, sa clairvoyance. Je ne sais pas par où commencer. Je suis troublée.
L'histoire, c'est celle d'un homme et d'une femme. Elle, fuit sa vie. Lui, à la demande du mari, la recherche. Tous deux ne se connaissent pas. Pourtant, ils ont en commun les blessures de la vie. Des traumatismes profonds – un rapt pour elle, la guerre pour lui - qui gouvernent leurs existences, leurs aspirations, leurs quêtes. Des chocs intimes qui vont ressurgir soudainement et bouleverser irrévocablement leurs quotidiens. le périple est intense. de la France à l'Italie, de l'Italie à la Grèce, leurs stigmates se dessinent, leurs fêlures se révèlent.
L'écriture est cash, brute, nette. Mordante. Incisive. On n'en sort pas indemne.
Ma chronique complète sur mon blog https://aufildeslivresblogetchroniques.wordpress.com/




Lien : http://aufildeslivresblogetc..
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