AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Les enquêtes d'Ari Mackenzie tome 2 sur 3
EAN : 9782081221680
336 pages
Flammarion (07/10/2009)
3.8/5   433 notes
Résumé :
Une mystérieuse organisation internationale protectrice de l'environnement s'empare de plusieurs régions du globe, à la recherche d'un secret millénaire, qui pourrait menacer l'ordre géopolitique de la planète.

Ari Mackenzie, ancien des renseignements généraux, alerté par une série d'inexplicables disparitions, décide de mener l'enquête. Existerait-il un lien entre les étranges recherches de cette organisation et les occultes découvertes de Nicolas F... >Voir plus
Que lire après Les cathédrales du videVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (71) Voir plus Ajouter une critique
3,8

sur 433 notes
J'ai laissé passer le temps avant de m'attaquer au deuxième tome de la trilogie consacrée à Ari Mackenzie, le temps de retrouver la motivation après un premier opus qui m'avait plutôt déçu.
Je peux au moins dire que cette suite est plus aboutie, plus mature si l'on considère l'évolution du personnage principal que j'ai trouvé plus cohérent et surtout plus crédible.
Un récit plutôt calme dans sa première partie, plus enlevé dans la deuxième où l'on va retrouver quelques facilités et autres invraisemblances, certaines des scènes finales se révélant vraiment too much.
Un Ari vulnérable et que l'on prend plaisir à connaître, c'est finalement et paradoxalement l'aspect que j'ai préféré dans cette histoire qui se veut avant tout un thriller ésotérique.
L'intrigue nous ramène aux carnets de Villard de Honnecourt et à la précédente enquête dont l'issue, bien que victorieuse, avait laissé nos enquêteurs frustrés, ils vont se rendre compte que l'histoire est loin d'être terminée.
Si je souhaitais "avancer" dans cette trilogie, c'est surtout parce que le titre du troisième opus évoque Fulcanelli, un personnage énigmatique que j'ai hâte de connaître.
Commenter  J’apprécie          705
❤️ 📜𝕸𝖔𝖓 𝖗𝖊𝖘𝖘𝖊𝖓𝖙𝖎📜 ❤️
"Les cathédrales du vide" de Henri Loevenbruck

Ce livre est un bon ouvrage ou on se languit de tourner les pages tellement il est prenant. Il se lit très bien , c'est du Loevenbruck!
Il est onstitué de petits chapitres numérotés, quelquefois moins de deux pages et qui vous laissent sur votre faim .
car ils se terminent toujours par quelque chose d'important, soit pour les personnages ,soit pour le déroulement de l'enquête qui , au fait est plus qu'une quête ésotérique .
On passe à un autre petit chapitre , et hop on revient à celui d'avant ,on jongle !!
les personnages collent bien à l'histoire ,
Ari Mackenzie. Ah ! celui là ! Un enquêteur sympa,que j'aime beaucoup ; comme Adamsberg de Vargas .
Soupe au lait, flegmatique. Un gars à l'ancienne, aimant la guitare, les cabriolets le sien est vert fluo!!, le whisky,
(picole un peu trop..... !! mais bon ! c'est son dada)
Depuis sa séparation d'avec Lola, il vit mal . Flic rebelle , qui ne suit pas les réglements surtout ici dans ce livre .
J'ai aimé son garde du corps Krysztov le polonais , qui lui encaisse les coups, et sa collègue Iris « Huggy les bons tuyaux » car elle arrive à dégotter tout pour Ari , dans les meilleurs délais . Cela est le bon cotë de nos héros
le trio infernal!!
J'ai détesté le "docteur "Weldon" et toute sa clique de tueurs.sans oublier le gars un peu marteau qui à une canne au pommeau doré ! et qui est là pour faire le "nettoyeur". (il faut bien des méchants !)
C'est la suite du "rasoir d'Ockham (que je dois relire ) mais "les cathédrales du vide " peut se lire seul !
En fait pour moi le titre démontre ,que une grande chose importante peut déboucher sur le vide .
Un mal d'amour , une recherche qui tourne à la paranoïa, ne plus connaître le sens de la vie
et cela pour chacun des personnages de ce livre qui porte leur croix .
Une histoire! qui a un sens profond , (vous découvrirez par vous même )
Pour ce qui est de la trame , c'est un thriller esotérique assez classique , un peu complexe , tout de même surtout les noms des organismes qui entrent en jeu ici mais bon. On s'y habitue vite.
Avec tous les ingrédiants pour cela , recherche de manuscrits , alchimie ? recherche de site naturel dans divers pays , des situations scabreuse , , des endroits ou réside une sorte de société secrète ,spéciale, qui engage des géologues et de scientifiques autres !!
( je ne peux pas dévoiler , bien que vous devez connaître)!! et je dirai "à cheval donné on ne regarde pas les dents "
En fait Loevenbruck ,complique cette histoire , mais c'est le but !! et oui !!car les Steve Berry, Giacometti Dan Brown et tous les copains poussent derriere.
Tout s'enchaine relativement bien pourtant , sans répit, (ésotérisme, mystère centenaire, soif de connaissance, héros marginal. Un vrai scénario de film.

le récit est ponctué (écrit en italyque )de quelques notes du journal de Nicolas Flamel (le soit disant alchimiste du XVeme siècle). Ecrit a la première personne c'est super pour nous attacher plus encore à cette histoire et c'est très agréable à suivre ces petits passages .
Voila que vous dire de plus ? que j'ai bien aimé ce roman , j'aime beaucoup henri loevenbruck l'auteur de "l'apothicaire"
et surtout les cycles "la Moïra" et " Gallica" le cycle des loups .C'est autre choses que j'adore et que je vous engage à lire C'est top.
Pour revenir à notre Cathédrale , entrer et trouver le chemin de l'intérieur de la terre !!
bonne lecture ,lisez le avec passion !
Fbiolino



Commenter  J’apprécie          316
J'avais adoré le premier opus des aventure de Ari ..alors j'avais esperé vivre la même chose avec celui ci... et bien non !

Bon j'avoue que ce n'est pas une déception totale. La lecture reste quand même très agréable.
Mais il y a moins de suspens et les ficelles tirées par Loenvenbruck sont grosses comme le nez au milieu de la figure et on devine les choses bien trop tôt.

J'ai quand même une sympathie toute particulière pour Ari, Iris (c'est le prénom d'une de mes filles alors ce personnage ne peut être que génial !) et le Polonais. Mais j'ai trouvé la mise en route du roman un peu longuette et Ari m'a agacée a se complaire dans une situation de replis sur soi qui dure aussi un peu en longueur. Je regrette également que son père ne soit pas plus présent dans le roman.

Enfin on verra comment vont évoluer les choses dans le troisième tome.
Commenter  J’apprécie          403
Je me suis laissée embarquée dans cette histoire incroyable sur les traces des alchimistes en compagnie d'un flic un peu à la dérive, de Paris en Equateur. Pas trop perdu malgré tout Ari Mackenzie, juste ce qu'il faut de dépression pour un poulaga qui n'a pas toutes les réponses à ses questions. Il va affronter à nouveau un univers ésotérique qui lui plait bien, en compagnie de ses deux fidèles amis et rencontrer une belle qui pourrait lui faire, peut-être, oublier Lola. J'ai beaucoup aimé me balader en sa compagnie dans les rues de Paris (le quartier de Montmartre notamment). C'est un thriller efficace qui se lit à cent à l'heure, à la même vitesse que les (més)aventures tombent sur Mackenzie. Un bon moment de détente, bon il y a des morts et des blessés quand même… suis-je normale ? Tient ça m'inquiète.

Ce qui me gêne un peu c'est le côté ‘je vous explique' qui transparaît un peu trop souvent selon moi. La fusion qui donne naissance à la DCRI (aujourd'hui DGSI), le SitCen, tous ces trucs pour rendre concret le roman, en fait, me le gâche un peu. D'autant que ces données ne sont vraies qu'à un moment, donc une lecture faite bien plus tard que la parution de ce roman n'est pas forcément en adéquation. Quitte à lâcher prise et me plonger dans l'histoire des pierres philosophales, je n'ai pas besoin de connaitre ces réalités techniques. Je pars dans l'imaginaire et je lâche prise aux contingences de notre réalité. Et ça c'est cool.
Commenter  J’apprécie          350
Ce roman est la suite du « Rasoir d'Ockham » dans lequel Ari Mackensie, un homme travaillant aux renseignements généraux à Paris tentait d'élucider la mort aussi subite qu'atroce du meilleur ami de son père.
Le premier volume nous laissait sur notre faim.
Ces deux romans nous emmène dans un univers fait de secrets et de mystères.
Il sera essentiellement question d'un très ancien manuscrit, de Nicolas Flamel le célèbre alchimiste, d'un groupe ésotérique qui s'intéresse beaucoup à l'occultisme, d'assassinats en série, d'objets ou de lieux recelant de sombres pouvoirs…
Ces deux romans sont riches en actions, les personnages sont attachants bien que très chanceux dans leur façon d'éviter la mort à chaque coin de rue.
Le style est simple et efficace et rend ces deux romans très agréables à lire et très distrayants.
Commenter  J’apprécie          350

Citations et extraits (44) Voir plus Ajouter une citation
On fait des choses folles, par fascination du vide.
On passe sa vie à tenter de remplir une absence; chacun la sienne. On construit des cathédrales, des temples pour des dieux que l'on ne rencontre jamais. On creuse la terre pour trouver des trésors qui n'existent pas. On se taille les veines au nom d'un sentiment si flou.
C'est peut-être là l'émouvante beauté de notre humanité . Cet entêtement à vouloir remplir un vide qu'un jour nous rejoindrons tous.
Commenter  J’apprécie          210
Quand Ari découvrit le visage tuméfié de Krysztov dans l'ouverture de la porte, il ne put retenir une grimace amusée.
- Eh bien ! Ils t'en ont mis plein la gueule !
- Très drôle ! Et puis, d'abord, celui qui m'a attaqué était seul...
- Encore mieux !
Le Polonais s'écarta en soupirant pour laisser entrer Mackenzie.
- Tu es tombé sur plus fort que toi ?
- Non. Il m'a attaqué par derrière.
- Un bon garde du corps doit être capable de se défendre même quand on l'attaque par derrière, non ?
- Ça va !
Ari s'amusa de la mimique humiliée de Zalewski.
- J'ai toujours dit qu'ils recrutaient rien que des lopettes, à la SFOR.
- Eh ! C'est pas parce que j'ai un œil au beurre noir que je pas te coller une beigne, Mackenzie. On va voir qui c'est la lopette !
Commenter  J’apprécie          90
La nature a horreur du vide.Moi aussi.
Le vertige est l'expression de notre rapport complexe au vide.On éprouve devant lui la haine de l'ennemi, la peur de l'inconnu et l'attraction du danger. Avoir le vertige, c'est aussi goûter l'excitation que procure l'appel du gouffre : celui qui l'affronte, les jambes tremblantes, peut éprouver soudain l'irrésistible envie de l'embrasser. Pourquoi ? Pour y reconnaître, peut-être ,le lieu secret de notre origine et de notre destination.
On fait des choses folles, par fascination du vide.
Commenter  J’apprécie          110
Sais-tu, toi, lecteur, ce que tu cherches ? Ce que tu attends ? Quelle est la réponse derrière laquelle tu cours, tout au long de ta vie ? Cherches-tu Dieu ? Ou une meilleure image de toi-même ? Cherches-tu l'amour ? La paix ? Cherches-tu l'âme soeur ? Celui ou celle qui saura effacer ton indicible solitude ? Cherches-tu une réponse au secret de la mort ?
Car une seule chose est sûre, nous courons tous, cher lecteur.Nous courons tous.
Commenter  J’apprécie          91
".. : on est en France, Marion, le pays du grand écart entre les études et la vie professionnelle... Ca fait partie du charme de notre université, on met des beaux costumes pour remuer beaucoup d'air."
Commenter  J’apprécie          190

Videos de Henri Loevenbruck (54) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Henri Loevenbruck
Le but de la littérature c'est l'émotion - Henri Loevenbruck
autres livres classés : romans policiers et polarsVoir plus
Les plus populaires : Polar et thriller Voir plus


Lecteurs (1150) Voir plus



Quiz Voir plus

l'apothicaire

Comment s'appelle le héros du livre?

Andras Saint-Loup
André Saint-Loup
Andréas Saint-Loup

10 questions
130 lecteurs ont répondu
Thème : L'Apothicaire de Henri LoevenbruckCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..