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Critique de Cronos
Encore une fois conquis par l'histoire que nous raconte l'auteur, j'ai néanmoins eu un peu de mal à apprécier les premiers chapitres avec Lola, trop empressé de vouloir connaître le fin mot du mystère Fulcanelli.
Encore une bonne lecture de Loevenbruck ! Pour le moment mes quatre lectures ont été bonnes, toutes dans le même style et pourtant toutes différentes. J'aime beaucoup le thriller ésotérique, le genre retrouve mon intérêt que j'avais perdu depuis une surdose de Dan Brown.
On retrouve nos personnages principaux, je précise que les tomes peuvent être lus indépendamment, Ari, Iris et Krysztov pour cette nouvelle aventure, le trio fonctionne toujours aussi bien, chacun sa spécialité, ce qui évite d'avoir un personnage surhumain. J'ai aimé le fait qu'Ari MacKenzie évolue au fur et à mesure des tomes, il n'est plus flic depuis Les cathédrales du vide et sombre dans sa dépression et son alcoolisme, un peu cliché mais au moins ça s'explique.
Je regrette toutefois le trio qui ne se reforme jamais vraiment, surtout qu'Iris semblait très motivée dès le départ et Krysztov qui ne sert finalement qu'à héberger Lola.
Pour l'intrigue, il y a toujours le même bon rythme que dans les autres bouquins, un premier chapitre avec un meurtre, puis on découvre peu à peu les enjeux de l'enquête, le trio se reforme, les points de vue s'alternent, le tout dans des chapitres très courts. Je connaissais Fulcanelli de nom et j'avais commencé la lecture d'une de ses oeuvres mais ça n'est pas nécessaire pour apprécier le roman, au contraire j'ai encore une fois beaucoup appris en lisant. L'auteur fait toujours un bon travail de recherche et cela se ressent dans ses livres, un vrai plaisir à lire. Je ne m'attendais pas à une fin comme cela, j'ai été supris de découvrir les suspects car au final très peu d'indices sont donnés.
Voilà, la trilogie MacKenzie est terminée mais je suis loin d'en avoir fini avec Henri Loevenbruck, je m'en garde un ou deux sous le coude pour plus tard et je ne peux que vous le recommander. Même si c'est le tome de la trilogie que j'ai le moins aimé (trop d'explications), j'ai adoré.
Encore une bonne lecture de Loevenbruck ! Pour le moment mes quatre lectures ont été bonnes, toutes dans le même style et pourtant toutes différentes. J'aime beaucoup le thriller ésotérique, le genre retrouve mon intérêt que j'avais perdu depuis une surdose de Dan Brown.
On retrouve nos personnages principaux, je précise que les tomes peuvent être lus indépendamment, Ari, Iris et Krysztov pour cette nouvelle aventure, le trio fonctionne toujours aussi bien, chacun sa spécialité, ce qui évite d'avoir un personnage surhumain. J'ai aimé le fait qu'Ari MacKenzie évolue au fur et à mesure des tomes, il n'est plus flic depuis Les cathédrales du vide et sombre dans sa dépression et son alcoolisme, un peu cliché mais au moins ça s'explique.
Je regrette toutefois le trio qui ne se reforme jamais vraiment, surtout qu'Iris semblait très motivée dès le départ et Krysztov qui ne sert finalement qu'à héberger Lola.
Pour l'intrigue, il y a toujours le même bon rythme que dans les autres bouquins, un premier chapitre avec un meurtre, puis on découvre peu à peu les enjeux de l'enquête, le trio se reforme, les points de vue s'alternent, le tout dans des chapitres très courts. Je connaissais Fulcanelli de nom et j'avais commencé la lecture d'une de ses oeuvres mais ça n'est pas nécessaire pour apprécier le roman, au contraire j'ai encore une fois beaucoup appris en lisant. L'auteur fait toujours un bon travail de recherche et cela se ressent dans ses livres, un vrai plaisir à lire. Je ne m'attendais pas à une fin comme cela, j'ai été supris de découvrir les suspects car au final très peu d'indices sont donnés.
Voilà, la trilogie MacKenzie est terminée mais je suis loin d'en avoir fini avec Henri Loevenbruck, je m'en garde un ou deux sous le coude pour plus tard et je ne peux que vous le recommander. Même si c'est le tome de la trilogie que j'ai le moins aimé (trop d'explications), j'ai adoré.
