Troisième aventure avec Ari Mackenzie et toujours dans les milieux s'interressants à l'alchimie.
Si Ari traîne sa mélancolie, et abuse de son cynisme, il n'en reste pas moins un excellent enquêteur. Et il en connait un rayon concernant l'alchimie. Aussi quand un ami flic lui demande son aide pour retrouver un carnet disparu, il fonce, car ce n'est pas n'importe quel carnet mais celui du supposé
Fulcanelli, alchimiste réputé mais dont personne n'a jamais connu l'identité réelle.
Henri Loevenbruck a largement étoffé son récit, mêlant fiction et réalité avec brio. L'enquête est ardue et la route jalonnée de cadavres.
Fulcanelli déchaîne les passions et même les enquêteurs sont pris de frénésie quant au secret qui se cache derrière ce nom.
Ari renoue avec Lola, et ses amis Iris et Khristov sont toujours dans les parages, et nous avons donc la même recette que dans les deux livres précédents ( le rasoir d'Ockam et
les cathédrales du vide) ou presque, et la sauce prends encore une fois.
J'aime bien Ari, même si parfois il peut être très énervant. il a bon coeur et il ne lâche rien.
Henri Loevenbruck a su nous le rendre attachant. Et ses enquêtes sont toujours passionnantes. Juste un bémol sur les recherches d'identité de
Fulcanelli, c'est long et parfois un peu barbant. Mais ça n'enlève rien a l'interet que l'on porte à l'histoire.
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