Pardonner ne veut pas dire accepter ce qui est arrivé. Cela veut dire qu'on se refuse à l'adversité qui empoisonne la vie. Il faut pardonner pour son propre bien.
Une fois nos besoins vitaux assurés ( s'habiller, se nourrir et se loger ), appliquer la philosophie de l’infiniment peu permet de faire face à n'importe quel changement ou revers de situation. Il est alors facile de se réjouir de ce "tout petit peu" dans lequel aucune déception n’est possible, toute étincelle de joie instinctive réanimée. - 12 -
Actuellement, la société essaie de faire de nous des copies conformes, des duplicatas de tout le monde (...). Elle nous prive de nous-même.
Pour connaître les autres, ce qu'il faut, plus que les mots, c'est du temps
"plus vite, mieux, plus grand" est aujourd'hui dépassé. La recherche de la simplification, l'appel à la frugalité devient LA tendance. Saturation d'informations pléthoriques, perpétuels dilemmes entre carrière et qualité de vie...., le renoncement à la consommation et à ses ravages s'érige enfin en vertu au pouvoir libérateur. - 12 -
Plus les choix sont limités, plus l'esprit est libre.
"Si, au lieu de gagner beaucoup d'argent pour vivre, nous tâchions de vivre avec peu d'argent ?" Jules Renard, Journal
Se plaindre comporte en soi invariablement une charge négative. C'est aussi imposer un poids sur les autres.
Et si de la taille des déchets ménagers dépendait la grandeur d'un peuple ?
"J'aimerais, bien sûr, accomplir une grande et noble tâche, mais mon premier devoir est d'accomplir les tâches du quotidien comme si elles étaient grandes et nobles." Helen Keller